Conférence pour les 80 ans du Front Populaire par Pierre Outteryck
Posté par communistefeigniesunblogfr le 19 juin 2016
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 19 juin 2016
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 8 juin 2016
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 février 2016
De toutes les batailles de la Grande Guerre, celle de Verdun reste, dans notre mémoire nationale, la plus importante :
c’est d’ailleurs la seule qui figure au programme d’histoire des collégiens. Comment expliquer ce statut exceptionnel ?
Il y a cent ans, Verdun
Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.
« Qui n’a pas fait Verdun n’a pas fait la guerre », disent les survivants
Cliquer sur l’image pour lire l’article.
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 11 janvier 2016
L’école des colonies de Didier Daeninckx
L’école des colonies de Didier Daeninckx,
paru le 14 octobre 2015 aux éditions Hoëbeke
Dans son dernier ouvrage, L’école des colonies,
Didier Daeninckx s’attaque violemment au mythe
des bienfaits de la colonisation en matière scolaire.
Qu’enseignait-on dans les écoles des colonies, en Algérie, en Afrique sub-saharienne, en Asie,
aux Antilles, quand l’empire français s’étendait sur 11 millions de kilomètres carrés et comptait
48 millions d’habitants ?
Quel était le pourcentage d’enfants indigènes scolarisés ?
Que cherchait-on à former : des citoyens, une élite, de bons et loyaux serviteurs ?
Une leçon d’histoire [1]
Dans un livre abondamment – et magnifiquement – illustré de documents de l’époque, manuels scolaires,
planches pédagogiques de « L’Office colonial scolaire », cartes géographiques et économiques, photos,
l’auteur répond à ces questions, et à bien d’autres, de manière extrêmement concrète et étayée.
Ces nombreuses planches sont plus que des illustrations. Elles sont sources de commentaire possible
sur ce que représenta la colonisation pour le colonisateur comme pour le colonisé.
Au-delà de son texte, qui est une analyse globale, Didier Daeninckx laisse au lecteur le soin de réfléchir
à chaque document et de se forger lui-même son opinion.
[Lire la suite sur ldh-toulon.net]
Lire le compte-rendu de cet ouvrage sur le site des 4acg
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 14 août 2015
A l’occasion du soixante-dixième anniversaire
de la condamnation de Pétain, en tant que chef
de « l’Etat Français » le 15 août 1945,
l’Humanité revient sur cette page de l’histoire
et ce qu’elle renvoie pour notre présent.
♦ Décomplexés…, l’édito de Michel Guilloux
♦ La collaboration au nazisme en Europe :
♦ Il y a soixante-dix ans, le procès de Pétain
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 27 mai 2015
Aujourd’hui, 4 grands résistants entrent au Panthéon. Nous les saluons fraternellement.
Pour ce qui est de la tentative d’effacement de l’apport des communistes dans la résistance
par l’actuel président, F. Hollande, nous, nous n’oublierons pas ! (PCF Nancy)
La Résistance a besoin de toutes ses couleurs
A lire dans l’Humanité de ce mercredi 27 mai :
Un numéro spécial de l’Humanité
*
La Résistance a besoin de toutes ses couleurs
♦ À l’occasion de la Journée nationale de la Résistance,
Geneviève Anthonioz de Gaulle, Germaine Tillion, Jean Zay
et Pierre Brossolette entrent au Panthéon aujourd’hui.
♦ En excluant la résistance communiste, les autorités
affaiblissent le sens de l’événement.
♦ Les réactions des historiens Frédéric Genevée,
Roger Martelli et Denis Peschanski.
L’éditorial de Patrick Apel-Muller :
La rose OU le réséda
« L’histoire à mains nues prend place au Panthéon, le temple glacé des grands hommes, où deux femmes viendront rejoindre un silence très masculin. »
L’histoire à mains nues prend place au Panthéon, le temple glacé des grands hommes, où deux femmes viendront rejoindre un silence très masculin. Germaine Tillion, Geneviève Anthonioz-de Gaulle, Jean Zay et Pierre Brossolette sont quatre facettes d’un courage qui a conduit des hommes et des femmes, une poignée d’abord dans l’hébétement d’une défaite, à relever la tête, à refuser l’ordre noir, à jouer leurs vies pour l’avenir. Le ferment semé a levé et la France a fait nation, combattants des villes et des campagnes, résistants immigrés et antifascistes de toujours. Des ruines a surgi le progrès social ; de la misère une dynamique économique et d’invention démocratique.
La leçon de la Résistance vaut pour plus d’une journée. Elle fut rappelée avec éclat, il y a quelques années, par quelques-uns de ses acteurs illustres dans un texte, « Créer c’est résister. Résister c’est créer », qui valait comme un appel à refuser les injonctions au fatalisme, de résignation à l’impuissance, de démission devant la loi des puissants. Et comme une invitation avec René Char, à composer « l’avenir sans croire au poids qui décourage ». Durant les quatre ans de cendres, de sang et de deuils, les animateurs des maquis surent aussi confluer, sans renoncer à leur histoire ou à leurs rêves, adoptant le vers d’Aragon : « Fou qui songe à ses querelles au cœur du commun combat. »
Cette leçon-là, hélas, n’a pas été retenue par le président de la République, qui, choisissant d’incontestables héros, a décidé de retoucher la photo et de ne retenir aucun des communistes qui furent pourtant au premier rang des soldats de l’ombre et des martyrs. Dommage d’avoir choisi de séparer « la rose et le réséda » et d’avoir préféré la querelle à l’histoire.
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mai 2015
Hernando Calvo Ospina – l’Humanité – 29 avril 2015
À l’origine du 1er Mai : Lucy Parsons, la veuve des martyrs de Chicago
Le 1er mai 1886, la grève est lancée à Chicago.
