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Défense de l’industrie et de l’emploi : plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont répondu à l’appel de la CGT

Posté par communistefeigniesunblogfr le 9 octobre 2012

 

Grande journée de mobilisation pour l’emploi, heure par heure

 

Défense de l'industrie et de l'emploi : plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont répondu à l'appel de la CGT dans CGT une_25

 

La rédaction de l’Humanité est en ordre de marche

pour vous faire suivre, heure par heure, la grande

journée de mobilisation pour la défense de l’industrie

et de l’emploi.

Retrouvez au fil de la journée témoignages,

état de la mobilisation et photographies.

 

 

 

 

16 heures : Derrière la fermeture d’Aulnay et la liquidation de milliers d’emplois dans tout le pays, le sort de

la recherche et développement dans le groupe PSA mobilise également dans les rues de Paris.

« Dans le milieu des ingénieurs, on discute pas mal de la situation, témoigne le délégué Cgt du centre R&D

de la Garenne. Le plan est gelé tant que le rapport d’expertise n’est pas présenté au comité central d’entreprise,

mais la direction cherche à démotiver tout le monde pour obtenir quoi qu’il arrive les 10% de suppression

d’emplois à la fin de l’année: 200 salariés en moins sur 2600 ! Et ceci dans un contexte où, l’année dernière, 

700 prestataires extérieurs nous ont déjà quittés… Pour l’heure, on ne voit pas bien ce que le gouvernement

fait, avec ses réunions tripartites ! Si on sacrifie la recherche, c’est tout le groupe qui sera condamné à moyen

terme. »

15h30 : Une vingtaine de métallos liégeois, eux aussi victimes de l’appétit de profits insatiables de Mittal,

sont présents dans le défilé.

Fabian, délégué FGTB, ne voit pas Florange survivre sans ses hauts-fourneaux: « Il faut des sites intégrés

avec une filière à chaud et une à froid. On le voit bien chez nous à Liège, Mittal est en train de liquider

les hauts-fourneaux et de licencier 595 salariés… On ne peut le laisser démanteler toute la sidérurgie en Europe

de l’Ouest. »

Les salaries de Disney sont également présents, car « 1 emploi supprimé dans l’industrie c’est 2 emplois perdus

dans le commerce et les services », explique l’un de leurs porte paroles.

La mobilisation est également un succès en province. A Rennes, près de 4000 manifestants ont pris

le départ à 14 heures de la place de la gare, après les interventions des travailleurs de PSA, STX, Technicolor,

la poste et de l’éducation nationale.

Ils étaient 7000 à Bordeaux ce matin à 11 heures, autant à Lyon, avec la présence remarquée  des salariés de

Renault-Trucks, d’Arkema, de Rhodia et d’ArcelorMittal. « La solution à la crise et le retour à une croissance soutenue

ne se trouvent pas dans l’abaissement du coût du travail, mais dans l’urgence de s’attaquer au coût du capital »

a dit Bruno Bouvier, secrétaire régional de la CGT Rhône-Alpes.

A Marseille, plusieurs milliers de manifestants ont défilé en fin de matinée sous des banderoles clamant

le « refus des plans de rigueur ». On a été agacé par le recul du gouvernement devant le Medef. C’est clairement

un premier avertissement au gouvernement pour lui rappeler le rapport de force dans ce pays », a affirmé la secrétaire

générale de la CGT locale, Mireille Chessa.

15 heures : La journée de mobilisation pour l’emploi est « une réussite » affirme Bernard Thibault. Rien qu’à

Paris, « des dizaines de milliers de manifestants ont répondu à l’appel de la CGT ». Et effectivement il y a foule ! Le cortège

s’étire. Quand les premiers s’approchent de Montparnasse, les derniers commencent  à peine à descendre l’avenue

des Gobelins. Pour Bernard Thibault, cette journée « est une alerte à l’égard des pouvoirs publics et du patronat » alors que

« la situation rend chaque jour plus gravissime l’état de l’appareil industriel. »

 

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Bernard Thibault dans l’Humanité : « Faire contrepoids face à la pression du Medef »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 8 octobre 2012

 

Bernard Thibault dans l'Humanité :

 

À la veille des manifestations 
du 9 octobre, pour la défense de l’industrie,

le secrétaire général de la CGT dénonce dans l’Humanité de ce mardi

l’offensive patronale pour baisser le « coût du travail » et accroître la flexibilité.

