Ça Val-se à France Inter !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 30 octobre 2010

Source : http://linuxmanua.blogspot.com/29 octobre 2010

Censure 

Et hop un 3ème humoriste viré aujourd’hui de France Inter suite à une chronique au napalm sur MAM et Sarkozy

Pour mémoire, Gérald Dahan avait été recruté il y a 2 mois pour remplacer Guillon et Porte virés eux aussi pour non sarko-compatibilité.


La direction de France Inter, nommée par le monarque, pensait recruter un lêche-cul, en la personne de Dahan. Jusqu’à aujourd’hui :

http://www.dailymotion.com/video/xfet2e

http://linuxmanua.blogspot.com/2010/10/censure.html

 

Vu également sur ce site :

Travail Famille Sarkozy … le retour de la chanson censurée de Mano Solo
http://www.dailymotion.com/video/xbtoux

http://linuxmanua.blogspot.com/2010/02/travail-famille-sarkozy-le-retour-de-la.html

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Didier Porte : chronique du 25 juin à Bordeaux

Posté par communistefeigniesunblogfr le 28 juin 2010

 

http://www.dailymotion.com/video/xdtlbr

L’intersyndicale de Radio France appelle à manifester jeudi 1er juillet devant la Maison de la Radio ainsi qu’en province pour le retour sur l’antenne de Didier Porte et Stéphane Guillon et dénonce la suppression injustifiée de plusieurs autres émissions. 

 

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François Morel sur France Inter : « Le mépris n’est jamais une bonne méthode de gouvernance »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 25 juin 2010

L’humeur de François Morel sur France Inter ce matin (25 juin 2010)

http://www.dailymotion.com/video/xdtar0

 

Cet été François Morel sera présent sur France Inter pour une chronique quotidienne à 7 h 55.

Le retrouvera-t-on à la rentrée ?

**************************************

Source : http://bellaciao.org/fr/

Communiqué de la SNJ CGT

L’humour, l’impertinence, la liberté de ton n’ont donc plus toute leur place sur France Inter. Le licenciement de Stéphane Guillon et Didier Porte sonne comme un rappel à l’ordre brutal à deux ans de la future élection présidentielle. Moquer les responsables politiques ou la direction à l’antenne expose désormais à des sanctions. Jean-Luc Hees peut bien affirmer à la presse qu’il a pris ces graves décisions sans subir de pressions. C’est peut-être vrai. Il ne fait alors que devancer les désirs du Prince qui nomme et peut révoquer les pdg de l’audiovisuel public selon son bon vouloir.

A la brutalité de ces décisions s’ajoute la duperie. La semaine dernière encore, la direction de France Inter affirmait réfléchir à la place de l’humour dans la matinale. Résultat : la chronique humoristique est purement et simplement supprimée. Récemment, Stéphane Bern, producteur du « Fou du roi » pensait avoir obtenu des garanties sur le maintien de Didier Porte dans l’émission. Résultat : Didier Porte est licencié. Jean-Luc Hees et Philippe Val n’apprécient pas qu’on les moque mais ils aiment bien se moquer de nous !

Les licenciements de Stéphane Guillon et Didier Porte mettent gravement en cause la liberté d’expression des humoristes sur France Inter et les antennes de Radio France. Une liberté à laquelle les auditeurs et les salariés de Radio France sont attachés, qu’il faut défendre et non bâillonner.

C’est inacceptable !

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2012 approche : A France Inter, on « Guillontine » Stéphane et on met Didier à la Porte.

Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 juin 2010

«Un pays sans journalistes libres et sans humoristes libres

sent une certaine forme de totalitarisme et de dictature,

qu’on le veuille ou non.»

(Guy Bedos)

Radio Sarkozy : Stéphane Guillon, Didier Porte et François Morel débarqués par les valets de l’Élysée.

