Pour la Sécu, le changement attendra…

Posté par communistefeigniesunblogfr le 30 octobre 2012

 

Ce mardi dans l’Humanité :

Pour la Sécu, le changement attendra…

 

Pour la Sécu, le changement attendra... dans Austerite huma3010

Pour cause d’austérité, le budget 2013, soumis

au vote aujourd’hui, s’inscrit dans la continuité

des précédents. Les obstacles tarifaires à l’accès

aux soins légués par Sarkozy sont maintenus.

Les besoins financiers de l’hôpital ignorés.

Pierre-Yves chanu, vice-président (CGT) de l’Acoss,

membre du Haut Conseil du financement

de la protection sociale explique dans un entretien

« pourquoi il faut garder la cotisation sociale ».

Dans le débat sur la réforme du financement

de la Sécurité sociale, alors que plusieurs pistes

évoquées conduisent à un transfert sur la fiscalité,

vous défendez l’idée que le financement doit rester

assis sur 
la cotisation sociale et sur l’entreprise.

Pourquoi ?

Pierre-Yves Chanu. Pour nous, la Sécurité sociale est un élément du salaire, c’est un salaire socialisé.

Nous restons donc attachés à l’idée que le financement de la Sécurité sociale reste enraciné dans l’entreprise,

et que la Sécu soit financée par le travail, au sens des richesses créées par le travail. C’est pourquoi

nous sommes opposés à l’idée d’une fiscalisation.

Quels dangers voyez-vous dans un recours à l’impôt ?

Pierre-Yves Chanu. On nous propose de baisser 
les cotisations employeurs pour les basculer sur des assiettes

différentes, qui aboutissent toujours, d’ailleurs, 
à un transfert sur les salariés et les retraités. Et ça, 
pour nous,

c’est une baisse de salaire. À partir 
du moment où on baisse les cotisations patronales, 
on baisse le total

de la masse salariale.

Vous ne préconisez pas le statu quo pour autant, 
et vous avancez une proposition alternative

de réforme 
du financement de la Sécu. Quel en serait le principe ?

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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Dépassements d’honoraires : Les patients « vont devenir les dindons de la farce »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 25 octobre 2012

 

Pour la CGT, l’accord sur les dépassements d’honoraires est un « leurre »

 

Dépassements d'honoraires : Les patients

La CGT a estimé mercredi que l’accord sur les dépassements d’honoraires

entre l’assurance maladie et les syndicats de médecins était « un leurre »,

notamment pour les patients qui « vont devenir les dindons de la farce ».

« L’accord qualifié d’historique est en fait un leurre. En effet, aucune contrainte réelle n’empêchera

les médecins de continuer à pratiquer des dépassements », affirme la centrale dans un communiqué.

Rappelant que « l’accès aux soins d’une partie de plus en plus importante

de la population est problématique« , elle estime que cet accord, intervenu mardi, « n’est pas à la hauteur

des enjeux ».

« La signature d’un contrat de bonne pratique est laissée au libre choix du médecin. En dehors de ce dispositif, aucun plafond n’est fixé, aucun système

de sanction efficace n’est mis en place », déplore la CGT. Par ailleurs, « les mutuelles et institutions de prévoyance n’ont pas souhaité s’engager

directement et elles ont raison car elles seront obligées d’augmenter les cotisations de leurs adhérents », écrit la CGT. Les patients « vont continuer

de payer et leur reste à charge d’augmenter« , prévient-elle. « De pigeons, les assurés sociaux vont devenir les dindons de la farce! »,

selon le syndicat.

Lire la suite

 

Dépassements d’honoraires : « supprimer les dépassements avec remboursement à 100% »

 

Des négociations sont engagées depuis des mois pour encadrer les dépassements d’honoraires. Vouloir diminuer ces dépassements est un objectif

louable mais le vrai changement c’est de les supprimer avec un remboursement à 100% par la sécurité sociale et une nouvelle convention médicale

approuvée majoritairement par les organisations médicales représentatives.

L’accord annoncé le 23 octobre entérinait un dépassements à 150% du tarif opposable, c’est à dire jusqu’à 70€ pour la consultation. C’est

implicitement un encouragement à pratiquer un dépassement jusqu’à ce niveau. D’autres dispositions semblent se traduire par des forfaits annoncés

pour juillet 2013 ou 2014.

