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Chômeurs, à vos poches !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 janvier 2016

 

Rapport de la Cour des Comptes / Chômeurs à vos poches !

 

A quelques semaines des négociations sur la convention d’assurance chômage, et le jour même

où François Hollande présentait son plan pour l’emploi, la Cour des Comptes a dévoilé ses recettes

pour combler le déficit du régime d’assurance chômage.

Au menu : baisse du taux de remplacement (montant de l’allocation par rapport au dernier salaire,

réduction de la durée d’indemnisation pour les chômeurs âgés et pour l’ensemble des demandeurs d’emploi…..).

Le montant estimé du déficit est de 30 milliards fin 2016, 35 milliards en 2018. Juste le même montant

que le CICE (crédit d’impôt compétitivité emploi) dont on sait qu’il a servi, pour l’essentiel, à nourrir

les dividendes et autres spéculations. Ce chiffre-là, la Cour des Comptes ne le voit pas. Comme beaucoup d’autres.

 

chomage5

 

 

  Au moment où le Président de la République présentait son énième plan

  pour l’emploi, la Cour des Comptes dévoilait, pour appuyer les propos

  de celui-ci, quelques-unes de ses propositions afin de réduire le déficit

  de l’assurance chômage.

  Pas de réelle surprise. Dans le viseur, l’indemnisation des chômeurs

  jugée trop longue, trop élevée, trop coûteuse, qu’il convient de diminuer.

 

 

 

Après le coût du travail, le coût du chômage !

Et de comparer, pour bien prouver la solidité de ses arguments,la situation des chômeurs d’autres pays

européens loin de bénéficier d’autant de largesses que leurs homologues français.

Cette attaque n’est pas nouvelle. Elle revient régulièrement avant chaque mauvais coup porté au monde

du travail et chaque renégociation de la convention d’assurance chômage. Pour le coup, la Cour des Comptes

joue tout de même petit bras ! Sûr qu’en cherchant bien, elle trouverait des pays, en dehors de l’Europe,

où le chômage est encore moins indemnisé, voire pas du tout ! Pourquoi se gêner ? C’est bien connu,

il y a toujours plus malheureux et plus pauvres que soi ! Plus riches aussi !

Les privilégiés ne sont pas chez les privés d’emploi

Car au moment où le Président de la République présentait son énième plan pour l’emploi et la Cour des Comptes

sa proposition de réduire les allocations chômage, OXFAM (ONG spécialisée dans la lutte contre la pauvreté

et pour la justice sociale) révélait, elle, dans son rapport annuel, que les inégalités dans le monde ont atteint,

en 2015, des sommets inégalés.

62 ultra-riches possèdent plus que 3,5 milliards de personnes dans le monde, soit 1760 milliards

de dollars (en augmentation de 44% depuis 2010). 1% de la population mondiale détient un patrimoine

supérieur à celui des 99 autres.

Et la France n’est pas en reste. 10 % des plus riches se sont accaparés plus de la moitié

de l’augmentation des richesses depuis l’an 2000.

L’étrange cécité de la Cour des Comptes

Curieusement ces chiffres-là, la Cour des Comptes ne les voit pas !

Pas plus que les 200 milliards d’aides diverses versées aux entreprises dont on attend toujours le bilan

de leur utilisation. Pas plus que les 50.5 milliards d’euros de dividendes versés en 2014 aux actionnaires

par les sociétés non financières. Pas plus que les 3,49 millions de personnes, sur les 6,13 millions inscrites

à Pôle emploi qui ne perçoivent aucune indemnité chômage, et que l’on ne peut décidément pas accuser

de vider les caisses de l’UNEDIC !

[Lire la suite sur  PCF Nord]

 

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Comment trouver 50 milliards sans casser les protections sociales ni taxer les classes moyennes (Basta)

Posté par communistefeigniesunblogfr le 29 avril 2014

 

Austérité

Comment trouver 50 milliards sans casser les protections

sociales ni taxer les classes moyennes : notre plan alternatif

 

par Agnès Rousseaux 29 avril 2014

 

austérité2

Économiser ou trouver 50 milliards d’euros,

ce n’est pas si compliqué. Et sans taxer les classes

populaires et moyennes, sans amoindrir

les protections sociales, sans affaiblir les services

publics, ni geler les salaires des fonctionnaires.

Basta ! suggère quelques mesures alternatives

au plan d’austérité concocté par le gouvernement

de Manuel Valls :

s’attaquer vraiment aux niches fiscales et aux fraudeurs du fisc, réduire la rente de l’industrie pharmaceutique qui creuse le déficit de la Sécurité sociale ou taxer les milliards de subventions implicites aux banques. Alors aidons Manuel Valls à récupérer ailleurs au moins 50 milliards d’euros !

