Hausse des tarifs du gaz : « coup de canif dans le pouvoir d’achat des français »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 11 juillet 2012

 

Hausse des tarifs du gaz :

« coup de canif dans le pouvoir d’achat des français »

 

Hausse des tarifs du gaz : « coup de canif dans le pouvoir d’achat des français » dans ECONOMIE gaz_euro-300x217Après la très faible revalorisation du SMIC, la hausse des tarifs du gaz, même

limitée à 2% comme l’a annoncé Jean-Marc Ayrault, est un coup de canif dans

le pouvoir d’achat des français. Elle aggrave la situation déjà alarmante de

3.8 millions de familles en précarité énergétique.

Déjà depuis 2004, à l’ouverture du capital de Gaz de France, le prix du gaz a

augmenté de 60 % dont 20% entre avril 2010 et avril 2011. Pourtant le groupe

GDF Suez a versé 3.3 milliards de dividendes en 2012 à ses actionnaires,

ce qui représente un taux de distribution de 83 %. Actionnaire à 35 % l’État peut s’opposer, au conseil d’administration,

aux décisions abusives et contraires au développement d’un vrai service public et aux besoins des populations.

Le PCF rappelle que les sénateurs communistes ont fait voté en décembre dernier un amendement visant à ce

qu’une commission pluraliste composée d’élus, d’usagers, de représentants des salariés du secteur et du ministre chargé

de l’énergie soit créée afin d’étudier la formule tarifaire du gaz. Cette commission fixerait les tarifs réglementés afin de pouvoir

mesurer les écarts entre les coûts réels d’approvisionnements et les formules de fixation des tarifs.

Le PCF revendique donc un gel des tarifs d’ici là.

Source : Site national du PCF  10 juillet 2012

Lire également :  L’État contraint d’augmenter rétroactivement le prix du gaz

 

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Le coup de pouce du SMIC : « un sévère coup de froid »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 27 juin 2012

 

Le coup de pouce du SMIC : « un sévère coup de froid »

 

Le coup de pouce du SMIC : « un sévère coup de froid » dans Austerite smic6mai-300x150Par Olivier Dartigolles, le 26 juin 2012

Le coup de pouce du SMIC qui avait été promis se révèle être un premier

et sévère coup de froid pour toutes celles et ceux qui attendaient autre

chose qu’une valorisation à peine supérieure à celles des années

précédentes.

 

Face à la crise et aux politiques d’austérité, en réponse aux attentes populaires pour une amélioration concrète des conditions

de vie, le gouvernement avait, avec une vraie hausse du salaire minimum, la possibilité d’agir efficacement dans trois directions.

La première porte sur la question salariale. Elle est au cœur, depuis le 6 mai, du changement attendu en terme de justice sociale.

La seconde s’inscrit dans l’indispensable rupture avec l’austérité qui nourrit la crise à l’échelle européenne en brisant la croissance

que le Président de la république appelle pourtant de ses vœux.

La troisième s’inscrit dans la nécessite d’en finir avec les dogmes néo-libéraux qui font du « cout du travail » la cause des déficits

commerciaux de la France.

En réalité, ce sont les « coûts en capital » qui minent l’efficacité productive : en 2010, les charges d’intérêts payés aux banques

et les dividendes versées aux actionnaires par les sociétés ont atteint 309 milliards d’euros.

Augmentation légale déduite, les smicards pourront s’offrir une place de cinéma à tarif réduit pour rêver à une autre vie.

Les calculs les plus savants ne feront en rien disparaitre une réalité : le salaire minimum est une grande conquête sociale qui,

après 5 années de Sarkozysme, méritait bien autre chose que ce 2% qui apparait aujourd’hui comme un renoncement.

Une hausse du SMIC à 1700 euros brut est parfaitement soutenable à condition, comme le proposent le PCF et ses partenaires

du Front de gauche, d’instaurer un salaire maximum dans les entreprises publiques et privées et de réduire l’écart entre le plus

bas et le plus haut salaire de manière à ne pas dépasser 1 à 20

 

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Quand prêt-à-porter rime avec précarité

Posté par communistefeigniesunblogfr le 26 juin 2012

 

Quand prêt-à-porter rime avec précarité

 

Quand prêt-à-porter rime avec précarité dans Luttes 2012-06-26camaieu-300x150Béthune (Pas-de-Calais), envoyée spéciale.