Pour le PCF, il y a urgence à construire par la négociation une nouvelle convention médicale qui puisse porter l’alignement des honoraires

des médecins généralistes sur celui des autres spécialités. Il est nécessaire de développer de nouvelles formes de rémunération honorant le temps

consacré par les médecins à l’élaboration des dossiers, au suivi des patients, à la prévention et à l’éducation à la santé.

Par ailleurs, le PCF prône le retour à un secteur unique conventionnel renégocié avec une réévaluation des actes. En effet, les assurances privées

sont à la fois l’une des causes des dépassements d’honoraires mais elles en sont aussi les premières bénéficiaires.

La solidarité c’est la sécurité sociale. Et c’est une force de notre pays.

Communiqué du Parti Communiste Français

 

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En France comme en Grèce, l’austérité tue

Posté par communistefeigniesunblogfr le 25 octobre 2012

 

En France comme en Grèce, l’austérité tue dans Austerite hosto-300x150

Un reportage du New-York Times en Grèce arrive à point

nommé pour enrichir le débat sur le projet de loi de

financement de la sécurité sociale.

Si un Français sur cinq déclare renoncer à certains soins

par mesure d’économie, des centaines de milliers de Grecs

n’ont tout simplement plus accès au soin.

La mesure est passée en Grèce il y a à peine plus d’un an et elle se dévoile aujourd’hui dans toute son horreur. Après un an de chômage,

les Grecs perdent toute sécurité sociale, ils seront bientôt 1,2 millions dans ce cas. Des médecins sous-payés en sont réduits à tenter de

soigner les malades sur leur temps libre, avec des médicaments périmés. Le reportage s’appuie sur le témoignage atroce d’Elena, victime

d’un cancer du sein qu’elle n’a pas pu soigner, dont la tumeur de la taille d’une orange est aujourd’hui à vif. Elle n’a d’autre traitement

que d’éponger ce qui suppure de sa poitrine avec des serviettes en papier. Et 2 milliards d’euros d’économie sur le système de santé sont

encore à venir en Grèce.

La France est également, même si c’est dans une moindre mesure, dans une logique d’austérité. Le plan de financement de la sécurité

sociale prévoit ainsi une augmentation de l’enveloppe destinée aux hôpitaux délibérément inférieure aux besoins. La majorité de la population

vit dans un territoire où l’accès aux spécialistes est difficile et plus du quart des Français souffrent d’un accès insuffisant aux médecins

généralistes. Enfin 45 % des spécialistes pratiquent le dépassement d’honoraires.

 

 

 

humanitefr Sécurité sociale dans Chomage le 25 Octobre 2012

 

Publié dans Austerite, Chomage, ECONOMIE, EUROPE, France, Grece, POLITIQUE, SANTE, SOCIAL | Pas de Commentaire »

Privatiser la sécurité sociale : un vieux rêve de la Commission européenne

Posté par communistefeigniesunblogfr le 22 octobre 2012

 

Privatiser la sécurité sociale : un vieux rêve de la Commission européenne

 

Privatiser la sécurité sociale : un vieux rêve de la Commission européenne dans EUROPE 3519691807

Par Thierry Brun

La Commission européenne cherche à minimiser le contenu très controversé

de directives sur la passation de marchés publics et sur les contrats de concession.

Ces deux directives, présentées en décembre 2011, ont pour ambition

de réglementer la privatisation de services de sécurité sociale obligatoire.

La Commission ne fait que récidiver après le coup, raté, de la libéralisation

des services de santé dans la directive Bolkestein.

« Erroné et infondé », indique un droit de réponse à un article de Mediapart,

publié le 10 octobre, et intitulé : « Bruxelles veut ouvrir la Sécurité sociale au privé ».

Il émane de Stefaan De Rynck, porte-parole de Michel Barnier, commissaire européen

chargé du marché intérieur et des services. Ce sont des « fantasmes », dit-on aussi

à Bruxelles. Certains « s’inquiètent pour rien, il faut lire les textes » ,

dédramatise Pierre Bauby, spécialiste des services publics en Europe et professeur

à Sciences Po, peut-on lire dans un article d’Euractiv.fr. Même les assureurs privés se veulent… rassurant. N’en jetez plus !

