Quand les parents d’élèves passent à l’action : « Fermetures de classes, ça déménage ! »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 avril 2016
Publié dans Education nationale, France, SOCIETE | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 avril 2016
Publié dans Education nationale, France, SOCIETE | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 octobre 2015
REP et REP+ : les indemnités, c’est pour octobre
Le versement des nouvelles indemnités pour les enseignants exerçant en REP et en REP+
n’interviendra, au mieux, que sur la paye d’octobre.
En attendant, les enseignants qui étaient en REP et qui sont passés en REP+ ont vu leur paye
amputée de l’indemnité REP.
Merci l’administration !
Publié dans Education nationale, France | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 22 août 2015
L’assurance scolaire oui ou non ?
Daniel Roucous – humanite.fr – 20 août 2015
Chaque année se pose la question de savoir
s’il faut en souscrire une ou pas ?
La réponse est non et oui !
Ce qui est obligatoire est que l’enfant soit bien assuré. De ce fait tout dépend des conditions écrites
dans le contrat d’assurance « multirisques habitation » des parents. Celui-ci couvre au moins la responsabilité
civile de l’enfant pour les dégâts qu’il serait amené à commettre à des choses ou des tiers dans le cadre
de l’activité scolaire. Et donc oui, ça fait doublon avec une assurance scolaire qui couvre ce même genre de risque.
Par contre l’assurance responsabilité civile seule ne couvre pas les dommages qui peuvent être
causés à l’enfant par un tiers, une chute, une blessure au cours de gym ou la casse des lunettes etc.,
ni le vol et le racket. Ceux-ci sont couverts par une assurance « dommages » telles une individuelle accident
ou une assurance tous risques ou une GAV (garantie des accidents de la vie) que peut comporter l’assurance
« multirisques habitation ». Bien lire les conditions du contrat ou voir avec son assureur.
Le cas échéant, oui l’assurance scolaire est conseillée (pas obligatoire).
Par contre, une assurance extra-scolaire est obligatoire et exigée par les chefs d’établissements pour les sorties
facultatives (visite de musée, promenade, voyages, classe de découverte etc.)
Les parents qui optent pour une assurance scolaire doivent savoir :
♦ qu’ils ont le choix de l’assureur (ce peut-être le leur) qui ne peut être imposé par l’établissement scolaire.
Mais une assurance collective ou groupée avec d’autres parents d’élèves peut être avantageuse,
♦ que l’assurance scolaire est annuelle (année scolaire) et donc doit être renouvelée (ou pas) chaque année,
♦ qu’il faut avertie l’assureur en cas de changement d’établissement.
En savoir + sur :
A lire : l’assurance sur le trajet de l’école
Publié dans Education nationale, Infos pratiques | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 juin 2015
Les communes qui refusent l’accès à la cantine aux enfants de demandeurs
d’emploi ou de parents sans ressources sont « hors la loi »
Daniel Roucous – 4 juin 2015
Des solutions légales existent pour permettre à tous les enfants
scolarisés des familles en difficulté de manger à la cantine.
Une grande oubliée : la caisse des écoles.
Le rapport « Grande pauvreté et réussite scolaire – mai 2015 » de l’IGEN
(inspection générale de l’éducation nationale) révèle que les enfants
des familles les plus pauvres n’ont pas accès à la cantine scolaire
même les moins chères.
Ce rapport qui fait l’objet de l’article « Éducation : non assistance à enfant en danger » en rubrique société
de L’Humanité.fr, préconise que « la restauration scolaire devienne un droit sans aucune condition restrictive ».
[Lire la suite sur humanite.fr]
Publié dans Education nationale, France, Pauvrete | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 décembre 2014
Éducation
La droite sénatoriale efface du budget 9 500 créations de postes
Vendredi, 5 Décembre, 2014
Les sénateurs sont revenus, jeudi, sur la création de 9 500 postes prévus dans l’enseignement en 2015, lors du vote du projet de loi de finances
Les sénateurs sont revenus, jeudi, sur la création de 9 500 postes prévus dans l’enseignement en 2015, lors du vote du projet de loi de finances. L’amendement supprimant ces crédits a été voté par 182 sénateurs UMP et centristes, contre 156 socialistes, communistes, RDSE (à majorité PRG) et écologistes. « La nouvelle majorité sénatoriale juge les créations de postes inopportunes, a déclaré Gérard Longuet, auteur de l’amendement avec Jean-Claude Carle. Faisons, au contraire, pression sur les effectifs pour limiter la dispersion des moyens. » La gauche a fustigé un amendement « irresponsable » alors que la France est régulièrement pointée pour ses mauvaises performances en matière de lutte contre les inégalités. « On retrouve l’approche comptable et froide de la droite sénatoriale, celle qui a soutenu naguère la suppression de 80 000 postes et la fermeture de 1 000 écoles », a rétorqué Jacques-Bernard Magner (PS). L. M.