La CGT, avertit-il, ne signera pas un accord qui constituerait une nouvelle étape


de déréglementation du travail infondée.

 

Extrait :

PSA Aulnay, les hauts-fourneaux de Florange, la recherche chez Sanofi et tant

d’autres sites des secteurs les plus divers 
sont dans la tourmente. C’est 
dans le

contexte d’une véritable hécatombe touchant l’industrie française que la CGT

appelle 
à une journée de mobilisation le 9 octobre, dans le cadre d’une action

européenne. Quel en est l’objectif ?

 

 

Bernard Thibault. La décision du congrès de la Fédération européenne des travailleurs de l’industrie consistait à

organiser une semaine de sensibilisation, d’information, voire de mobilisation. Nous l’avons traduite sous forme

de mobilisation, compte tenu de ce qui se passe en France…

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Publié dans CGT, Emplois, Exploitation, France, l'Humanité, Luttes, SOCIAL | Pas de Commentaires »

Aulnay : Grand meeting intersyndical de lutte contre la casse des emplois

Posté par communistefeigniesunblogfr le 29 septembre 2012

 

Industrie

Manifestation à Aulnay :

contre la saignée des emplois, le 93 se rebelle ce samedi

 

Aulnay : Grand meeting intersyndical de lutte contre la casse des emplois  dans Emplois manif-aulnay-300x150PSA, Air France, Sanofi… les plans sociaux qui frappent

les salariés partout en France seront particulièrement

dévastateurs en Seine-Saint-Denis.

Samedi, 
les travailleurs feront front commun lors

d’un meeting intersyndical à Aulnay.

 

Stopper l’hémorragie : ce sera le mot d’ordre du grand meeting intersyndical (CGT, CFDT, FO, Unsa, FSU, Solidaires)

et interprofessionnel qui aura lieu samedi à la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). PSA, Air France,

Sanofi, Presstalis et d’autres salariés menacés seront présents pour faire front ensemble face à la casse

de leurs emplois.

Dans un département qui connaît déjà un chômage à 12,2 %, la multiplication des plans sociaux qui s’annonce risque

d’aggraver un peu plus une situation économique et sociale déjà sinistrée. Après avoir perdu un tiers de ses emplois

industriels entre 1999 et 2009 (dernières données en date de l’Insee), la Seine-Saint-Denis est aujourd’hui menacée

de voir l’usine Citroën d’Aulnay et ses 3 300 emplois disparaître d’ici à 2014. Trois fois plus si l’on compte les emplois

induits. « Environ 15 % de notre activité est directement liée à l’usine PSA d’Aulnay », explique par exemple Stéphane

Bertazzo, délégué CGT chez MA France, sous-traitant dans l’emboutissage d’éléments de carrosserie, qui compte

environ 300 salariés et 75 intérimaires.

De nombreux sous-traitants concernés

[Lire la suite sur humanite.fr]

Meeting de lutte
Samedi 29 septembre, à Aulnay-sous-Bois,
place Jupiter (quartier de la Rose des vents)
14 heures : meeting avec prise de parole de salariés en lutte,
15 h 30 : concert de clôture avec ZEP.
Possibilité de restauration (mafé) à partir de 12 h 30.

Lire aussi :

Publié dans Emplois, France, licenciements, Luttes, POLITIQUE, Politique industrielle, SOCIAL | Pas de Commentaires »

Dans l’Humanité de ce jeudi : le 93 se rebelle contre la saignée des emplois

Posté par communistefeigniesunblogfr le 27 septembre 2012

 

Dans l'Humanité de ce jeudi : le 93 se rebelle contre la saignée des emplois dans Chomage une-hq_7-211x300

PSA, Air France, Sanofi… les plans sociaux qui frappent

les salariés partout en France seront particulièrement

dévastateurs en Seine-Saint-Denis.