« Un effort sans précédent de ralentissement de la dépense ». C’est par cet euphémisme débordant de novlangue que le gouvernement veut vendre les 50 milliards d’euros d’économies à réaliser entre 2015 et 2017. Son « programme de stabilité » est soumis au vote (consultatif) de l’Assemblée nationale mardi 29 avril. Objectif : atteindre l’équilibre des comptes publics d’ici 2017. Et surtout, respecter le chiffre magique des 3 % de déficit dès 2015, et les exigences de l’Union européenne. Certains élus socialistes voudraient ramener ce chiffre à 35 milliards. A l’UMP et chez les centristes de l’UDI, on veut pousser encore plus loin, jusqu’à 80 milliards d’économies, voire 130 milliards, avec une coupe de 65 milliards sur les prestations sociales. Au milieu de la guerre des chiffres, il semble déjà acté que moins, c’est mieux : l’État est dispendieux, il faut dégraisser le mammouth, tout le monde doit faire des efforts… Combien de voix, combien d’articles dans la presse, pour analyser la réelle pertinence de ces mesures d’austérité ? Ou pour questionner l’intérêt de voter une déclaration d’intention générale, sans déclinaison précise concernant la mise en œuvre ?

La proposition défendue par Manuel Valls inclut 18 milliards d’euros de dépenses en moins pour l’État, grâce à des « optimisations de ses interventions » (sic) et une « réduction de son train de vie ». Les collectivités locales sont mises à contribution pour 11 milliards d’euros, l’assurance maladie devra fournir un effort de 10 milliards et 11 milliards d’économies seront réalisées sur les autres dépenses de protection sociale. Peu de détails dans le programme de stabilité présenté. Mais sans aucun doute les habituels ingrédients des plans d’austérité : gel des salaires et des retraites, baisses de prestations, coupes budgétaires pour des agences publiques… S’il faut vraiment rééquilibrer les comptes de 50 milliards d’euros (ce qui mérite discussion), pourrait-on faire en sorte que ce ne soit pas les plus pauvres ou les classes moyennes qui trinquent ? Ou les services publics déjà mis à mal ? Les collectivités locales déjà exsangues ? Avec un peu d’imagination et de courage politique, d’autres pistes mériteraient d’être explorées. En voici quelques unes.

1- Niches fiscales : 50 milliards de dépenses inutiles ?

Pour un gouvernement à l’affut de coupes budgétaires, les niches fiscales et sociales constituent un vivier. En 2011, un rapport de l’Inspection des finances a examiné 538 d’entre elles, qui coûtent près de 104 milliards d’euros par an. Verdict : la moitié de ces dépenses (soit 52 milliards) ne sont « pas économiquement défendables ». Et 19% des niches sont jugées inefficaces et sans impact sur l’emploi. Elles coûtent pourtant 11,7 milliards d’euros à l’État.

Des mesures qui ne servent à rien, donc, sauf à ceux qui en bénéficient : quelques milliards qui s’accumulent dans le patrimoine privé des plus riches. Un exemple ? La réduction d’impôt pour l’emploi à domicile, qui vise à lutter contre le travail au noir et à faciliter le développement des services à domicile. Une mesure a priori utile. Sauf que le coût des services à la personne, 6 milliards, a été multiplié par deux en 6 ans. Et que deux tiers de ces niches sont « consommées » par les 10 % des Français les plus riches, estime le rapport de l’Inspection des finances.

Pourquoi ces niches fiscales, inefficaces ou injustes, existent-elles toujours ? Ce sont « de petites niches pour lesquelles il faudrait mener de grands combats », répond Bercy en 2011. En résumé, il faudrait négocier avec des groupes sociaux peu pressés de lâcher un privilège acquis. Le gouvernement dans sa chasse aux dépenses « superflues » osera-t-il s’y attaquer de manière plus offensive ? Pas sûr : le coût total des niches fiscales et sociales atteindra 80 milliards d’euros en 2014, soit 8 milliards de plus qu’en 2013. Une augmentation liée au Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) – baisses de cotisations sociales pour les entreprises – qui coûtera 9,7 milliards d’euros à l’État en 2014, puis 15,7 milliards en 2015. La plus coûteuse des niches fiscales, sobrement réintégrée dans le « pacte de responsabilité » lancé par Manuel Valls, doit permettre la création de 200 000 emplois. Mais d’après une enquête de l’INSEE [1], 32 % des entreprises affirment qu’elles « emploieront exclusivement le CICE pour améliorer leurs marges ». Une niche fiscale qui risque donc de finir en partie dans la poche des actionnaires.

2 – Fraudeurs du fisc : 30 milliards d’euros en moins dans les caisses

[Lire la suite sur Basta !]

illustration ajoutée par nous

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Enquête sur les rouages des paradis fiscaux

Posté par communistefeigniesunblogfr le 11 septembre 2013

 

Documentaire

Enquête sur les rouages des paradis fiscaux

Image de prévisualisation YouTube

sur youtube.

http://www.dailymotion.com/video/x146y0j

sur dailymotion

 

Dans le documentaire l’Évasion fiscale, diffusé hier, sur Arte, le journaliste Xavier Harel

décortique les subterfuges de ces riches qui ne veulent plus payer leur part.