Le salaire de Cherif Legbaa plafonne à 1 180 euros par mois.

Il complète ses revenus avec le RSA. Il revendique une hausse

d’au moins 100 euros par mois.

Coup de tonnerre au pays des corons. En grève vendredi, devant le magasin

Camaïeu de Béthune (Pas-de-Calais), Cherif Legbaa, quarante et un ans,

délégué syndical FO, raconte sa mésaventure, les poings serrés. « Quand je suis venu demander une augmentation

à la direction, on m’a dit que j’avais déjà le revenu de solidarité active (RSA) pour arrondir mon salaire ! »

« Le 5 du mois, il n’y a plus rien »

Employé logistique depuis dix-huit ans à l’entrepôt de Roubaix, « la ville la plus pauvre de France », il plafonne à 1 180 euros

par mois. En complément, il bénéficie de 296 euros de RSA activité. « Certains collègues n’osent pas le demander. La dernière

fois que j’ai refait mon dossier à la caisse d’allocations familiales (CAF), j’ai côtoyé des personnes en grande difficulté. J’ai eu

le déclic, ça ne pouvait plus durer. » Son épouse travaille régulièrement en intérim dans le domaine médical. Quand elle est en

mission, Cherif perd son droit au RSA. « Avec un loyer de 600 euros, les impôts, l’essence, dans tous les cas, le cinq du mois,

il n’y a plus rien ! » explique-t-il en faisant de grands gestes.

Dans ce contexte, pas de vacances à l’horizon. Et les loisirs sont limités. En matière de shopping, le passage par la case

« soldes » est obligatoire. Pas question d’aller chez Camaïeu pour sa femme, « trop cher », précise-t-il. Dans un futur proche,

il aimerait changer sa vieille voiture pour continuer à aller à la mer avec ses deux enfants. Chérif n’admet pas que son travail

soit ainsi déconsidéré. Après des années au charbon, il connaît son métier sur le bout des doigts. « Je me lève tous les matins

à 4 heures pour aller aux entrepôts, je charge, je décharge, je vais dans les stocks, je n’ai même pas le droit à un salaire

décent, même pas à des chèques-vacances. »

1 milliard de chiffre d’affaires

En 2001, pour arracher le treizième mois de salaire, il se souvient avoir occupé l’usine une semaine en plein hiver. « Aujourd’hui,

on demande au moins 100 euros par mois, c’est pas la mort ! » lâche-t-il. Dégoûté, le syndicaliste tend un article daté de 2009.

Il raconte que l’ancien PDG du groupe, Jean-François Duprez, avait touché 23 millions d’euros de stock-options la même année.

« En 2011, on a fait plus d’un milliard de chiffre d’affaires, ça me file la nausée ! C’est honteux que le conseil général finance

notre RSA ! Pourquoi on n’irait pas plutôt demander de l’argent aux fonds de pension auxquels on reverse des millions de

dividendes ? »

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SMIC : Le coup de pouce se transforme en dérisoire pichenette

Posté par communistefeigniesunblogfr le 25 juin 2012

 

Salaires, le compte n’y est pas

 

L’SMIC : Le coup de pouce se transforme en dérisoire pichenette dans Austerite une_20-209x300Humanité de ce lundi met en lumière les conflits sociaux qui se multiplient

sur le niveau des salaires. Des luttes qui mettent à mal le dictat de

l’austérité et de la rigueur budgétaire.