Car, justement, lisons les textes, pour rappeler que les services de la Commission n’en sont pas à leur première tentative

de privatisation des services de santé et de sécurité sociale obligatoire. Cette controverse a en effet le mérite de montrer

que les « textes » des traités invoqués pour jurer que la sécurité sociale est intouchable peuvent être contournés, à tout moment.

Pris la main dans le pot de confiture, les chantres du marché cherchent à minimiser la portée de deux propositions de la

Commission qui concernent la révision des directives sur la « passation des marchés publics » et les « contrats de concession ».

 

PDF - 334.5 ko

Directive contrats de concession
PDF - 782.6 ko

Directive passation des marchés publics

 

[Lire la suite sur PCF-Grésivaudan]

[Article original]

 

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OGM : une étude bidonnée par Monsanto validée par les autorités sanitaires européennes

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 octobre 2012

 

SANTÉ PUBLIQUE

OGM : comment une étude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires

 

OGM : une étude bidonnée par Monsanto validée par les autorités sanitaires européennes dans EUROPE ogm-attention-danger

Par Sophie Chapelle (18 octobre 2012)

La recherche scientifique menée par Gilles-Eric Séralini sur un OGM de Monsanto

a été violemment critiquée dans sa méthodologie. Mais qu’en est-il des tests

menés par les firmes elles-mêmes ?

Un rapport montre les dissimulations et extrapolations bien peu scientifiques

qui accompagnent l’évaluation du seul OGM autorisé à la culture en Europe,

le Mon810. Des extrapolations reprises à leur compte sans vérification

par les autorités sanitaires européennes.

 

Avant d’être commercialisés, les OGM sont-ils vraiment évalués avec la plus

grande rigueur scientifique, comme leurs promoteurs le prétendent ?

Toute entreprise sollicitant une autorisation de mise sur le marché de son OGM

doit produire une évaluation censée démontrée que sa semence

transgénique est inoffensive.

Ces analyses sont réalisées par des laboratoires que les entreprises de biotechnologie rémunèrent directement.

Les autorités sanitaires qui étudient ensuite le dossier, comme l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA [1]),

ne disposent ni de temps ni de crédits pour pratiquer leurs propres analyses. Elles se contentent donc de lire

le dossier de l’entreprise et la littérature scientifique sur le sujet. D’un côté, la firme est juge et partie. De l’autre,

des instances d’évaluation placent dans cette firme une confiance quasi absolue.

Que doivent évaluer les experts ? Que l’OGM ne diffère pas d’une semence non transgénique dont l’utilisation

commerciale a déjà été jugée sans risque. La firme va donc chercher à démontrer « l’équivalence en substance » :

comparer les composants d’une plante transgénique (nutriments, protéines, glucides…) avec des plantes conventionnelles.

Si les écarts enregistrés correspondent à des écarts connus entre variétés de la même espèce, la plante transgénique

est considérée comme étant équivalente en substance, donc a priori inoffensive. L’évaluation se fait en deux étapes :

une analyse comparative pour identifier des différences avec la plante non modifiée génétiquement, et une évaluation

des impacts nutritionnels, sanitaires et environnementaux de ces différences.

Le Mon810 « aussi sûr » qu’un grain de maïs conventionnel ?

 

[Lire la suite sur Basta !]

 

+ d’infos sur les OGM :


 

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Bruxelles veut livrer la Sécu à la concurrence !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 octobre 2012

 

Ce jeudi dans l’Humanité :

Le cheval de Troie de l’UE contre la Sécu

 

Bruxelles veut livrer la Sécu à la concurrence ! dans ECONOMIE huma1810

Une proposition de directive, datant de décembre 2011

et examinée ce mois-ci par le Parlement européen,

envisage la possibilité pour un État de privatiser les services

de sécurité sociale obligatoire.

Pour Jean-Emmanuel Ducoin, qui signe l’édito du jour,

« Livrer la Sécu à la concurrence transformerait notre système

public en un marché d’assurances privées ».

 

Le poison eurocrate

 

Les monstres modernes agissent 
avec la froideur implacable 
de leur époque.

La preuve, nous ne nous méfions jamais assez des eurocrates de Bruxelles.

Toujours à l’affût d’une occasion pour tenter de constitutionnaliser

le libéralisme dans les moindres interstices de leurs directives, ils ont l’art

d’immiscer leur poison sous la forme de mots obscurs, 
en apparence indolores,

mais qui, inoculés par surprise, ont la puissance des venins mortels.