Aujourd’hui, le montant de l’évasion fiscale, si l’on ne prend en compte que les actifs financiers

de riches particuliers, se situerait quelque part entre 21 000 et 32 000 milliards de dollars,

soit 10 à 15 % de la richesse financière mondiale. Cette estimation est avancée par James Henry,

l’un des économistes rencontrés par le journaliste d’investigation, 
Xavier Harel (1).

Dans le présent documentaire, celui-ci nous entraîne dans les circuits financiers les plus opaques,

met au jour les ruses des grands groupes industriels et des banques, mais aussi la faiblesse

des gouvernements, aussi prompts à imposer des plans de rigueur aux peuples que timorés

face aux puissances d’argent. « C’est normal, les pauvres, c’est fait pour être très pauvres

et les riches très riches », proclamait, dans la Folie des grandeurs, l’acteur comique Louis de Funès.

Une réplique qui surgit à point nommé dans ce documentaire, où l’ironie, loin de décrédibiliser le sujet,

en fait ressortir le contenu socialement indécent. Ces billets et ces lingots planqués dans des coffres

à l’étranger apparaissent pour ce qu’ils sont : de l’argent volé aux services publics, santé, éducation,

logement, transports…

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

Xavier Harel participera 
à un débat à l’agora de la Fête 
de l’Humanité,

dimanche 15 septembre, à 18 heures.

Le documentaire de Xavier Harel, diffusé mardi soir, est en ligne sur le site d’Arte pendant sept jours.

 

Lire également :

 

Enquête sur les rouages des paradis fiscaux  dans documentaire ccfd
La lutte contre l’évasion fiscale

des multinationales au menu du G20

 

 

 

 

evasion-fiscale arte dans Fraude fiscale

 

 

Eric Bocquet : « Tant qu’il y aura libre circulation

des capitaux, il y aura évasion fiscale »

 

 

 

 

evasion-fiscale2 Banques

 

 

 

 

Évasion fiscale : « en quelques années,

on pourrait résorber le déficit »

 

 

 

 

paradis-fiscaux documentaire

 

 

Cliquer sur l’image pour agrandir

 

 

 

 



A (re)voir :

 

http://www.dailymotion.com/video/xvxsei

sur dailymotion

http://www.dailymotion.com/video/x14g525

sur dailymotion


 

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Vous qui volez au secours de Gérard Depardieu, dans quel pays et quel monde vivez-vous ?

Posté par communistefeigniesunblogfr le 31 décembre 2012

 

Exil fiscal de Depardieu :

« Permettez aux syndicalistes que nous sommes d’exprimer notre rage »

 

Vous qui volez au secours de Gérard Depardieu, dans quel pays et quel monde vivez-vous ? dans Belgique depardieu4

Vous qui volez au secours de Gérard Depardieu, dans quel pays

et quel monde  vivez-vous ?

 Depardieu décide de s’exiler pour des raisons fiscales en Belgique,

un premier ministre juge cette attitude minable, et le débat s’emballe… 

Par Patrick Brody, Gérard Billon, Raymond Vacheron,

Jean-Claude Branchereau, Jean-Claude Mamet,

syndicalistes CGT.

C’est quelquefois autour de faits divers qu’émergent des débats politiques de fond qui traversent la société.

Marie-Antoinette souleva le peuple français, en lançant son méprisant: « Qu’on leur donne de la brioche. »

Plus récemment, c’est un pauvre vendeur à la sauvette, brutalisé par la police de Ben Ali qui déclencha

la révolution tunisienne. Ce qui est posé à travers l’affaire Depardieu, acteur de talent et populaire, c’est

le comportement indécent des très riches, alors que l’accroissement des inégalités atteint un point jamais

vu depuis 1945.

En effet, l’écart entre les très, très riches et l’appauvrissement des classes populaires se creuse de plus en plus.

La peur du lendemain taraude ces mêmes classes. De ce point de vue, permettez aux syndicalistes que nous

sommes, nous qui luttons au quotidien pour la justice sociale, de nous immiscer dans ce débat pour dire notre

écœurement, notre rage à ceux qui viennent au secours de Gérard Depardieu. Florilège non exhaustif.

Charles Berling nous assène: « Il fait ce qu’il veut de son argent. » (Ah bon, quelqu’un l’en a empêché ?)

« Le procès qu’on lui fait, c’est du maccarthysme », enfin, « Catherine Deneuve, qui est une grande dame, a eu

le mot parfait ».

Diantre, qu’a-t-elle pu nous dire ? Toute tremblante, Catherine s’interroge : « Qu’auriez-vous fait en 1789 ? »

Notons que les mêmes propos sont repris par le lunetier Afflelou le lendemain. Nous sommes héritiers des sans-culottes

Madame, et nous ne regrettons pas l’Ancien Régime où les paysans étaient tyrannisés par l’impôt. Quant à Stéphane

Guillon, il nous balance comme un banal Jean-François Copé: « Le salaud de riche est dangereux. » On pourrait continuer

car les soutiens à la figure emblématique du cinéma français sont nombreux.