L’édito de Maurice Ulrich :

Pour nombre de commentateurs, 
la cause est entendue et les attentes sociales

sont à ce point solubles dans les résultats de la séquence électorale majeure

que nous venons 
de vivre qu’elles auraient disparu. En somme, ce qui a permis

le succès de la gauche n’aurait plus lieu d’être et il n’y aurait rien de plus urgent que de prendre

le tournant de la rigueur en désertant, si l’on peut dire, le champ de bataille, toutes armes bas,

avant même d’avoir livré combat. De ce point de vue, les 2 % de « pichenette » évoqués

sur le Smic sont bel et bien de nature à donner raison à ceux qui, à droite et au Medef, comme l’avare de Molière, ne font que

répéter « ma cassette, ma cassette », au motif fallacieux que 23 euros par mois mettraient en péril les entreprises de France

en dépit des multiples allégements de charges qui leur ont déjà été consentis. Les mêmes seraient mieux inspirés de s’élever

contre la pression, sans aucune commune mesure, que font peser sur les PME les grands donneurs d’ordres du CAC 40

et autres, en exerçant sur elles une pression constante sur les marges, les prix, la productivité. 
Mais là-dessus, ils ne disent

rien. Voyant qui ils défendent, on peut dire qui ils sont.

Travailleurs au RSA

Le compte n’y est pas, loin s’en faut. 
Et pour le dire clairement, des millions d’hommes et de femmes de gauche, dont les quatre

millions qui ont voté au premier tour pour le Front de gauche mais pas seulement, attendent autre chose. Les quelques luttes

en cours pour les salaires que nous évoquons ci-contre en témoignent. Les salariés de Camaïeu demandent 100 euros par mois,

fiches de paye à l’appui alors même que nombre d’entre eux, comme on l’a appris ces derniers jours, 
sont amenés 
à toucher

ou à solliciter 
un complément du RSA. Un comble, alors même qu’ils travaillent, que de devoir en appeler à l’aide de l’État.

Un scandale quand une entreprise en arrive à parier cyniquement sur 
la solidarité nationale pour suppléer à la fiche de paye !

Aux Galeries Lafayette, c’est de 200 euros de plus par mois qu’il s’agit. Et combien d’attentes à ce niveau dans des milliers

d’entreprises ? En d’autres termes, la question n’est pas de savoir comment ces entreprises peuvent 
faire pour augmenter le Smic,

mais comment font 
des millions de salariés pour vivre avec les salaires qui sont les leurs aujourd’hui.

Rigueur pour les plus modestes

Dans nombre de milieux, qui veulent que 
la victoire de la gauche ne soit qu’un changement d’équipe pour une même politique

économique, 
la rigueur (pour les plus modestes) est érigée en dogme. Mais la réalité, c’est qu’un pays de bas salaires, comme


la France le devient, est un pays qui s’appauvrit. 
C’est bien la peine, comme le font chaque mois 
les économistes, de surveiller

comme le lait sur le feu les indices de la consommation des ménages, pour faire ensuite comme si cela n’avait aucun rapport

avec les politiques salariales.

À Rome en fin de semaine, François Hollande semblait assez satisfait d’avoir pu parler croissance. Hier, dans une interview

au Journal du dimanche, Bernard Cazeneuve, le ministre délégué aux Affaires européennes, rejetait « l’austérité à perpétuité ». Soit,

mais faudrait-il alors accepter l’austérité maintenant ? La croissance ne se décrète pas, et il ne s’agit pas davantage, comme

Nicolas Sarkozy prétendait le faire, d’aller « la chercher avec les dents », avec les résultats que l’on sait. La croissance ça commence

avec ceux dont l’argent ne va pas à la spéculation, mais irrigue immédiatement l’économie réelle. La croissance, 
elle est au bas

de la fiche de paye et c’est la pierre 
de touche d’une politique de gauche, pour la justice, 
et pour une autre dynamique.

 

–> A lire aussi dans notre édition de ce lundi:

  • Un grand ras-le-bol, des doléances raisonnées : après des années de diète, le gouvernement peut donner

l’exemple en décidant, ce mardi, de donner un réel coup de pouce au Smic. Une mesure de justice sociale, mais aussi

une façon de répondre à la crise, en grande partie provoquée par la politique d’austérité

  • « Pas question d’une pichenette de 2%« , Pierre Laurent, secrétaire national du PCF
  • L’état de grâce fini pour Hollande et le gouvernement, la lutte continue
  • « Augmenter les salaires, une réponse à la crise« , le point de vue de Pascal Debay, membre de la commission exécutive

de la CGT

–> La carte des mouvements sociaux de l’Humanité.fr

Communiqué du PCF

 

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Pierre Laurent rappelle à François Hollande ses engagements en faveur de la renégociation du traité Sarkozy-Merkel

Posté par communistefeigniesunblogfr le 24 juin 2012

 

«Résistez !»