Samedi, 
les travailleurs feront front commun lors

d’un meeting intersyndical à Aulnay.

 

A lire dans notre édition:

  • Le front commun des salariés de Seine-Saint-Denis 

Stopper l’hémorragie : ce sera le mot d’ordre du grand meeting intersyndical

(CGT, CFDT, FO, Unsa, FSU, Solidaires) et interprofessionnel qui aura lieu

samedi à la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). PSA, Air France,

Sanofi, Presstalis et d’autres salariés menacés seront présents pour faire front ensemble face à la casse de leurs emplois.

Dans un département qui connaît déjà un chômage à 12,2 %, la multiplication des plans sociaux qui s’annonce risque d’aggraver

un peu plus une situation économique et sociale déjà sinistrée.

Après avoir perdu un tiers de ses emplois industriels entre 1999 et 2009 (dernières données en date de l’Insee), la Seine-Saint-Denis

est aujourd’hui menacée de voir l’usine Citroën d’Aulnay et ses 3 300 emplois disparaître d’ici à 2014. Trois fois plus si l’on compte

les emplois induits. « Environ 15 % de notre activité est directement liée à l’usine PSA d’Aulnay », explique par exemple Stéphane Bertazzo,

délégué CGT chez MA France, sous-traitant dans l’emboutissage d’éléments de carrosserie, qui compte environ 300 salariés et

75 intérimaires…

Lire la suite dans l’Humanité de ce jeudi

  • A Aulnay, entre colère et solidarité
  • Les services publics, victimes collatérales
  • « L’industrie a besoin d’un soutien politique et citoyen », le point de vue de François Asensi, député Front de gauche (93)
  • Hécatombe, l’édito de Jean-Emmanuel Ducoin

Publié dans Chomage, ECONOMIE, Emplois, France, l'Humanité, licenciements, SOCIAL | Pas de Commentaires »

PSA Aulnay : pas de suspension du plan social !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 21 septembre 2012

 

PSA Aulnay : pas de suspension du plan social !  dans ECONOMIE psa3-300x150PSA Aulnay :

Hollande ne veut pas

de suspension

du plan social

 

L’intersyndicale de PSA Aulnay a été reçue ce jeudi après-midi

à l’Élysée par le président François Hollande. Elle devait demander

la suspension du plan social qui prévoit la fermeture de l’usine et

la suppression des 3.000 emplois permanents du site, mais n’a

obtenu que la promesse de négociations tripartites.

François Hollande a promis des négociations tripartites –syndicats, direction, Etat—

mais ne s’est aucunement engagé sur le gel du plan social. Selon le délégué CGT

Jean-Pierre Mercier, « les négociations auront lieu site par site », notamment celui

Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), que PSA entend fermer d’ici à 2014,

supprimant quelque 3.000 emplois, et celui de Rennes.  Il s’agit d’ »obtenir le

maximum de garanties sur le maintien de l’emploi, c’est une revendication unanime

des syndicats. Il va falloir que les salariés imposent leur ordre du jour » lors des

réunions tripartites « car Peugeot a dit jusqu’à présent qu’il ne voulait négocier que sur

la réindustrialisation » et pas sur les 8000 suppressions de postes annoncées à la mi-

juillet.

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Manifestation pour l’interdiction des licenciements à la Fête de L’Humanité

Posté par communistefeigniesunblogfr le 15 septembre 2012

 

Manifestation pour l’interdiction des licenciements

à la Fête de L’Humanité

 

Manifestation pour l'interdiction des licenciements à la Fête de L’Humanité dans CGT munemfete2 Fête de l'Humanité dans Emplois

 

Des salariés d’entreprises en lutte venus en car de toute la France ont défilé en cortège

pour réclamer l’interdiction des licenciements économiques.

Tous avaient leurs slogans. « De l’argent il y en a dans les caisses de PSA » scandaient les salariés d’Aulnay,

« Avec 9 milliards de profit, Sanofi doit créer des emplois et non les détruire », ou encore les métallos de Gandrange

qui chantaient « on en a marre de ces guignols qui ferment nos usines et nos écoles.»