Mais bon sang, dans quel pays vivez-vous ? Dans quel monde êtes-vous ? Êtes-vous coupés

à ce point des réalités du quotidien de la population pour ne pas vous apercevoir que vos propos sont outrageants,

blessants, révoltants au regard de ce que vivent des millions de concitoyens qui sont aussi parfois votre public ?

En deux mots, leurs conditions d’existence sont celles-ci :

  • 8 millions de pauvres, salariés ou pas, à moins de 854 euros !
  • 3 millions de salariés au Smic (1 121 euros net)!
  • 5 millions de chômeurs, développement à outrance de la précarité du salariat, etc.

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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Grèce : un journaliste arrêté pour avoir publié la liste de grands fraudeurs fiscaux

Posté par communistefeigniesunblogfr le 29 octobre 2012

 

Exclusif : En Grèce, il ne faut pas dire la vérité :

journaliste recherché par la police

 

Grèce : un journaliste arrêté pour avoir publié la liste de grands fraudeurs fiscaux dans Fraude fiscale hot_doc_ektakto2Par Fabien Perrier

Nouveau rebondissement dans l’histoire de la « liste Lagarde ».

Et nouvelles menaces sur la liberté d’information, en Grèce.

L’Humanité a en effet été informée que l’éditeur Kostas

Vaxevanis est recherché par la police.

Un communiqué le confirme : il indique que, sur ordre

du Procureur d’Athènes, « la police grecque exerce

des recherches pour trouver et arrêter l’éditeur du magazine

Hot Doc dans lequel a été publié la liste Lagarde ».

 

  • Dernière minute.
  • L’arrestation de  l’éditeur Kostas Vaxevanis est confirmée.

Que contient cette liste ? Environ 2000 noms de riches Grecs qui ont

des comptes en Suisse, dans la banque HSBC, échappant ainsi

au fisc de leur pays. Cette liste avait été fournie aux anciens ministres du Pasok (celui de la Défense, Evangelos

Venizelos et celui des Finances, Giorgos Papaconstantinou) par Christine Lagarde lorsqu’elle était ministre

de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Mais cette liste était visiblement vouée à disparaître.

L’un des ministres, G. Papanconstantinou, déclarant qu’il ne savait plus à quel fonctionnaire il avait donné le CD

contenant les noms, l’autre déclarant avoir perdu la clé USB avec les précieuses informations. Depuis, la France

se tenait prête à la communiquer si le gouvernement grec la lui demandait. Il n’en fut rien.

Alors que la Grèce sombre dans une crise sans précédent, le magazine d’investigation Hot Doc a publié les noms,

sans indiquer les comptes ni les sommes. Dans cette liste se trouvent des entrepreneurs ayant obtenu

des subventions de l’Etat grec, avant la crise, pour ne pas fermer leurs usines – comme la famille Lamaras, magna

du textile, des armateurs, des journalistes et trois personnalités politiques. Aussitôt, la police s’est mise à la recherche…

de l’éditeur de la liste. « La police le recherche. Elle l’accuse de divulguer des informations personnelles », explique

à humanité.fr Miguel Samotrakis, un des journalistes du magazine Hot Doc joint par téléphone.

« La police est même venue dans les bureaux » poursuit le journaliste.

Kostas Vaxenakis, rapidement joint par l’Humanité, s’est dit « très inquiet ».

Bref, il ne fait pas bon dénoncer la corruption alors que des personnes impliquées dans l’affaire Siemens,

par exemple (comme Michaël Christoforakos) ne sont pas inquiétées.

Alors que les mouvements sociaux se multiplient en Grèce, que la population – frappée à 25,3% par le chômage –

devient chaque jour plus pauvre, et que le rejet de l’austérité est massif, ce sont désormais les journalistes

qui semblent empêchés d’exercer leur métier. Déjà, en Grèce, certains ont surnommé Kostas Vaxevanis

le « Julien Assange Grec ». Julien Assange est poursuivi pour la publication de documents confidentiels

(câbles diplomatiques).

Cet épisode rappelle de sombres heures dans un pays sorti en 1974 de la dictature des colonels.

Lire également :

Un journaliste grec sous le coup d’un mandat d’arrêt pour avoir dévoilé l’évasion fiscale…

 

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Intervention d’André Chassaigne – Déclaration de politique générale du gouvernement

Posté par communistefeigniesunblogfr le 4 juillet 2012

 

Intervention d’André Chassaigne

 

Intervention d'André Chassaigne - Déclaration de politique générale du gouvernement dans André Chassaigne photo_chassaigne_0-257x300Monsieur le Président, Monsieur le Premier ministre, Chers Collègues,

Lors des scrutins de ce printemps, les Français ont souhaité tourner

la page de dix années de politique de droite. Ils ont sanctionné

une méthode de gouvernement brutale et inconséquente. Ils ont aussi

exprimé leur défiance à l’égard d’une politique économique incapable

de juguler la hausse du chômage et de relancer l’économie. Une politique

qui a aggravé les effets de la crise par la multiplication de mesures d’austérité.