L’appel du PCF à Hollande contre l’austérité

 

Pierre Laurent rappelle à François Hollande ses engagements en faveur de la renégociation du traité Sarkozy-Merkel dans Austerite 20120621-aux_actes_ciroyens-300x168Le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a lancé,

mercredi, lors d’un meeting à la Mutualité, à Paris,

un appel à la mobilisation contre le traité Sarkozy-Merkel,

rappelant à François Hollande ses engagements en faveur

de sa renégociation.

« Résistez ! Donnez-vous du temps et de la force, tournez-vous vers

les Français et les parlementaires ! » Par ces mots, Pierre Laurent

a lancé un appel au président de la République à ne pas céder aux sirènes de l’austérité, qui se font de plus en plus fortes

à mesure qu’approche le sommet européen des 28 et 29 juin prochains.

Une politique de rigueur stricte

C’est à l’occasion du meeting de clôture de la conférence nationale de son parti, mercredi soir, à Paris, salle de la Mutualité,

que le secrétaire national du PCF a, devant plusieurs centaines de militants, rappelé à François Hollande ses engagements à

propos du traité Sarkozy-Merkel : « Vous-même avez considéré qu’avec ce traité, il ne serait pas possible de mener votre politique,

celle que vous avez promise aux Français. » « Or, s’est-il inquiété, on nous dit aujourd’hui qu’il pourrait ressortir intact du sommet

européen et qu’on se contenterait d’y ajouter quelques mesures dites de croissance. » Et d’estimer qu’il y a là « une contradiction »

dans laquelle « nous ne pouvons pas rester », puisque « tout dans ce traité va contredire cette ambition de croissance ».

Ce texte, signé en mars par le duo Sarkozy-Merkel, mais non encore ratifié, soumettrait en effet les États à une politique de rigueur

stricte, en vue de la réduction des déficits, avec contrôles et sanctions à la clé, limitant d’autant la souveraineté budgétaire

des parlements nationaux. Et les derniers signaux envoyés par François Hollande sont plus mitigés que la renégociation à laquelle

il s’était engagé : « Nous devrons (…) y mettre tous les instruments qui peuvent, et avec modification du traité ou pas de

modification du traité, être efficaces », a-t-il, par exemple, expliqué la semaine dernière à Rome. Selon Pierre Laurent, « il se

murmure aussi que la France pourrait inscrire sa ratification au Parlement dès les premiers jours de juillet ».

« La France doit ouvrir des changements en Europe »

Une situation inacceptable pour le dirigeant communiste, qui juge que « la victoire de la gauche en France doit ouvrir

des changements en Europe ». « Nous ne pouvons pas avoir chassé Sarkozy et gouverner demain avec son traité », précise-t-il.

Les parlementaires du Front de gauche, au Sénat comme à l’Assemblée, ne ratifieront donc pas un texte qui n’aurait pas été

« réellement changé », a-t-il prévenu. Plus encore, le PCF appellera « ces jours-ci, s’il le faut, à se mobiliser pour pousser

les parlementaires dans leur ensemble à ne pas ratifier ce traité ».

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Smic : Le vrai « coup de pouce » serait de 0,6 %, soit 8,10 euros par mois. Pas de quoi boucler les fins de mois !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 juin 2012

 

Smic : Le vrai La hausse du Smic serait limitée à 2 %. Mais, selon le quotidien

économique Les Echos,  cette hausse constituera en grande partie

une anticipation de la revalorisation 1,4 % qui devait intervenir

en janvier 2013.

Le « coup de pouce » annoncé par François Hollande tout au long

de la campagne présidentielle, sera en fait de 0,6 %,

soit 8,10 euros par mois. Pas de quoi boucler les fins de mois !