 

Amin Tamsamani, délégué CGT de Sanofi sur le site menacé de Romainville dénonce la suppression depuis 2004

de 3000 emplois en Seine Saint Denis. « Le but de la direction, c’est de verser 4 milliards d’euros de dividende

à ses actionnaires. Entre PSA et Sanofi, ils tuent l’emploi dans le 93, et après on se demande où est l’emploi

dans les cités. » C’est d’autant plus grave que les sites que Sanofi veut fermer son des centres de recherche.

Une stratégie à court terme complètement absurde : « dès qu’on touche à la recherche, c’est moins de médicaments,

moins de production, moins de distribution. Ce qui met en condamne encore plus d’emplois ».

 

Les Licenci’elles, association de salariées en lutte née d’un plan de licenciement économique chez les 3 Suisses,

se sont rassemblées avec les  travailleurs de Fralib et de Goodyear. Leur lutte est au cœur de la contestation du jour :

proposer une loi interdisant les licenciements économiques lorsque les entreprises font des bénéfices. « Là où il y a

la recherche d’un licenciement pour un seul but boursier, il faut qu’il y ait la saisine d’un tribunal qui puisse suspendre

ce plan » avait annoncé le candidat socialiste. Aujourd’hui, le collectif de Licenci’elles soutenu par les représentant

des salariés de Goodyear, ZF, Fralib, Faurécia, Valéo, Samsonite, La Redoute, des 3 Suisses, ArcelorMittal et bien

d’autres, portent cette proposition de loi soutenue également par le Front de Gauche.

[Lire la suite sur humanite.fr]

Photos de Laurianne Vandebeulque, Lucile Casanova et Brendan François

Lire aussi :

Syndicalistes, politiques et salariés ensemble pour l’emploi

Les entreprises en lutte sont à la Fête de l’Humanité

Publié dans CGT, Emplois, France, l'Humanité, licenciements, Luttes, POLITIQUE, SOCIAL | Pas de Commentaires »

Communiqué de presse de la CGT PSA Aulnay

Posté par communistefeigniesunblogfr le 12 septembre 2012

 

Décisions des salariés réunis en

Assemblées Générales du 11 septembre

Revendication et actions

 

Communiqué de presse de la CGT PSA Aulnay  dans CGT psa-fermetures-4da4a Ce 11 septembre, près de 700 salariés se sont réunis en Assemblées Générales

pour faire le point de la situation et pour décider des actions à organiser.

Les Assemblées Générales ont bien noté l’acceptation par M. Montebourg

d’organiser un processus de négociations tripartites (direction –Syndicats 

PSA  Aulnay-Gouvernement) mais cela ne suffit pas.

Pour que ces réunions, qui doivent aboutir à un accord tripartite

sur les garanties de maintenir tous les emplois, se déroulent

sérieusement et en toute sérénité,  il est absolument nécessaire que le plan de licenciement

de PSA, qui doit être réactivé fin novembre, doit être définitivement bloqué.

Les salariés ont voté la revendication suivante :

Non au plan de licenciement et à la fermeture de l’usine et le maintien de tous les emplois !

 Les salariés réunis en AG ont voté à l’unanimité les actions suivantes :

  • Le principe d’actions surprises dont la première interviendrait très rapidement.
  • 15 septembre : délégation à Rennes pour la manifestation de PSA Rennes.
  • Manifestation en direction de l’Élysée entre le 17 et le 21 septembre afin d’être reçu par François Hollande.

 

  • 29 septembre : Rassemblement à la cité des 3000 organisé par tous les syndicats

du 93 (CGT-CFDT-FO-UNSA-Solidaires) avec la participation des syndicats d’Air France,

de Sanofi, DHL…

  • 9 octobre :

   Le matin : action en direction du salon de l’Auto avec la participation des salariés de

toutes les usines PSA.

    L’après midi : manifestation européenne contre les plans de licenciements. 

 (le cortège de PSA Aulnay ouvrira la manifestation).