L’échec est patent et le bilan du dernier quinquennat calamiteux.

La Cour des comptes soulignait, hier, que la dette a augmenté ces cinq dernières

années de près de 600 milliards d’euros, soit une hausse de plus de 40%.

La crise n’explique pas tout. Elle n’a pesé que pour un peu plus d’un tiers dans le déficit actuel. Le niveau des dépenses

publiques n’est pas non plus en cause : leur part dans la richesse nationale n’a cessé de diminuer depuis quinze ans.

Les causes des difficultés sont à chercher ailleurs, dans les choix politiques désastreux opérés en matière budgétaire

et fiscale, l’allégement de la fiscalité des plus fortunés, les quelques 172 milliards d’euros de niches fiscales et

d’exemptions sociales accordées aux entreprises, notamment les plus grandes d’entre elles, sans la moindre contrepartie

en termes d’emplois…

Indépendamment de la détérioration des comptes publics, faut-il rappeler que le chômage touche aujourd’hui près de 5 millions

de nos concitoyens ? Que le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté a augmenté de plus de 20% depuis 2002,

parmi lesquelles un nombre croissant de travailleurs pauvres ? Faut-il rappeler aussi que les plans sociaux se multiplient, tandis

que notre balance commerciale affiche un déficit de quelques 70 milliards d’euros ?

C’est donc bien d’urgence économique et sociale dont il faut parler !

Aussi, ce que les Français attendent de nous, ce n’est pas de nous engager dans la spirale de la rigueur, mais d’œuvrer au

contraire à la relance de l’activité, de nous émanciper des approches comptables pour bâtir les instruments d’une nouvelle donne

économique et sociale.

Ce qu’ils attendent, c’est que s’ouvrent des perspectives nouvelles, dans le souci de l’intérêt général et le respect des principes

d’égalité et de justice.

Nous ne le dirons jamais assez : nous n’avons pas le droit de décevoir cette espérance de changement. Nous avons une obligation

de résultat.

Et nous formulons pour cela des propositions de nature à sortir le pays de la crise et répondre aux attentes.

FDG7 dans Assemblee nationaleParmi ces propositions figure bien entendu la réorientation promise

de la politique européenne. A cet égard, les conclusions

du sommet européen qui s’est tenu la semaine dernière ne sont

guère encourageantes.

Ce sommet a certes permis la mise en place du pacte de croissance

que le Chef de l’État appelait de ses vœux. Mais sa portée est trop modeste.

Ce paquet de quelques 120 milliards d’euros, niché en annexe des conclusions du Conseil européen, n’aura pas la force

juridique du pacte budgétaire. L’enveloppe, constituée pour moitié de fonds déjà votés, ne représente au total qu’1% du PIB

européen. Cela ne suffira pas à exercer l’effet de levier attendu sur l’activité.

Cette maigre avancée se paie surtout de contreparties que nous jugeons dangereuses, disons même inacceptables.

Le donnant-donnant conclu à Bruxelles laisse en effet en l’état le fameux Pacte budgétaire. Destiné avant tout à rassurer

les marchés financiers, ce traité ne s’attaque à aucune des causes de la crise actuelle. Il en aggrave au contraire

les conséquences en durcissant les politiques d’austérité et en consacrant la mise sous tutelle européenne des politiques

économiques et budgétaires nationales.

[Lire la suite sur pcf.fr]

 

http://www.dailymotion.com/video/xrxufs

sur dailymotion.com

par LCP

Lire également :

Chassaigne: « Je ne me considere pas comme un opposant de gauche »

 

Chassaigne vu par André

http://www.dailymotion.com/video/xru7qp

sur dailymotion.com

par lejdd

 

Publié dans André Chassaigne, Assemblee nationale, France, Front de Gauche, PCF, POLITIQUE | Pas de Commentaires »

Taxe sur les transactions financières : nouveau coup de bluff médiatique de Sarkozy

Posté par communistefeigniesunblogfr le 7 janvier 2012

Accueil 6 janvier 2012

 

Taxation des transactions : Attac dénonce le bluff de Sarkozy

Taxe sur les transactions financières : nouveau coup de bluff médiatique de Sarkozy dans France attention_manipulation-238x300

Nicolas Sarkozy, Zorro des temps modernes volant au secours

des pauvres grâce à l’adoption prochaine d’une taxe

sur les transactions financières? La dernière histoire en date

racontée par Henri Guaino, le Bernardo du président

de la République, vient d’être démasquée par ATTAC.