 

La « hausse raisonnable » du Smic s’annonce très limitée

 

Matignon n’a pas cherché à démentir le coup de pouce au Smic de 2% mentionné par Les Echos

ce vendredi matin. Less services du Premier ministre évoque juste une hausse « raisonnable »

à compter du 1er juillet prochain. Pas de quoi rassurer les syndicats.

L’entourage de Jean-Marc Ayrault a indiqué ce matin qu’une réunion technique consacrée à ce sujet, qui était prévue

en fin de matinée à Matignon, avait été annulée pour cause de Conseil des ministres. « Mais cela n’empêche pas

les discussions de se poursuivre », a-t-on ajouté. Promesse très attendue de François Hollande, le coup de pouce

au Smic sera dévoilé mardi aux partenaires sociaux, réunis en Commission nationale de la négociation collective.

Un décret sera pris le lendemain pour que la hausse s’applique dès juillet aux salariés concernés, environ un sur dix.

Pressions du patronat

En coulisses, les pressions se font plus insistantes du côté du patronat pour limiter à tout prix une hausse du Smic. Jeudi,

la CGPME a réclamé « une suspension du coup de pouce envisagé », estimant qu’il mettrait « en danger » des milliers de petites

entreprises. Même faible, un coup de pouce fera peser un « risque sérieux sur l’emploi », affirme aussi la présidente du Medef,

Laurence Parisot.

L’hypothèse énoncée par Les Echos d’une hausse de 2% irait dans le sens des représentants des patrons. Car ce mini-coup

de pouce serait un trompe l’oeil. La hausse constituerait en grande partie un à-valoir sur la future revalorisation légale qui doit

intervenir le 1er janvier, à savoir l’inflation constatée depuis la dernière augmentation, soit 1,4%. Le « vrai coup de pouce » serait

donc de 0,6%, écrit Les Echos.

Déception en vue pour les salariés

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421583_287158604672926_100001363671692_703195_2063966032_n dans Politique nationale

 

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Pierre Laurent sur France Inter : Les conditions ne sont pas réunies pour une participation des communistes au gouvernement

Posté par communistefeigniesunblogfr le 21 juin 2012

 

Pierre Laurent :

« Attitude critique, vigilante et constructive » vis-à-vis du gouvernement

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xrntzt

sur dailymotion.com

par franceinter

 

Pierre Laurent sur France Inter : Les conditions ne sont pas réunies pour une participation des communistes au gouvernement dans Austerite 2012-05-06pierre-laurent-petitLe secrétaire national du PCF a rappelé sur France Inter ce jeudi matin

pourquoi il n’y aura pas de communiste dans le gouvernement Ayrault 2.

Pierre Laurent était interrogé sur France Inter au lendemain de la conférence nationale du PCF

en préparation de laquelle ses 27.000 adhérents ont voté à plus de 93% contre la présence

de communiste dans le second gouvernement de Jean-Marc Ayrault qui devrait être dévoilé

ce jeudi soir. Il a ainsi expliqué que le Front de gauche allait avoir

« une attitude critique, vigilante et constructive » vis-à-vis du gouvernement. « Nous sommes dans la majorité car nous avons appelé

à battre Nicolas Sarkozy. Mais nous ne participons pas au gouvernement. Il doit donc tenir compte de cette diversité de la majorité ».

« Reprendre le pouvoir sur l’argent »

Le secrétaire national du PCF a réaffirmé que les « conditions ne sont pas réunies » pour un tel scénario. Il faut « reprendre le pouvoir

sur l’argent », a-t-il insisté, soulignant les points de désaccords entre le Front de gauche et François Hollande et Jean-Marc Ayrault :

la renégociation du traité européen et la fin de l’austérité, un coup de pouce conséquent au Smic et aux salaires ou l’interdiction

des plans sociaux.

humanitefr dans Emplois le 21 Juin 2012

 

 

 

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Pour l’encadrement des prix alimentaires

Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 juin 2012

 

Pour l’encadrement des prix alimentaires

 

Pour l'encadrement des prix alimentaires dans Agriculture QuestionGouvernementPar André Chassaigne, Chronique publié dans le Journal La Terre.