Extrait de l’intervention de Brigitte Gonthier-Maurin le 4 décembre 2014
Aujourd’hui, l’UMP, par la voix du rapporteur spécial, M. Longuet, dénonce, au travers des créations de postes inscrites à ce budget, une « politique du chiffre ». C’est un comble de la part de ceux qui, pendant cinq années, ont mené la pire politique du chiffre, en supprimant plus de 80 000 postes à l’éducation nationale ! L’amendement que M. Longuet défendra au nom de la commission des finances vise à revenir sur les créations de postes de stagiaire et à diminuer le nombre de remplacements dans le second degré, en minorant de 160 millions d’euros les crédits de la mission pour 2015. C’est un mauvais remake de la période Darcos-Chatel ! (Source)
Publié dans Education nationale, France, Senat, UMP | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 29 octobre 2014
Non au harcèlement contre l’école !
L’école de la République subit actuellement des attaques multiples
visant à tenter d’infléchir ses missions constitutionnelles au nom
de « l’ordre moral ».
Ces attaques politiques proviennent de plusieurs organisations
sectaires qui auparavant combattaient l’école laïque pour promouvoir
un enseignement dit « libre » à caractère confessionnel conforme
aux dogmes des églises.
*
Aujourd’hui, ces organisations comprennent que le Gouvernement organise de façon générale la vente
soldée de tous les édifices républicains et entreprennent une conquête de l’École pour en changer sa nature.
Ainsi les Associations Familiales Catholiques (AFC), annexes militantes de l‘Église catholique, viennent
d’obtenir la fin de la communication du numéro de la ligne téléphonique Azur qui offrait, dans l’école publique,
une écoute aux jeunes se questionnant sur leur sexualité et prodiguait des conseils de santé sexuelle.
De même, des groupes sectaires de l’extrême droite chrétienne lancent une pétition visant à interdire
les interventions du planning familial dans l’École. Sans doute ces mouvements veulent-ils revenir aux temps
bénis où les femmes subissaient le devoir conjugal en priant pour ne pas se retrouver enceintes,
puis risquaient leur vie ou leur fertilité future en confiant leur corps à des « faiseuses d’anges ».
Enfin, d’autres mouvements réactionnaires organisent encore des Journées de Retrait de l’École
afin d’influer sur le contenu des programmes.
Le harcèlement incessant des organisations rétrogrades contre l’École de la République doit cesser
immédiatement !
L’UFAL ne se fait aucune illusion sur la volonté de ce Gouvernement de protéger l’École de la République
et appelle donc les familles à résister aux organisations rétrogrades dont le but est la privatisation
de l’École au service de leurs idéaux.
Publié dans Education nationale, Extreme-droite, France | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 12 septembre 2014
Salaire : les enseignants français en queue de peloton
Sylvie Ducatteau – 10 septembre 2014
L’OCDE vient de publier ses indicateurs
sur l’éducation pour 2014 dans 33 pays
qui participent aux études.
En France, l’école publique s’en sort plutôt
bien même si l’organisation internationale
confirme de sérieuses insuffisances
et la persistance d’inégalités.
Une confirmation plutôt qu’une information. La France est en queue de peloton. Les enseignants français sont parmi les plus mal payés des pays de l’OCDE. C’est vrai, pour l’ensemble des enseignants du premier et du second degré mais c’est peu dire pour les jeunes professeurs des écoles. La différence de traitement est abyssale avec les enseignants allemands qui en début de carrière gagnent en moyenne 46 % de plus que leurs collègues français. L’écart se réduit à 19% en toute fin de carrière, après vingt-neuf ans passés face aux élèves.
Pourtant, la France peut s’enorgueillir d’avoir les enseignants les plus diplômés (Master 2 – Bac +5). Une exception en Europe. Mais leur formation pédagogique laisse à désirer de même que la formation continue dont ils considèrent qu’elle n’est pas adaptée à leurs besoins. Et c’est en France que le temps de formation continue est le plus court : quatre jours par an mais le double dans les pays de l’OCDE. Au final, 40% jugent qu’ils ne sont pas assez préparés au métier. Il s’agit du pourcentage le plus élevé des 34 pays de l’OCDE.
Un financement de l’éducation très déséquilibré
La France investit 6% de son PIB dans le financement de l’éducation. Mais d’une façon très déséquilibrée. Si ses dépenses par élève du secondaire sont supérieures de 20% à la moyenne des dépenses des pays de l’OCDE, en revanche ce sont 20% de moins qui sont consacrés à chaque élève du primaire. Une incongruité pour l’OCDE.