Le 4 mai s’abat la répression.
Jugés, quatre hommes sont pendus dont Albert
Parsons. Sa femme, Lucy, poursuivra la lutte
jusqu’à sa mort. À 88 ans, la police la considère
toujours comme une menace « plus dangereuse
que mille insurgés ».
En hommage aux cinq martyrs de Chicago,
le Congrès des ouvriers socialistes qui se tenait
à Paris en 1889 instaura le 1er mai comme
la Journée internationale des travailleurs et
des travailleuses.
L’année suivante, cette journée fut commémorée
pour la première fois.
Lucy Parsons était déjà connue comme la « veuve
mexicaine des martyrs de Chicago ».
Fille d’un Indien de l’Alabama et d’une Mexicaine noire, Lucy Gonzalez naquit esclave en 1853, dans un hameau
du Texas, un territoire qui, cinq ans plus tôt, faisait partie du Mexique. Orpheline à trois ans, on l’envoya
dans les champs de coton dès qu’elle fut en mesure de travailler. À dix-neuf ans, elle épousa Albert Parsons.
Quasiment considérés comme un couple illégal, car la mixité raciale était pratiquement interdite dans les États
du Sud, ils faisaient partie du petit nombre d’activistes pour le droit des Noirs. Pour ces deux raisons,
les menaces de mort à leur encontre les obligèrent à partir pour Chicago en 1873. Pour survivre, Lucy
confectionnait des vêtements pour femmes et il travaillait dans une imprimerie. Elle se mit à écrire
pour des journaux syndicaux, sur des sujets tels que le chômage, le racisme, ou le rôle des femmes
dans les organisations politiques.
La militante Lucy fut très bien accueillie par les ouvrières, notamment dans les fabriques textiles, là
où l’exploitation était la plus féroce. Avec le soutien d’Albert, elle participa à la création de l’Union
des femmes ouvrières de Chicago, reconnue en 1882 par l’Ordre des nobles chevaliers du travail.
Un grand triomphe : jusqu’alors, le militantisme féminin n’était pas admis.
La lutte pour la journée de huit heures devint la principale revendication nationale. Les travailleurs
appelèrent à une grève pour le 1er mai 1886.
[Lire la suite sur humanite.fr]
Hernando Calvo Ospina Auteur de Latines, belles et rebelles, aux Éditions le Temps des Cerises.
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 24 avril 2015
Le cinéaste de Marius et Jeannette a passé
la journée à la rédaction. Arménie, FN,
François Hollande, engagement communiste,
droits des malades, migrants, culture, etc.
De nombreux sujets d’actualité l’ont inspiré.
Robert Guédiguian, rédacteur en chef
d’un jour : « Je fais appel à l’intelligence
Robert Guédiguian :
«Les identités ne s’opposent pas, elles se superposent»
Le cinéaste est le rédacteur en chef
exceptionnel de l’Humanité du 24 avril,
un numéro spécial consacré à la mémoire
du génocide arménien.
A cette occasion il revient sur son enfance,
son histoire familiale, la place de l’Arménie
dans ses films et son engagement infaillible
pour une humanité plus juste et solidaire.
« La reconnaissance du génocide arménien dépasse les Arméniens, c’est pour l’humanité entière »
Journal l’Humanité – sur youtube
Réalisation : Abrahim Saravaki
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 7 avril 2015
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 26 janvier 2015
Journal l’Humanité – sur youtube
Le 27 janvier 1945, l’Armée rouge libérait quelque 7 000 survivants des camps d’Auschwitz-Birkenau
en Pologne. En cinq années, plus de 1,1 million d’hommes, de femmes et d’enfants meurent
dans le plus grand camp de concentration et d’extermination nazi.
La libération de tous les camps sera achevée quatre mois plus tard. L’Humanité ouvre ses archives
à l’occasion de cette journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste.
« Jusqu’au dernier : la destruction des juifs d’Europe », documentaire diffusé ce soir
sur France 2 à 23h10. « On croit tout savoir du génocide des juifs mais l’on connaît
en réalité peu les étapes qui l’ont précédé. »
C’est sur ce postulat que Blanche Finger et William Karel ont bâti cette série documentaire,
dont le premier volet est diffusé ce lundi, pour le 70e anniversaire de la libération d’Auschwitz.
Entretien avec la coréalisatrice.
Vidéos INA.
Libération des camps d’extermination d’Auschwitz-Birkenau
Le 27 janvier 1945, l’Armée Rouge libérait
quelque 7000 survivants des camps d’extermination
d’Auschwitz Birkenau.
Mais ils seront plus de 1,1 million à ne jamais
en revenir.
Retour en images avec l’Institut national de l’audiovisuel
(INA).
Henri Krasucki à propos de « la marche de la mort » d’Auschwitz
Vidéo INA. L’ancien résistant et leader de la CG
raconte la marche de la mort d’Auschwitz à laquelle
il a participé, c’est-à-dire l’évacuation du camp
qui a accéléré la mort de la moitié des prisonniers
qui ont dû marcher 80 km dans le froid sans s’arrêter.
Ce grand témoin de l’histoire du XXe siècle explique qu’en tant que résistant et donc de « soldat sans uniforme »,
il s’attendait à la mort , ce qui lui permettait de garder une certaine dignité.
Henri Krasucki affirme n’avoir jamais perdu sa confiance en l’homme grâce à tous les gens qu’il a vu essayer
de survivre dans les camps. Mais il dit connaître le prix de la liberté et de la dignité.
Voir le dossier : 70e anniversaire de la libération d’Auschwitz
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