Ainsi, quelle ne fut pas la surprise de quelques députés européens

en découvrant l’une des annexes d’une proposition de directive


sur la « passation des marchés publics ». Maître d’œuvre, l’ineffable Michel Barnier, alias commissaire européen

au Marché intérieur et aux Services. Ce projet propose ni plus 
moins que de livrer la Sécurité sociale à la concurrence.


Par le biais d’appels d’offres, notre actuel système public 
se transformerait en un marché d’assurances privées.

L’affaire est sérieuse. Introduire des mécanismes 
dits de « concurrence » au sein d’un secteur 
jusque-là sanctuarisé

autour des principes sacrés de solidarité signifierait la fin d’un des derniers piliers de notre pacte social. La possibilité

de soigner gratuitement, quelle que soit 
la gravité du mal et quel que 
soit le niveau de vie du malade, reste

une prérogative fondamentale de la République que 
nous ont léguée les membres du Conseil national 
de la Résistance.

Elle figure même dans le préambule 
de la Constitution ! Imaginez un instant ce que deviendrait une Sécurité sociale

privatisée, avec d’un côté, un opérateur historique réduit 
à l’os (les caisses d’assurance santé), et, de l’autre, des géants

de l’assurance par exemple, ou des mutuelles, voire des banques, qui ne manqueraient pas de s’emparer du marché.

La loi du plus riche et l’inégalité deviendraient les règles. Bien sûr, il est difficile de croire que le gouvernement Ayrault

puisse envisager le dépeçage de la Sécu, quelle que soit l’ampleur des déficits. L’eurodéputée socialiste Pervanche Berès,

spécialiste des questions sociales, ne cache d’ailleurs pas son incrédulité : « Cela paraît tellement gros », commente-t-elle,

« cela ne peut pas passer »…

Puisque les ambiguïtés de la Commission 
ont de quoi susciter notre méfiance, c’est donc 
au gouvernement Ayrault

de nous rassurer, vite, en prenant les mesures qui s’imposent pour que l’assimilation de la Sécurité sociale au secteur

marchand cesse immédiatement. D’autant que l’épisode n’est pas sans nous rappeler le sinistre précédent

de la « directive services » du célèbre commissaire Frits Bolkestein. Toute l’Europe et tous ses secteurs d’activités

se trouvent depuis dans la ligne de mire, en vertu de la logique néolibérale n’ayant pour cohérence que la concurrence

(non libre et faussée) des hommes entre eux, sans aucune idée de progrès humain ni limite morale.

Et François Hollande ? Dans un long entretien donné à six quotidiens européens, le chef de l’État déclare solennellement

que « l’Europe ne peut plus être 
en retard » mais que « le pire – c’est-à-dire la crainte d’un 
éclatement de la zone euro –

est passé ». Les peuples victimes 
de l’austérité seront contents de l’apprendre ! En imposant 
le vote du nouveau traité

européen, le président a lui aussi 
choisi une stratégie de choc, car ce pacte de classe au service des puissants cadenasse

l’Europe dans des politiques aberrantes, injustes et antidémocratiques.

Non, François Hollande n’a pas honoré la promesse du candidat : 
ce n’est pas renégocier un traité que se contenter

d’ajouter 
un paragraphe sur la croissance sans remettre en question son arsenal anti-souveraineté populaire.

Le vampirisme des financiers a eu raison de la Grèce. Qu’il s’attaque désormais à la Sécurité sociale n’a rien d’étonnant…

 

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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L’Europe préfère les assurances privées à la sécurité sociale

Posté par communistefeigniesunblogfr le 14 octobre 2012

 

Directive européenne :

l’Europe préfère les assurances privées à la sécurité sociale

 

L’Europe préfère les assurances privées à la sécurité sociale dans EUROPE secu

Alors que le Sénat débutait hier l’examen du projet de loi autorisant la ratification du traité

budgétaire européen, un site d’informations en ligne, rendait public un projet de directive

européenne qui prévoit de soumettre la sécurité sociale aux procédures d’appels d’offre.

En clair, la commission européenne considère que les organismes obligatoires de protection

sociale ne doivent plus prioritairement répondre aux besoins en santé et en protection

de nos concitoyens, mais doivent s’aligner sur le secteur marchand.