L’association porteuse de la taxe Tobin ne croit pas en la mise en place

d’une taxation des transactions financières « avant la fin janvier »

pour « montrer l’exemple », comme l’a soutenu sur BFM TV ce vendredi matin

le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy. Et ce d’autant plus que la France

ne serait pas suivie par Berlin et Rome, qui veulent une solution européenne.

 

« De qui se moque le gouvernement ? Il y a à peine un mois le secrétaire d’Etat au Commerce extérieur,

Pierre Lellouche, s’opposait au vote par le Sénat d’une telle taxe, estimant que la France « ne peut légiférer seule »

car ce serait « contre-productif » et cela « nuirait à la place financière de Paris ». »

Annonce purement opportuniste

Dans son communiqué, Attac France dénonce les « envolées lyriques sur la taxe Tobin » dans les discours du chef

de l’Etat depuis deux ans.

« Cette annonce est purement opportuniste: elle ne vise qu’à atténuer l’effet désastreux de l’annonce 

de la TVA « sociale », dont chacun sait qu’elle frappera d’abord les couches populaires. Elle manque totalement

de crédibilité : contrairement à ce qui se fait toujours avant d’introduire un nouvel impôt, tout indique que Bercy n’a

mené aucune étude sérieuse de faisabilité pour préparer la mise en place d’une telle taxe au plan français. »

Sarkozy supprime l’impôt de bourse en 2008

L’association pointe le double langage de Nicolas Sarkozy. D’un côté de belles promesses. De l’autre, des mesures,

« réformes fiscales, réforme des retraites, sauvetage des banques sans contrepartie, casse des services publics… »

qui « montrent qu’il gouverne pour la finance. Rappelons également que Nicolas Sarkozy a supprimé en 2008 l’impôt

de bourse, qui taxait à la Bourse de Paris les transactions sur actions au taux de 0,3%. Nicolas Sarkozy joue donc

de façon indécente avec le symbole de la taxe Tobin pour tenter de redresser son image de Président des riches.

La manipulation politique est trop grossière pour que les citoyens se laissent abuser. »

  • A lire:

Le communiqué d’Attac

 

 

Publié dans France, Manipulation, POLITIQUE, Presidentielle 2012 | Pas de Commentaires »

« A la table des riches, les pauvres payent ! »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 25 novembre 2011

Parti Communiste Français24 novembre 2011

Enquête Patrimoine INSEE :

« A la table des riches, les pauvres payent ! »

 

Enquête Patrimoine INSEE : « A la table des riches, les pauvres payent ! »

L’enquête Patrimoine 2010 de l’INSEE le révèle :

les inégalités entre Français en matière de patrimoine

se sont fortement accrues entre 2004 et 2010. L’écart

entre les 10 % de ménages les plus pauvres et les 10 %

de ménages les plus riches a augmenté de plus de 30%

au cours de cette période.

Voici la réalité toute crue de la politique de Nicolas Sarkozy :

à la table des riches, ce sont les pauvres qui payent !

A la lumière des révélations de l’institut de statistiques, on comprend mieux l’acharnement

du gouvernement à s’en prendre aux chômeurs, assurés sociaux, allocataires de minima sociaux ;

tous accusés d’être des fraudeurs en puissance. C’est pour mieux cacher la razzia de la bande

du Fouquet’s qui depuis l’élection de Nicolas Sarkozy s’est largement servie grâce

à la multiplication des cadeaux fiscaux et exonérations de cotisations en tout genre.

Au lieu d’une TVA mensongèrement qualifiée de « sociale », c’est bien aux revenus du capital

et du patrimoine qu’il faut s’attaquer. Au vu de la lecture de l’enquête de l’INSEE, il y a là du grain

à moudre. C’est toute l’ambition du Front de Gauche que de s’y attaquer. Dans son programme

« L’humain d’abord », le Front de gauche propose d’établir un revenu maximum fixé à 20 fois

le revenu médian. Aucun revenu ne pourra être fixé sous le seuil de pauvreté et les minimas sociaux

seront fixés en référence au Smic et indexés sur celui-ci.

Publié dans Austerite, ECONOMIE, France, Politique fiscale, PRECARITE, Salaires | Pas de Commentaires »

Campagne présidentielle : Le « petit père » des fraudeurs fiscaux repart en guerre contre les pauvres

Posté par communistefeigniesunblogfr le 16 novembre 2011

Lu sur : Campagne présidentielle : Le 15 novembre 2011

publié par reineroro (Démineuse De Tapettes à Gruyère et Pourfendeuse De Cornichons.)

URL article original : http://www.actuchomage.org/2011111517882/Social-economie-et-politique/la-fraude-sociale-un-feuilleton-de-plus-en-plus-rasoir.html

 

La fraude sociale, un feuilleton de plus en plus rasoir

Auteur : SH - Source : Actuchomage

fraudes%20sociales%20cotisations dans ECONOMIESarkozy, bel et bien entré en campagne, veut imposer la lutte contre

la fraude sociale comme un des grands débats de 2012.