[Lire la suite sur humanite.fr]
Publié dans Education nationale, France, SOCIETE | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 8 septembre 2014
ÉDUCATION
La promesse de 60 000 postes reste au banc de l’école
Sylvie Ducatteau – 5 septembre 2014
capture d’écran
Le candidat François Hollande jurait
qu’il créerait 60 000 emplois
dans l’éducation nationale en cinq ans.
C’est mal parti.
Sur fond de crise du recrutement, près de 7 000 de ces postes ne sont pas pourvus. Une pénurie qui frappe d’abord les établissements en zone prioritaire.
«Il y aura bien un enseignant en face de chaque élève ! » Eh bien non ! Le premier faux pas de la toute nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, ne s’est pas fait attendre. Sa déclaration, le jour de la rentrée des classes des enseignants, a été contredite dès le lendemain par les faits. À Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), par exemple, vingt classes, dont plusieurs inscrites dans les nouveaux réseaux d’éducation prioritaire (REP+), n’avaient ni maître ni maîtresse le jour de la rentrée. Peut-être n’a-t-elle pas eu le temps d’ouvrir la dizaine de dossiers chauds hérités de son prédécesseur Benoît Hamon. C’est peu probable tant le gouvernement a reçu d’alertes. Et sait depuis longtemps qu’il lui sera quasi impossible de tenir la promesse phare du président Hollande de créer 60 000 postes dans l’éducation nationale (dont 5 000 pour le supérieur et 1 000 dans l’enseignement agricole).
Syndicats d’enseignants et organisations de parents d’élèves le répètent depuis des mois. « Il n’y a pas assez d’enseignants à tous les niveaux. La crise du recrutement est là et perdure. » Le constat de la Cour des comptes, dressé en mai dernier, est sans appel : sur les 22 000 postes créés depuis 2012, 7 000 n’ont pas été « consommés ». La Fédération syndicale unitaire (FSU) a également sorti la calculette. Rien que pour cette année, il manque, au final, 404 professeurs des écoles, 3 640 certifiés et agrégés, 64 professeurs d’éducation physique et sportive, 1 069 professeurs des lycées professionnels… Au total : 5 177 futurs enseignants n’ont pas pu être recrutés faute de candidats et de réussite aux concours 2014, alors même qu’une session exceptionnelle avait été organisée en plus. Pour les syndicats, la crainte est forte, désormais, de voir ces moyens budgétaires non utilisés repris par le gouvernement Valls et son grand argentier Emmanuel Macron…
[Lire la suite sur humanite.fr]
Publié dans Education nationale, France, SOCIETE | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 27 août 2014
La rentrée scolaire va faire mal au porte-monnaie
Sylvie Ducatteau – 27 août 2014
La Confédération syndicale des familles
table sur une hausse des dépenses
de scolarité de 1,35 % pour cette année.
Une augmentation difficile à assumer
pour les foyers modestes.
Guère réjouissant. La Confédération syndicale
des familles (CSF) a annoncé une hausse générale
de 1,35 % du coût de la rentrée scolaire 2014.
Publiée hier, cette enquête annuelle intègre les dépenses à la rentrée puis au cours de l’année. Si le prix
des fournitures baisse de 0,27 %, les tenues de sport et les dépenses liées aux assurances scolaires,
en hausse de 12 %, font grimper la facture. Ce sont notamment les changements de cycle – CP, 6e
et seconde – qui coûtent le plus cher :
150 euros pour l’entrée à l’école primaire, 325 euros pour l’entrée au collège et 655 euros
en moyenne pour l’entrée en seconde.
Les dépenses s’envolent même à plus de 800 euros pour les élèves qui intègrent des secondes
techniques.
La CSF a une nouvelle fois revendiqué la baisse de la TVA à 5,5 % sur les fournitures scolaires. « L’école
étant obligatoire, ces fournitures sont des produits de première nécessité », argumente la présidente
de l’association, Marie-Françoise Martin.
Cette mesure serait bienvenue au regard du poids de la rentrée sur le budget des familles au Smic
ou moins.
Une famille dont un parent perçoit le Smic et le RSA consacre plus de 28 % de son budget
à la scolarisation de ses trois enfants au collège et à l’école primaire.
Pour une personne seule, bénéficiaire du RSA, c’est la moitié de ses revenus.
Et près de 110 % pour une famille (ressources Smic 35h) de cinq enfants (en CM2, en 4e,
en 2e bac pro industriel, en 1re scientifique et l’un en BTS).
« Les revenus n’y suffisent pas. Certaines familles sont contraintes à emprunter », déplore Catherine
Conat, responsable politique du secteur éducatif du CSF.
[Lire la suite sur humanite.fr]
Publié dans Education nationale, France, SOCIETE | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 11 avril 2014
Publié dans Austerite, Education nationale, France, FSU, Salaires | Pas de Commentaire »