« Jamais responsables de l‘audiovisuel public, depuis l’installation de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, n’auront cédé avec autant de zèle aux oukases d’un pouvoir, et plus largement d’une classe politique, excédés par les billets au vitriol d’un trio de saltimbanques que l’on exécute aujourd’hui, sans ménagement. » (Renaud Revelhttp://blogs.lexpress.fr/media/ )

« Dans ce pays où l’odeur de corruption a dépassé depuis longtemps celle de la pollution, Porte et Guillon étaient nos masques à gaz. » (Patrick Raynal,  rue89.com/ )

« En voulant donner des gages à celui qui les a installés pour faire le sale boulot de reprise en main, Jean-Luc Hees et Philippe Val discréditent le travail mené avec passion par l’ensemble des collaborateurs de Radio France. Ils ne sont pas vraiment dignes des fonctions qu’ils occupent » (Sud Radio France)   

« Politique de la terre brûlée, irrespect des auditeurs, entreprise d’autodestruction… Jusqu’où cette direction veut-elle aller ? Nous ne sommes pas l’équipe de France. Nous n’attendrons pas d’avoir touché le fond pour réagir. »(extrait du communiqué SDJ-SNJ-SNJCGT Radio France)


2012 approche : A France Inter, on

Source : http://reineroro.kazeo.com/

 

Dernière chronique de Didier Porte

http://www.dailymotion.com/video/xdsgvd

http://www.dailymotion.com/video/xdsgvd_retraite-de-senateurs_fun#from=embed?start=2

 

Écouter les réactions de Stéphane Berne et du public sur :

http://www.ozap.com/actu/france-inter-licenciement-didier-porte/348764 (au bas de la page)

 

Les adieux de Stéphane Guillon

http://www.dailymotion.com/video/xdscy9

http://www.dailymotion.com/video/xdscy9_france-inter-en-burqa_fun#from=embed?start=1

 

Stéphane Guillon soutient Didier Porte
http://www.dailymotion.com/video/xdo2s6

http://www.dailymotion.com/video/xdo2s6_avertissez-moi-s-il-vous-plait_fun#from=embed

 

Guillon et Porte, l’humour en danger ? (arretsurimages.net)

http://www.dailymotion.com/video/x8l20l

http://www.dailymotion.com/video/x8l20l_guillon-et-porte-l-humour-en-danger_news#from=embed?start=7

 

http://www.dailymotion.com/video/xdlmoo

http://www.dailymotion.com/video/xdlmoo_didier-porte-le-j-encule-sarko-de-t_news

 

 

 

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Les nostalgiques de la colonisation font campagne contre le film « Hors-la-loi » de Rachid Bouchareb

Posté par communistefeigniesunblogfr le 8 mai 2010

Publié par : http://www.ldh-toulon.net/ – 5 mai 2010

Les nostalgiques de la colonisation font campagne contre le  film

 

“Hors-la-loi” :

le retour des guerres de mémoires

 

A la suite de la polémique qui s’est développée en France après l’annonce de la prochaine présentation au Festival de Cannes du film Hors-la-loi de Rachid Bouchareb, une douzaine de personnalités, historiens et créateurs, rappellent que « Le pire est à craindre quand le pouvoir politique veut écrire l’histoire ».

[Lire le texte]

 

Jamel Debbouze, Sami Bouajila et Roschdy Zem.

Jamel Debbouze, Sami Bouajila et Roschdy Zem.

 

Le film s’ouvre sur les massacres de Sétif, Gulema et Kherrata le 8 mai 1945, et dont nombre d’historiens pensent qu’ils sont à l’origine du déclenchement de la guerre d’indépendance neuf ans plus tard. Il raconte les parcours de trois frères, témoins de ces douloureux évènements et qui partent ensuite pour la France où ils se trouveront pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie.

(Source : http://www.afrik.com/)

 

 

 

A lire également sur : ldh-toulon.net
rubon17-0a59f dans Cinema

 

lettre ouverte à Hubert Falco : « l’autre 8 mai »

publiée le 7 mai 2010

La section de Toulon de la Ligue des droits de l’Homme s’est adressée le 27 avril 2010 à Hubert Falco, maire de Toulon et secrétaire d’État à la Défense et aux Anciens combattants pour rappeler que le jour anniversaire de la victoire sur le nazisme est également celui de la répression sanglante à Sétif d’une manifestation de nationalistes algériens.