Un véritable écran de fumée !

Ayant peu à peu remplacé le filon de l’insécurité — longtemps porteur mais

vaguement éculé —, depuis cinq ans, le thème de la petite fraude

des «assistés» est récurrent dans les discours de not’ Président.

De même, plusieurs fois par an, le marronnier est agité par ses collaborateurs : trouvant écho dans les médias,

il stigmatise sans vergogne les assurés sociaux et les victimes de la crise.

Inlassablement, au risque de rebuter, le voici de retour sous l’impulsion de la “Droite populaire”, aile dure du

parti présidentiel, sur fond d’aggravation des déficits. «Les fraudeurs, c’est un sujet qui monte. C’est normal en

cas de crise, et on va mettre le paquet là-dessus», a déclaré un (ir)responsable de l’UMP sous couvert

d’anonymat, peut-on lire ici. On comprend que ce courageux politicard, avouant une stratégie opportuniste

digne de la com’ la plus crasse, souhaite rester incognito alors que les préoccupations de la majorité

des Français sont tout autres.

Des employeurs et professions libérales intouchables

Dans un récent rapport parlementaire, le député UMP des Bouches-du-Rhône Dominique Tian, membre de la

“Droite populaire” particulièrement obsédé par le sujet, a chiffré à plus de 20 milliards d’euros par an la fraude

aux prestations et cotisations sociales (sur les 600 milliards brassés annuellement par la Sécu). Soit.

Sur ces 20 milliards, a précisé Xavier Bertrand, la fraude aux prestations sociales — donc, celle des particuliers —

en représente près de 4. Pas besoin de sortir sa calculette : la fraude aux cotisations — donc,

celle des entreprises qui arnaquent l’Urssafen représente quatre fois plus ! Mais Xavier Bertrand l’élude

et se focalise sur les arrêts maladie… C’est également ce que va faire not’ Président des Riches, en visite

aujourd’hui dans une CAF de Bordeaux afin de nous asséner sa propagande mensongère.

Sur le dada du jour (la fraude aux arrêts de travail, vraiment dérisoire),

lisez ce précieux décryptage publié dans Lemonde.fr.

Pour rappel : concernant la fraude à l’assurance-maladie, sachez que les deux-tiers du préjudice sont le fait

non pas des assurés mais des professionnels de santé… 

[Lire la suite sur : dazibaoueb.com/]

 

Lire également :

sur sarkofrance.blogspot.com/Fraude sociale : ces résultats qui dérangent Sarkozy

 

Publié dans Austerite, ECONOMIE, POLITIQUE, Presidentielle 2012, SANTE, SOCIAL, UMP | Pas de Commentaires »

Le programme du Front de Gauche : « L’Humain d’abord ! »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 6 novembre 2011

 

Aux assemblées citoyennes

Prenez le pouvoir !

Assemblées citoyennes

Mode d’emploi

Les assemblées citoyennes sont des lieux de débats et de prises d’initiatives citoyennes.
Elles ne sont limités ni dans le temps, ni dans un lieu, ni même par une appartenance politique.
Elles sont un espace ouvert, de rencontre et de discussion où chacun et chacune doit trouver sa place.
Vous y ferez part de vos attentes, de vos envies, de vos analyses sur la situation politique. La finalité des assemblées citoyennes ne se trouve pas uniquement dans le constat. Des actions pourront être décidées en soutien aux luttes et résistances locales soulevées et débattues par les participants de l’assemblée.
C’est ici et là, dans dans vos lieux de vie, de travail, mais aussi dans le café au coin d’une rue que peuvent surgir ces assemblées. Les assemblées citoyennes fonctionneront dès lors que l’implication populaire y sera grande. Alors n’attendez pas ! Investissez, créez, organisez, pensez les assemblées citoyennes.

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En 2012, on va leur faire un dessin, les 9 thèmes du Programme du Front de gauche

 

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Reprendre le pouvoir aux banques et aux marchés financiers

Le temps est venu de reprendre le pouvoir sur nos vies, et pour cela, nous voulons demain un gouvernement qui combattra le diktat financier des banques et des marchés.

  • Changer les missions de la banque centrale européenne pour une politique monétaire en faveur de l’emploi et du développement des services publics.
  • Mettre sous tutelle les banques qui spéculent et créer d’un pôle public financier permettant de réorienter les critères du crédit vers la production utile, l’emploi, l’innovation et la révolution écologique.
  • Abolir les privilèges fiscaux, notamment les 30 milliards d’euro d’exonération des entreprises et taxer les revenus capital au même niveau que ceux du travail.

 

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Partager les richesses et abolir l’insécurité sociale

La France n’a jamais été aussi riche mais ces richesses n’ont jamais été aussi mal partagées. Notre priorité absolue : éradiquer la pauvreté, la précarité et relancer l’économie par le partage.