Les pouvoirs publics seraient alors contraints, conformément au dogme de la libre concurrence,

de sélectionner, pour assurer la protection sociale obligatoire, les candidats les moins coûteux,

donc les moins protecteurs. 

 

Il s’agit là d’un démantèlement annoncé de notre système social, parfaitement compatible avec les exigences

de réductions contraintes de la dépense publique, qu’imposent le traité budgétaire Européen et son corolaire, la règle d’or.

Cette directive revient à ne considérer la sécurité sociale que comme une dépense, alors que nous considérons

pour notre part, que seul un haut niveau de protection sociale est de nature à garantir la stabilité et la croissance

économique et sociale de notre pays.

 

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRC refusent cette directive et souhaitent que le Gouvernement prenne les mesures

qui s’imposent pour que l’assimilation de la sécurité sociale au secteur marchand cesse immédiatement et que

par conséquent, le gouvernement s’oppose à ce projet de directive.

 

Paris, le 11 octobre 2012. 
Communiqué du Groupe Communiste Républicain et Citoyen

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Monsanto : de Hiroshima aux OGM poisons, des attaques massives contre l’Humanité

Posté par communistefeigniesunblogfr le 21 septembre 2012

 

Tous Cobayes ? Monsanto : de Hiroshima

aux OGM poisons, des attaques massives

contre l’Humanité

 

Tous des cobayes ! C’est sûrement la devise de Monsanto, multinationale néfaste

s’il en est… Empoisonner l’humanité semble être son seul crédo : PCB (pyralène),

dioxine, DDT, Agent orange, aspartame, hormone de croissance laitière et bovine,

Roundup et OGM… et ce qu’on sait moins, les bombes atomiques larguées sur

Hiroshima et Nagasaki.

Cette firme, à l’instar de Goldman Sachs (folie de la finance), ou Halliburton (folie

criminelle des néocons), est la parfaite représentante de ce qu’est L’Empire :

une menace pour l’humanité, aux mains d’une ploutocratie où les pires sociopathes

cooptent… les pires sociopathes…

[Lire la suite sur agoravox.tv]

Vidéos :

Tous Cobayes ? le film de Hean-Paul Jaud

Le teaser de 8 minutes

Image de prévisualisation YouTube

sur youtube

par

 

de l’étude sur la toxicité des OGM et du Roundup.

 

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La mise en concurrence des salariés nuit gravement à leur santé

Posté par communistefeigniesunblogfr le 8 septembre 2012

 

La mise en concurrence des salariés nuit gravement à leur santé dans Justice Affiche_stress-2C’est ce qu’a estimé ce mardi le tribunal de grande instance de Lyon.

Celui-ci a interdit à la Caisse d’Epargne Rhône Alpes Sud (CERA) de

conserver son organisation du travail fondée sur le « benchmark »,

ou mise en concurrence permanente de ses salariés, qui compromet

« gravement » leur santé.

La Caisse d’Epargne Rhône-Alpes a fait appel de cette décision, la qualifiant

dans une déclaration à l’AFP de « particulièrement injuste et disproportionnée ».

Contrairement au tribunal, elle ne trouve rien à redire à ce type de fonctionnement

conforme au  »principe constitutionnel de liberté d’entreprendre », et explique

que « l’objectif d’un benchmark est d’identifier les processus les plus efficaces

et professionnels pour aider l’organisation à atteindre ses objectifs ».

La direction affirme au contraire  »qu’il n’y a pas de lien de causalité

entre le benchmark et les risques psychosociaux ».

« Stress permanent »

Le TGI de Lyon estime lui au contraire qu’avec ce système, « le seul objectif qui existe est de faire mieux que les autres »

et « tout est remis en question chaque jour ce qui crée un stress permanent ». Des médecins du travail, des assistantes sociales

et l’inspection du travail avaient alerté la direction sur ces risques.

« Véritable terreur »

Fin 2007, la direction de la CERA avait mis en place ce système de gestion des performances des salariés, consistant en

une évaluation permanente des uns par rapport aux autres au sein de chaque agence, et aussi des agences entre elles. La part

variable de la rémunération de chaque salarié dépend directement des résultats du « benchmark » puisqu’elle est fonction

des résultats de son agence.

