L’Édito de l’Humanité : « Le spectre grec »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 24 août 2015

 

Le spectre grec

 

L’éditorial de Patrick Apel-Muller – l’Humanité – 24 août 2015

 

La Fête de l’Humanité sera le porte-voix de ceux qui ne se résignent pas

à laisser l’Europe dans les mains des banquiers.

 

Capturehuma21739 

  Angela Merkel n’en a pas fini avec la Grèce.

  Alexis Tsipras en convoquant des élections législatives

  anticipées réplique par la démocratie à l’imposition

  de mesures libérales brutales en échange du ballon

  d’oxygène financier dont son pays avait besoin.

  C’est devant son peuple qu’il revient pour faire le bilan

  du combat de Syriza et solliciter un nouveau mandat

  pour continuer, dans cette situation nouvelle,

  de combattre le talon de fer que les autorités allemandes

  en mandataires de la finance internationale font peser

  sur tout le continent.

  Il s’agit d’une réponse politique aux dirigeants européens

  qui espéraient l’enfermer dans le choix « se soumettre

  ou se démettre », eux qui s’étaient lancés dans un coup

  d’État rampant suscitant une intense campagne

de propagande dans les grands médias qu’ils influencent. Leur rêve ? Convaincre les peuples que, hors de la docilité,

il n’est point de salut. Le scrutin pourrait bien montrer qu’Athènes n’est pas vaincue…

Le rapport de forces continental n’a pas pesé suffisamment durant les interminables négociations

des derniers mois pour faire fléchir les intégristes de la dette. Mais ce combat a imprégné les opinions

publiques et la montée de Jeremy Corbyn au Royaume-Uni témoigne d’un courant grandissant. Des confluences

s’amorcent, des énergies se réveillent.

La fête de la Rose de Frangy en est un témoin. En un an, Arnaud Montebourg, qui s’était pourtant accommodé

du pacte de responsabilité, accompagne ce mouvement et, choisissant d’y inviter Yanis Varoufakis, l’ancien ministre

des Finances grec, il sort de sa passion pour l’ameublement. Certains de ses « amis » ne s’y sont pas trompés.

Quel que soit le jugement de son invité sur le choix d’Alexis Tsipras et de la majorité de Syriza, l’afflux de nouvelles

forces atteste que le débat n’est pas clos.

 

Cette mobilisation prendra encore de l’ampleur à la Fête de l’Humanité, avec notamment le forum

européen qui se déroulera dans son agora. La Courneuve sera le porte-voix de ceux qui ne se résignent pas

à laisser l’Europe dans les mains des banquiers.

 

 

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Grèce : les « frondeurs » de Syriza font sécession

Posté par communistefeigniesunblogfr le 21 août 2015

 

Grèce: une partie de Syriza fait sécession avant les élections

 

CapturePanagiotis Lafazanis

  Ce nouveau parti s’appellera « Unité populaire » et sera dirigé

  par l’ancien ministre de l’Énergie Panagiotis Lafazanis.

  Un nouveau groupe parlementaire du même nom a été créé

  ce vendredi et compte 25 députés.

  Au moins 25 députés sur les 149 de Syriza ont annoncé vendredi

  leur intention de former un groupe parlementaire nommé « Union populaire ».

  Il est dirigé par l’intransigeant Panagiotis Lafazanis, 63 ans, ex-ministre

  de l’Environnement et de l’Énergie qui a perdu son portefeuille

  lors d’un remaniement ministériel en juillet après s’être opposé

 

avec d’autres députés de Syriza à l’accord passé entre Athènes et l’UE sur une nouvelle aide de 86 milliards

d’euros sur trois ans, accompagnée par un train de mesures d’austérité. Il avait alors accusé Alexis Tsipras

« de trahir » la ligne de Syriza et de céder devant les pressions des créanciers, UE et FMI.

Avec 25 députés, cette nouvelle formation sera la troisième en importance de la Vouli, (..)

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Peter Mertens : Treize thèses sur le Diktat de Bruxelles, la Grèce et l’avenir de l’Europe

Posté par communistefeigniesunblogfr le 10 août 2015

 

Treize thèses sur le Diktat de Bruxelles, la Grèce et l’avenir de l’Europe

 

CapturePeterMertens

 

 

  Deux semaines après le Diktat de Bruxelles,

  il est temps de faire un bilan provisoire.