La campagne électorale révèle quelques satisfactions :

selon un sondage paru dans le journal L’Humanité-Dimanche

la semaine dernière, 68 % des Français souhaitent un blocage

des prix des produits alimentaires de première nécessité.

C’est la mesure qu’ils plébiscitent et j’ai pu le constater

dans les réunions que j’anime au jour le jour.

Cette attente sociale très forte s’appuie sur une réalité concrète : pour beaucoup de ménages,

toutes les charges augmentent sans que leurs revenus ne bougent.

La hausse des prix alimentaires, supérieure à 4 % en moyenne en 2011, est aujourd’hui avec celle des prix de l’énergie

une injustice devenue insupportable.

L’encadrement des prix alimentaires est une mesure de justice que l’on peut prendre dès aujourd’hui pour redonner

du pouvoir d’achat aux plus modestes. Mais soyons attentifs à expliquer que ce doit aussi être un bon moyen d’agir concrètement

pour redonner un vrai prix rémunérateur pour les productions agricoles de base. L’intérêt des consommateurs n’est pas contraire

à celui des producteurs !

Alors l’encadrement des prix, cette mesure est-elle vraiment d’un autre temps,

comme le professent en cœur nos économistes libéraux ?

Inapplicable, diront bien évidemment les distributeurs et le secteur de l’agroalimentaire. Car, s’ils s’autorisent de telles hausses

annuelles des prix, en vidant les poches des plus modestes, c’est d’abord parce que l’Etat s’est défaussé de toutes ses prérogatives

sur la fixation des prix du panier de la ménagère. C’est un choix politique, qui consiste à laisser aux appétits financiers toute latitude

pour augmenter ses marges entre les prix qu’ils payent aux producteurs, et celui auquel il revend aux consommateurs.

[Lire la suite sur Moissac au Coeur]

 

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Le Smic à 1700 euros, un combat à mener

Posté par communistefeigniesunblogfr le 25 mai 2012

 

Le Smic à 1700 euros, un combat à mener

 

Le Smic à 1700 euros, un combat à mener dans Front de Gauche smic6mai-300x150« Légitime »…

Mais pas pour tout de suite. Voire même « inatteignable ».

À environ un mois d’une possible revalorisation du salaire

minimum, le Smic à 1700 euros, demandé par la CGT

et le Front de gauche, suscite des appréciations

divergentes de la part du gouvernement et des autres syndicats.

 

Michel Sapin a estimé ce jeudi « légitime » de donner un coup de pouce au Smic. Mais le ministre du Travail, de l’Emploi et

du Dialogue social a rejeté l’idée d’une forte hausse. « Quand vous êtes une caissière à 70 % du Smic, vous n’arrivez pas

à vivre ; il est légitime de donner un coup de pouce au Smic. Mais quand vous êtes une petite entreprise avec des carnets

de commandes difficiles, vous vous posez la question de l’équilibre de vos comptes, et là on ne peut pas non plus faire

des sauts sur le Smic. C’est cela qu’il faut concilier, et une décision sera prise. »

Michel Sapin n’a pas chiffré la hausse éventuelle du Smic au 1er juillet prochain, renvoyant la décision aux prochaines

concertations avec les syndicats et les organisations patronales annoncées mercredi par le Premier ministre

Jean-Marc Ayrault.

La CGT attend de Hollande un geste fort

Sur le sujet du Smic, les syndicats présentent des opinions différentes. Pascal Debay, membre de la commission exécutive

de la CGT, a indiqué à l’Humanité attendre un « geste fort » de François Hollande. « La problématique des bas salaires continue

de se poser de façon dramatique, en particulier pour de nombreux salariés précaires. La moitié des salariés à temps complet

gagnent moins de 1500 euros. Notre revendication est de porter le Smic à 1700 euros brut. Ce qu’on attend comme geste fort

de M. Hollande, c’est une revalorisation dans les semaines ou les mois qui viennent, qui permette d’atteindre ce seuil. »

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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1er Mai : 750 000 manifestants contre l’austérité et Sarkozy

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mai 2012

 

 

1er Mai : 750 000 manifestants contre l'austérité et Sarkozy dans Emplois cgt1Des dizaines de milliers de personnes ont

défilé ce mardi en Province,

plus de 200 000 à Paris, pour dire non à

l’austérité imposée par l’Union européenne.