Le syndicat SUD du groupe Banque populaire-Caisse d’Epargne (BPCE), dénonçant la « véritable terreur » que fait régner

le « benchmark », avait saisi la justice en mars 2011 et une audience a eu lieu le 30 mai dernier.

D’autres recours à venir ailleurs ?

La justice interdit aux Caisses d’Epargne de la région Rhône-Alpes Sud de recourir à ce système, sans toutefois fixer d’astreinte,

et condamne la société à payer à SUD 10.000 euros de dommages et intérêts. Dans un communiqué, le syndicat s’est félicité

de cette décision, qui s’impose aussi selon lui aux autres Caisses d’Epargne sur le territoire, et au-delà peut inciter d’autres

salariés à engager des recours.

« Ce jugement ne concerne en aucune façon les autres Caisses d’Epargne, qui sont totalement autonomes les unes par rapport

aux autres pour définir notamment leur système de management de la performance commerciale », a contredit la caisse d’Epargne

Rhône-Alpes.

Source : humanite.fr  5 septembre 2012

Publié dans Justice, SANTE, Souffrance au travail, Sud, Syndicats | Pas de Commentaire »

« Dans les hôpitaux en Grèce, on manque de tout »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 août 2012

 

Entretien avec Antonis Karavas, médecin dans le système public de santé grec :

« Dans les hôpitaux en Grèce, on manque de tout »

 

« Dans les hôpitaux en Grèce, on manque de tout »   dans Austerite karavas1 Entretien réalisé par Heike Schrader, pour Junge Welt avec Antonis Karavas,

médecin dans le système de santé publique en Grèce

Traduction WM pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

 

Le système de santé public est aussi touché par les mesures d’austérité.

Quelle est la situation sur place ?


Avec la crise, le nombre de patients augmente. Les dépressions, suicides, la consommation de drogue ont explosé. Même

les pathologies physiques se sont développées. La Grèce n’a pas les structures publiques pour offrir des services de santé

de base. Nombre d’examens de contrôle ne sont ainsi pas pris en charge par l’assurance maladie. Avec la crise, la situation

financière de beaucoup de Grecs s’est aussi considérablement dégradée. Conséquence immédiate, on ne va voir le médecin

que lorsque la maladie a déjà atteint un stade avancé. Et au lieu de donner aux structures étatiques les moyens de protéger

et de soutenir ces personnes, on réduit continuellement les dépenses du système de santé.

 

A quoi ressemble concrètement la situation à l’hôpital ?

On manque de tout, les fournisseurs ne sont pas payés et n’assurent donc plus leurs livraisons. On manque de matériel

quotidien, de bandages, de désinfectants, même de nourriture que les proches des patients doivent désormais apporter

eux-mêmes à l’hôpital. Des opérations doivent être reportées faute de matériel. Une situation tragique au XXI ème siècle.

D’autre part, la corruption n’a pas cessé. Du matériel médical et des médicaments sont encore achetés à des prix

artificiellement gonflés. Des entreprises graissent la patte à des médecins pour qu’ils écoulent leurs produits.

 

Le gouvernement avait annoncé en 2010 son intention de centraliser l’achat des fournitures nécessaires

aux hôpitaux. Qu’en est-il advenu?

Rien. Ce serait une très bonne chose si les achats étaient centralisés. Au lieu de cela, chaque hôpital achète ce dont il a besoin.

En principe, les hôpitaux ne sont pas en mesure de réaliser des commandes supérieures à un million d’euros. Mais pour contourner

les contrôles, on découpe ces grandes commandes en ordonnances d’une valeur plus faible. Cela pourrait se passer autrement,

comme en Angleterre par exemple. On calcule combien de stimulateurs cardiaques sont utilisés chaque année en moyenne, et on

procède à un achat centralisé, ce qui permet d’avoir le matériel à un prix avantageux. Cela n’est pas fait, car cela supposerait rentrer

en conflit avec ceux qui tirent profit de la corruption et du clientélisme.

 

De nouvelles mesures d’austérité sont prévues, qu’en est-il pour le système de santé?

Avant tout, ce sont des hôpitaux qui vont fermer ou fusionner. Concrètement, il est prévu de fermer 50 des 132 hôpitaux du pays

pour des raisons financières.

[Lire la suite]

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