Aulnay, le 12 septembre 2012

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PSA : les syndicats mobilisés contre le plan de restructuration

Posté par communistefeigniesunblogfr le 12 septembre 2012

 

PSA :

les syndicats condamnent le rapport Sartorius

 

PSA : les syndicats mobilisés contre le plan de restructuration dans ECONOMIE 2012-09-11psa-syndicats-300x150Les syndicats de PSA Peugeot-Citroën s’attendaient

aux conclusions peu favorables pour l’emploi du rapport

d’expertise de la situation économique du groupe

automobile rendu ce mardi au gouvernement.

Ils restent mobilisés contre le plan de restructuration.

 

Ainsi, Jean-Pierre Mercier, de la CGT, a « le sentiment que c’est un rapport commandité par la direction, tout est soi-disant

inéluctable. La situation financière de PSA serait fragile, est-ce que la santé des salariés n’est pas plus fragile ?

Les 3 milliards de rachats d’action ont été entérinés, mais est-ce aux salariés de payer la note?

Tanja Sussest du SIA, majoritaire à l’usine de PSA Aulnay, dénonce un rapport qui « est un écran de fumée derrière lequel

se cachent aussi bien la direction que le gouvernement. On est scandalisés de voir que la direction n’avait pas été invitée

à la réunion (au cours de laquelle le rapport a été remis au ministre Arnaud Montebourg, ndlr). On peut se poser

des questions sur l’indépendance du cabinet Sartorius. »

« Joueur de flûte »

Le syndicaliste dénonce aussi la réaction à ce rapport du ministre du Redressement productif :

« Montebourg est un grand joueur de flûte : avant les congés il dit « je vais empêcher la fermeture d’Aulnay », un mois après il a

changé du tout au tout avec un discours du genre « PSA est en difficultés, il faut les aider ». On est déçu par Montebourg mais

aussi par François Hollande qui s’était engagé à nous recevoir après le 6 mai s’il était élu. S’il ne vient pas, on ira le chercher

ce rendez-vous ».

Mobilisation

Pour les syndicats du groupe automobile, l’heure est encore plus à la mobilisation. « Nous n’avons pas l’intention de nous

laisser faire, reprend Jean-Pierre Mercier, de la CGT. Le point positif c’est que le ministre a décidé d’engager des réunions

tripartites entre la direction centrale de Peugeot, les syndicats d’Aulnay et les pouvoirs publics pour obtenir de Peugeot

le maximum de garanties sur le maintien de tous les emplois.

« Maintenant pour démarrer ce processus de négociations, il faut que les pouvoirs publics bloquent le plan de

licenciements. »

Source : humanite.fr  11 septembre 2012

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Non à la casse de l’usine de PSA Aulnay : signez la pétition ! (CGT)

Posté par communistefeigniesunblogfr le 19 juillet 2012

 

Non à la casse de l’usine de PSA Aulnay

 

Non à la casse de l’usine de PSA Aulnay : signez la pétition ! (CGT) dans CGT 362061_un-delegue-cgt-de-psa-porte-un-badge-contre-la-fermeture-du-site-le-13-juillet-2012-a-aulnay-sous-boisPour protester contre les projets de fermeture

de l’usine Peugeot Citroën d’Aulnay-sous-Bois,

signez la pétition !

Nous tenons par notre signature à protester contre les projets

de fermeture de l’usine Peugeot Citroën d’Aulnay-sous-Bois.

Ce ne sont pas moins de 4 000 emplois qui seraient détruits

en cas d’abandon par la direction du site de PSA Aulnay ! 

Une grande partie de ces salariés vivent en Seine Saint-Denis,

département aux 121 000 demandeurs d’emploi déjà particulièrement frappé par le chômage !

Rien ne peut justifier un tel choix. PSA est une entreprise qui ne rencontre aucune difficulté financière. Ses ventes sont au plus

haut niveau avec son record historique de 3,6 millions de véhicules vendus en 2010. La direction de PSA a déclaré disposer de 

11 milliards d’euro de réserve. De plus, PSA reçoit en permanence des aides financières de l’État : aides à la recherche,

dégrèvement des cotisations sociales, prêt de trois milliards d’€, prime à la casse, 

Il est inadmissible que ces subventions aident ce grand groupe industriel à fermer les usines, détruire les emplois, jeter

des travailleurs à la rue. Nous exigeons le maintien du site de production d’Aulnay-sous-Bois par engagement écrit et signé

de la direction de PSA et du gouvernement.