[Lire la lettre]

Plusieurs associations sont cosignataires de cette lettre :

  • Association des anciens appelés en Algérie contre la guerre [1]
  • Association nationale des pieds-noirs progressistes et leurs amis [2]
  • Varois pour la paix et la justice en Méditerranée (VPJM)
  • Espace Franco-algérien PACA
  • Réseau France Orient Culture

Publié dans Censure, Cinema, HISTOIRE, LIBERTES, UMP | Pas de Commentaire »

Cité des Sciences : l’INPI, farouchement opposé à ce que l’exposition « Contrefaçon » donne la parole aux défenseurs du « libre »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 21 avril 2010

Publié sur : http://www.transactiv-exe.org/

Référencé sur : dazibaoueb.fr


« Contrefaçon » : 

 

La Cité des Sciences censure le Libre à la demande de l’INPI

 

« La vraie expo qui parle du faux » se soucie peu de parler vrai.

Publié le mardi 20 avril 2010 par Isabelle Vodjdani

RÉSUMÉ : Une exposition aux intentions pédagogiques sur la Propriété Intellectuelle, décrit toutes les formes de contrefaçon mais censure les informations se rapportant aux pratiques licites du Libre et de l’Open-Source. Si on avait voulu faire l’apologie des pratiques illicites on ne s’y serait pas mieux pris !

***

*

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, j’ai la fausse joie de vous annoncer l’ouverture d’une exposition aux prétentions pédagogiques sur la Propriété Intellectuelle dont le seul volet consacré à la présentation du Libre, un texte concis enregistré par votre serviteur, a été censuré à la demande de l’INPI, principal partenaire de l’exposition.

« CONTREFAÇON, la vraie expo qui parle du faux » commence le 20 avril à la Cité des Sciences et de l’Industrie de la Villette et court jusqu’en février 2011 [1]. Comme son sous titre accrocheur l’indique, vous y verrez fausse monnaie, fausses marques, faux médicaments, fausses montres,… et dans la foulée, le faux nez de la vraie musique téléchargée illégalement par quelques adolescents dont on se propose de corriger l’égarement à coup de questionnaires faussement ludiques et de sorties scolaires faussement récréatives [2]. Copier c’est mal, voilà tout le message de ce déballage qui décrit les multiples formes de la contrefaçon avec la verve qu’en d’autres temps, des enlumineurs auraient employée pour dépeindre les sept péchés capitaux en motifs grotesques.

Hélas, à côté de ce tableau des pratiques illicites, il ne faut pas s’attendre à trouver beaucoup de nuances dans la définition de ce qui est au contraire licite en matière de propriété intellectuelle. En effet, le domaine du Libre est totalement exclu du corpus de l’exposition. Et quand je dis exclu, il ne s’agit pas d’omission ou d’ignorance, mais bien de censure.

Initialement, les commissaires de l’exposition avaient prévu de consacrer un modeste volet à la présentation du Libre ; cela leur paraissait incontournable et c’est bien la moindre des choses. Dans cette optique, j’avais été contactée en septembre 2009 par une des commissaires adjointes qui me demandait de rédiger un texte concis définissant le Libre, ses enjeux et ses perspectives. Le texte devait être diffusé dans une petite zone de l’exposition équipée de bornes audio avec la version écrite affichée à proximité.

Mais le 16 avril 2010, quatre jours avant l’ouverture de l’exposition, j’ai reçu un mail de la commissaire en chef m’informant que mon texte ne pourra pas être diffusé :

« notre partenaire principal, l’INPI, est farouchement opposé à ce que l’exposition donne la parole aux défenseurs du « libre ». Nous avons essayé de discuter et d’argumenter avec eux mais l’INPI reste intransigeant sur sa position. Nous sommes donc obligés, avec grand regret, de ne pas présenter votre parole que vous aviez, aimablement, accepté de rédiger et d’enregistrer. ».