Il faut aussi constater qu’à cinq jours des

présidentielles, le rejet de Nicolas Sarkozy

est également extrêmement présent.

 

Voici les principales déclarations syndicales et politiques.

Près de 290 cortèges sont annoncés par la CGT, dont l’un dans l’après-midi à Paris. Le syndicat annonce 750.000 manifestants

dans toute la France, une mobilisation 7 fois supérieure à l’an passé. L’intersyndicale (CFDT, CGT, FSU, Solidaires et Unsa), a

promis qu’il n’y aura pas de message politique sur les banderoles des défilés du 1er-Mai mais la CGT, à la différence des

autres organisations, a appelé à « battre Nicolas Sarkozy ». A Paris, les délégations du Parti socialiste et du Front de gauche

devraient rester en queue du défilé.

Derrière une longue banderole sur laquelle on pouvait lire « Pour la solidarité internationale et le progrès social », ont notamment

pris place côte à côte, Bernard Thibault (CGT), François Chérèque (CFDT), Annick Coupé (Solidaires) Bernadette Groison (FSU)

et Luc Berille (Unsa). Avant le départ du cortège, Annick Coupé, déléguée générale de Solidaires, a admis que pour son syndicat

« il n’y a(vait) pas de séparation stricte entre politique et social ». Comme la CGT, Solidaire a plusieurs fois appelé à battre Nicolas

Sarkozy au second tour de la présidentielle.

 

  • Les déclarations syndicales importantes

A Denfert – derrière le carré de tête, des salariés de l’usine PSA d’Aulnay, menacée de fermeture, sont venus manifester. « Sarko

et Hollande vont débattre demain et nous on na toujours rien sur notre avenir. Nous sommes les vrais travailleurs, les vrais

ouvriers », confie à l’AFP Rodolphe Feger, délégué syndical CGT.

François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, ; « Le 1er-Mai appartient aux travailleurs et à personne d’autre ». « Le discours

de Nicolas Sarkozy sur le travail est devenu insupportable ». « Chaque fois qu’il y a eu dans l’Histoire une mainmise du politique

sur cette fête (du 1er-Mai-), c’était dans un contexte de dérive antidémocratique ». Pendant la manifestation, il a demandé

d’«arrêter de se chamailler sur des provocations, nous devons parler du chômage, de l’emploi des jeunes ». Mais, prévient-il,

« ceux qui attaquent les syndicats, comme Nicolas Sarkozy, se trompent, ce sont des millions de personnes qui votent pour nous.

Pour eux, c’est une humiliation ».

Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a confirmé qu’il appelait à voter pour battre Sarkozy. « La CGT a appelé à battre

le président de la République actuel ». « Je m’étonne que certains s’étonnent qu’un syndicat de salariés puisse avoir une opinion

à propos des enjeux d’une élection présidentielle. »

La CGT exige un smic à 1700 euros par mois et attend de François Hollande, qui a promis une grande réunion avec les

partenaires sociaux s’il est élu le 6 mai prochain avant de se prononcer, qu’il aille dans ce sens très rapidement. Bernard Thibault

estime que les plans d’austérité mis en place dans l’Union européenne mènent cette dernière à la catastrophe et plaide pour

l’Europe sociale.

 

  • Les politiques

 

m4-239x300 1er mai dans Luttes

 

« Après cinq ans de mépris et de monarchie du fric, le temps est venu du respect

des travailleurs, de leurs revendications et leurs droits », lance Pierre Laurent,

le secrétaire national du PCF, sur le stand du Front de Gauche installé à Port-Royal.

« Il n’y a pas une revendication sociale qui s’est arrachée autrement que par les luttes,

ce sont des usurpateurs », a ajouté Jean-Luc Mélenchon,

« et aujourd’hui ils reçoivent la leçon qu’ils doivent recevoir, celle de notre mobilisation ».

 

 

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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