  • Interdire les licenciements boursiers et rétablir le CDI à temps plein comme norme du contrat de travail.
  • Porter le SMIC à 1 700 euros net par mois pour 35 heures et instaurer d’un écart maximum de salaire de 1 à 20 pour toutes les entreprises.
  • Rétablir le droit à la retraite à 60 ans à taux plein, augmenter les minimas sociaux et créer une allocation jeunesse d’autonomie.
  • Adopter un pacte de défense et de développement de nouveaux services publics (santé, logement, petite enfance…).

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La planification écologique

Le capitalisme nous conduit à une catastrophe écologique planétaire. Nous n’avons pas de planète de rechange. Face à la tyrannie du productivisme, nous enclencherons la transition écologique de l’économie.

  • Créer un pôle 100% public de l’énergie comprenant EDF, GDF, Areva et Total et engager un débat public national sur la politique énergétique en France.
  • Mettre en place une taxe kilométrique pour réduire les transports de marchandises évitables et développer les transports publics de qualité.
  • Lutter contre la marchandisation des ressources naturelles, par exemple par la création d’un service public national de l’eau.

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Produire autrement

Ce nouveau mode de développement, respectueux des hommes comme de l’environnement, constituera un puissant moteur de relance industrielle, d’emplois et d’innovation.

  • Redéfinir les filières industrielles prioritaires pour répondre aux besoins sociaux et environnementaux
  • Sécuriser les parcours de vie par une véritable sécurité sociale de l’emploi et de la formation.
  • Des droits nouveaux pour les salariés dans l’entreprise et soutien à l’économie sociale et solidaire.

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La France pour changer le cours de la mondialisation

La France est la cinquième puissance mondiale, centrale dans la construction européenne. Nous avons les moyens de peser pour une mondialisation guidée par la coopération entre les peuples plutôt que par la concurrence, par le droit plutôt que par la force.

  • Retirer la France de l’Otan pour retrouver notre indépendance, rompre avec l’alignement atlantiste et agir pour la dénucléarisation et le désarmement multilatéral.
  • Annulation de la dette des pays pauvres et mise en place d’un Fond de coopération solidaire financé par une taxe de type Tobin et placé sous l’égide des Nations-Unies.
  • Reconnaitre l’Etat de Palestine dans les frontières de 1967 avec pour capital Jérusalem-Est.

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S’affranchir du traité de Lisbonne et construire une autre Europe

L’Europe est au bord du gouffre. Il est temps d’écouter ceux qui avaient tiré la sonnette d’alarme dés 2005 en votant non au traité de constitution. Il faut en finir avec les dogmes libéraux que le Traité de Lisbonne concentre.

  • Replacer l’humain, la démocratie et le progrès social au cœur de la construction européenne.
  • Remettre en cause le pacte pour l’Euro+ et mettre en place un Fond de développement social, écologique et solidaire européen.
  • Prendre l’initiative d’un nouveau traité proposé par la France et adopté par Référendum.

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La République pour de vrai

Atteintes aux libertés, autoritarisme, discriminations : l’Etat Sarkozy s’en prend aux fondements même de notre République. Il est temps d’engager une refondation républicaine conforme à la devise, « Liberté, égalité, Fraternité ».

  • Réaffirmer la loi 1901 sur la laïcité comme pilier de la République, porteur de droits à tous.
  • Mettre en place un Ministère des femmes et de l’égalité dans tous les domaines.
  • Abroger les lois liberticides et sécuritaires et garantir la sécurité par la prévention et le développement d’une police de proximité.

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L’émancipation humaine en tête

La finalité de notre projet, c’est de donner à chacune et chacun les moyens de s’épanouir, de développer pleinement ses potentialités, d’être maître de sa vie.

  • Recruter dans l’éducation nationale afin de rétablir tous les postes supprimés.
  • Doubler l’effort de recherche publique et porter à 12 000 euros par an et par étudiant l’effort budgétaire public pour l’enseignement supérieur.
  • Porter à 1 % du PIB l’effort public pour les arts, la création et la culture.

 

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Convoquer l’assemblée constituante de la VIe république

Pour gouverner à partir de la volonté populaire et non contre celle-ci, pour instaurer une démocratie véritable, indépendante des puissances dominantes de l’argent, nous voulons une VIe République pour donner des pouvoirs à la société toute entière, aux citoyens comme aux salariés.

  • Convoquer une assemblée constituante pour fonder une nouvelle République, reconnaissant notamment la citoyenneté d’entreprise, et généralisant la démocratie participative.
  • Abroger la réforme des collectivités, lutter contre le présidentialisme et rétablir la primauté du parlement sur l’exécutif.
  • Garantir l’indépendance de la justice et des médias à l’égard du pouvoir politique et des puissants.

 

 

Voir également :

sur pcfmaubeuge.unblog.fr/en-2012-on-va-leur-faire-un-dessin-la-crise/

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