Quelques minutes plus tard, je recevais un mail d’excuses de la commissaire adjointe, sincèrement désolée. En pièce jointe, elle me restituait mon texte, enrichi des traductions réalisées par son équipe. Je l’en remercie, car ces traductions sont bien le seul avantage que j’aurai tiré de cette affaire.

[Lire la suite sur : transactiv-exe.org/]

 

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Liberté des créateurs : Le silence assourdissant du ministre de la Culture

Posté par communistefeigniesunblogfr le 22 mars 2010

 L’Humanité – 20 mars 2010

Liberté des créateurs : Le silence assourdissant du ministre de la Culture dans Censure aux_malheurs_des_dames_200

Quand la littérature finit au tribunal

Par Ian Brossat, président du groupe PCF-PG au Conseil de Paris, élu du 18è arrondissement

Le ministre de la Culture s’engagera-t-il pour la liberté des créateurs ?

Un vent mauvais souffle sur l’édition. Le 9 avril prochain, au tribunal correctionnel de Paris, comparaissent l’auteur de romans policiers, Lalie Walker et son éditeur, Parigramme. Leur crime  : avoir écrit et fait paraître en 2009 un ouvrage de fiction, Aux malheurs des dames, dont l’action se situe au marché Saint-Pierre, dans le 18e arrondissement de Paris. Les propriétaires et gestionnaires du site ont entrepris une action en justice, estimant que l’ouvrage nuisait à leur réputation et à leur commerce. C’est un peu comme si le Louvre avait décidé d’attaquer Dan Brown (pour son Da Vinci Code). Ou l’office du tourisme new-yorkais, Roland Emmerich (pour le Jour d’après). Très sérieux, les requérants demandent le retrait du livre et deux millions de dommages et intérêts. Élu de l’arrondissement, ancien professeur de lettres, j’ai lu le livre. Il n’y a rien dans le texte de Lalie Walker qui étaye ces exigences, de quelque manière que ce soit. Ce n’est ni un roman à clef, ni un pamphlet, ni un essai journalistique sur le marché Saint-Pierre. Aucun rapport avec la réalité, sinon l’endroit, connu de tous les Parisiens. Aux malheurs des dames est une fiction criminelle, ni plus ni moins. Des dizaines d’autres paraissent toutes les semaines – et sont bien obligées d’être situées quelque part.

S’il est désormais interdit aux écrivains de citer un nom de lieu, une enseigne, un monument, un produit, ce sont des pans entiers de la littérature mondiale qui risquent de finir au pilon. En guise de conseil, je voudrais d’ailleurs dire aux jeunes écrivains qu’ils prennent des risques. La moindre mention négative dans un texte qui n’est pas un poème fantaisiste ou une saga de science-fiction peut coûter cher. Sauf écœurante surprise, la justice devrait laisser Lalie Walker et Parigramme en paix. Malheureusement, la tendance à la censure qui les renvoie aujourd’hui au tribunal s’accentue depuis plusieurs années. Le dernier roman paru de Régis Jauffret, Sévère, a connu quant à lui un parcours du combattant éditorial tout à fait singulier. S’inspirant de l’affaire Stern, il a effrayé le conseil juridique de Gallimard, puis celui de Flammarion avant d’être finalement publié par Le Seuil – la censure devenant autocensure. Dans le même ordre d’idées, craignant les foudres d’un procureur de la République, Frédéric Beigbeder et Grasset avaient nettoyé plusieurs pages du futur prix Renaudot 2009, Un roman français.