SIGNEZ LA PÉTITION

CGT PSA Aulnay

 

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PSA veut « saturer » un nombre restreint de sites pour produire à moindre coût et servir davantage les actionnaires.

Posté par communistefeigniesunblogfr le 14 juillet 2012

 

Automobile

PSA :

une stratégie de baisse des coûts qui mène dans le mur

 

PSA veut « saturer »  un nombre restreint de sites pour  produire à moindre coût et servir  davantage les actionnaires.  dans ECONOMIE psa_infographieBaisse des ventes ? Surcapacités ?

Un syndicaliste et un économiste

contestent l’argumentaire de PSA.

Pour eux, le groupe veut « saturer »

un nombre restreint de sites pour

produire à moindre coût et servir

davantage les actionnaires. 

Les marchés reculent, les usines sont en surcapacité,

pour survivre, il faut « réorganiser ».

Tel est, en substance, le schéma explicatif livré, hier,

par PSA en accompagnement de son plan choc.

Pas si simple. Les ventes de voitures neuves ont certes

connu un pic en 2010 et 2011 sous l’effet

de la prime à la casse. « La chute qui a suivi était prévisible. Les constructeurs ne peuvent pas dire qu’ils ne s’attendaient pas

à un retournement du marché de l’auto. Tout le monde le savait », note Walid Hasni, chargé de mission chez Méric et Associés,

cabinet d’expertise auprès des comités d’entreprise. Mais, hormis cet épisode, depuis une dizaine d’années,

« il n’y a pas de baisse des immatriculations en France ; par contre, il y a une énorme baisse de production. Depuis dix ans,

on a fabriqué à peu près un million de véhicules en moins alors que les ventes sont stables », ajoute-t-il.

Pas d’étude chiffrée

« La question de la surcapacité (en Europe – NDLR) est posée depuis dix ans et ça n’a pas empêché les constructeurs

de continuer à installer des sites dans des pays low cost », renchérit Michel Ducret, en charge de l’auto à la fédération

des métaux CGT. Et d’évoquer l’implantation de PSA à Trnava, en Slovaquie, pour y fabriquer de petits véhicules,

« soi-disant pour le marché local. Mais 85 % de cette fabrication est réimportée en Europe de l’Ouest ». Même chose pour

la Twingo délocalisée à Bursa, en Turquie, et « réimportée à plus de 70 % en Europe de l’Ouest », note Walid Hasni.

« Renault espérait avoir la productivité France et les salaires slovènes. Mais les travailleurs slovènes, quand ils ont vu

la hausse de la productivité, ont demandé des hausses de salaires… » Actuellement, ni Renault ni PSA ne sont en mesure

de produire une étude chiffrée attestant des gains financiers réalisés avec cette stratégie, constate l’expert de Méric.

Aujourd’hui, la même logique de recherche permanente d’une baisse des coûts de production détermine le plan de

« réorganisation » annoncé chez PSA. Il s’agit de « saturer la production » sur un nombre réduit de sites, d’empocher

des économies par la fermeture d’Aulnay, et ainsi de « produire à moindre coût pour rapporter le plus aux actionnaires »,

pointe Michel Ducret. Même analyse chez Walid Hasni, qui interroge : « Qui peut nous expliquer pourquoi Renault garde

la production de la Clio à Flins – et certainement une production rentable – et pourquoi PSA n’y arriverait pas à Aulnay

avec la C3 ?

Ce sont les mêmes fournisseurs, la même gamme, des véhicules semblables, et les mêmes salaires. »

« Le site d’Aulnay est sacrifié pour accroître la rentabilité. Qu’on ne dise pas qu’il n’est pas rentable : il est plus chargé

(en production – NDLR) que celui Flins… », ajoute l’expert, qui souligne la vitalité du segment des petits véhicules,

« celui qui a le plus explosé grâce à la prime à la casse et au bonus écologique ». « Pour commander une C3, en 2011,

il fallait attendre quatre à cinq mois, six mois pour une Twingo… »

Problème de pouvoir d’achat

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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