Face à la multiplication de ces actions judiciaires, le silence du ministre de la Culture est proprement assourdissant. À croire ses déclarations d’intention l’année dernière, il devait se battre pour les artistes et les créateurs. On sait depuis la fameuse affaire qui a opposé Marie NDiaye à Éric Raoult que sa combativité varie. Il est vrai que les écrivains ne font pas qu’écrire des livres, parfois ils parlent – et cela, c’est insupportable. Aux dernières nouvelles, Lalie Walker n’a pas fait de déclarations fracassantes contre la politique de Nicolas Sarkozy, pourtant. À moins que Frédéric Mitterrand ne soit, lui aussi, choqué, comme les propriétaires du marché Saint-Pierre, par cette phrase de l’un de ses personnages  : « Les patrons, tous des salauds  ! »

Décidément, les artistes ne respectent plus rien.

 

Pour en savoir plus

http://www.laliewalker.com/La-fiction-a-quel-prix-suite

http://www.yozone.fr/spip.php?article9801

http://arnaudh-s.blogspot.com/2010/03/le-droit-la-fiction.html 

http://action-suspense.over-blog.com/article-lalie-walker-face-au-proces-de-la-fiction-46027052-comments.html#anchorComment

 

Publié dans Censure, Culture, Democratie, IDEES - DEBATS - PHILO, Justice, LIBERTES, Solidarite | Pas de Commentaire »

En Sarkozie, interdit d’écrire les mots « travailler’, « gagner », « plus », moins » sur une façade !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 12 février 2010

Vu sur :  En Sarkozie, interdit d'écrire les mots

Une artiste chinoise censurée… à Paris

Auteur : veilleur - Source : Veilleur de jour

Exposer moins, censurer plus…

“Quatre mots qui dérangent : travailler, gagner, plus, moins. L’installation de l’artiste chinoise Siu Lan Ko, dont le vernissage était programmé vendredi, a été démontée quelques heures après leur affichage sur la façade de l’École des Beaux- Arts, quai Malaquais.” écrit Sophie Verney-Caillat sur Rue89. « Censure politique », dénonce l’artiste. Lire aussi télérama.fr

« Un week-end de sept jours », une exposition collective à la connotation délibérément utopique, devait présenter du 13 au 21 février des œuvres d’étudiants du Royal College of Art de Londres, et de Lasalle College of the Arts de Singapour.

Siu Lan Ko, qui connaît bien les Beaux-Arts de Paris pour y avoir passé deux ans en résidence, avait imaginé deux bannières réversibles de 7 mètres de haut sur 1,2 m de large, visibles depuis les quais de la Seine et incluant simplement quatre mots. Selon le chemin que l’on empruntait, on pouvait lire les mots ci-dessous :

plus.1265958233.jpg

* Gagner Plus Travailler Moins

* Travailler Plus Gagner Moins

* Travailler Moins Gagner Moins

* Travailler Plus Gagner Plus

* Plus Gagner Plus Travailler

* Moins Gagner Plus Travailler

* Moins Travailler Moins Gagner

* Plus Travailler Plus Gagner

* Plus Gagner Moins Travailler

* Plus Travailler Moins Gagner

D’après les informations recueillies par Sophie Verney-Caillat, “la direction de l’école aurait jugé cette œuvre trop dérangeante et aurait argué qu’elle avait choqué certains membres du personnel de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts et du ministère de l’Éducation.  Le  directeur aurait ajouté que la période était particulièrement sensible alors que l’école était en train de renouveler sa convention de financement avec les ministères.”

moins.1265958293.jpg « Cet incident reflète bien le climat de peur politique dès qu’on touche à Sarkozy en France, et à quel point la liberté d’expression est bafouée dès que des intérêts économiques sont en jeu », constate sur télérama.fr, Siu Lan Ko. “Venant d’une Chinoise, le coup fait mal, écrit Erwan Desplanques. Elle dénonce un geste d’autocensure de la part d’Henry-Claude Cousseau (à sa décharge, il est encore poursuivi pour « diffusion d’images pornographiques de mineurs », à la suite d’une expo organisée en 2000 à Bordeaux sur l’art contemporain et l’enfance, on comprend qu’il soit échaudé).

Ébranlée par cette histoire, Siu Lan Ko demande simplement que son œuvre soit raccrochée avant le vernissage de l’expo, samedi, et songe à une action en justice si tel n’est pas le cas.”

 

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