  C’est ce que fait Peter Mertens dans un article

  paru sur le site dewereldmorgen.be

  qu’on peut lire comme une mise à jour

  du chapitre « Grèce » de son livre

  « Comment osent-ils ? ».

 

 

Peter Mertens résume la situation en treize thèses, avec une critique sévère de la prise de pouvoir

allemande sur la zone euro, préparée depuis 2011. Mais il termine sur une note optimiste :

« L’expérience grecque a fait réfléchir des millions d’Européens, et ça, c’est une chose positive. »

 

1. Le Diktat de Bruxelles va revenir comme un boomerang sur la zone euro

 

Le Diktat de Bruxelles du 12 juillet, par lequel le gouvernement grec a été crucifié après 17 heures de négociations,

n’a rien résolu. À part le social-démocrate Jeroen Dijsselbloem, ministre des Finances des Pays-Bas,

et le séparatiste repenti, Johan Van Overtveldt (N-VA), ministre des Finances de Belgique, personne en Europe

n’en doute.

« L’euro ne s’est jamais porté aussi bien1 », a déclaré Jeroen Dijsselbloem le 14 juillet à la chaîne d’information

néerlandaise NOS. Dijsselbloem est président de l’Eurogroupe, les ministres des Finances de la zone euro.

Sa déclaration est surréaliste, mais une telle vanité peut se payer cher, même pour des sociaux-démocrates

néerlandais. Tôt ou tard, le Diktat de Bruxelles reviendra comme un boomerang frapper au visage de ceux qui l’ont

conçu. Le Diktat ne résout rien aux inégalités structurelles inscrites dans la zone euro depuis le début. Il ne résout

rien à l’insupportable crise de la dette qui en découle ici. Il ne résout rien aux déséquilibres structurels en Europe

et aux hémorragies internes dont souffre le continent. Et enfin, la situation sans issue de la Grèce n’est en rien

améliorée. Le Diktat de Bruxelles n’est qu’une couverture posée sur un feu de forêt. Tôt ou tard, la couverture

aussi prendra feu.

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Europe : Mea Culpa (Jean Ortiz)

Posté par communistefeigniesunblogfr le 10 août 2015

Chroniques Latines

Europe : Mea Culpa

 

Par Jean Ortiz – 7 août 2015

CaptureEurope3

  « L’UE est devenue, selon Maastricht et consorts,

  une machine de guerre contre précisément

  l’indépendance et la souveraineté des pays et des hommes. »

  Longtemps j’ai cru que pour changer les choses il vaut mieux être

  dedans que dehors, ne pas laisser la chaise vide…

  Longtemps j’ai cru que l’on pourrait peut être un jour changer

  de l’intérieur cette Europe du pognon, cette création à mes yeux

  artificielle, qui entend mettre au pas pour l’éternité et sous la botte

  allemande et de la finance, les peuples, sommés de comprendre

  que hors du néolibéralisme : point de salut. Et qu’ils se le mettent

bien dans la tête : il n’y a pas d’alternative ! Soumission et  résignation. Et  qu’ils passent sous les fourches

caudines « d’experts », de « technocrates » non élus, de traités et pactes liberticides, sinon toute tête dissidente,

comme celle de Tsipras, sera tranchée et brandie comme un trophée, écrit Ignacio Ramonet dans le « Diplo »

édition espagnole. Avertissement à tous ceux qui voudraient un changement : la BCE, le FMI, l’UE, l’OMC …

remplacent désormais les « marines », les « G’Is », l’armée allemande.

L’occupation de la Grèce par la chancelière allemande (cela fait froid dans le dos), par le FMI, l’UE et la BCE,

le traumatisme ressenti par tous les militants de gauche, m’ont interpellé(comme l’on dit). La défaite ô combien

douloureuse, l’humiliation publique, le quasi lynchage d’un dirigeant porté par son peuple, la violence, la brutalité

de la fondée de pouvoir des banques et des « trusts » allemands, m’ont beaucoup secoué.

Dans cette Europe allemande et de la BCE, nous nous trouvons pieds et poings liés, la démocratie n’y est

qu’un alibi, une feuille de vigne et les droits des peuples : du vent.

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Pierre Laurent : invité politique de Christophe Bordet sur Sud Radio.

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 juillet 2015

 

La France « n’a pas joué le rôle qu’elle devait jouer » dans la crise grecque

 

CaptureP.LaurentSénat

  Le secrétaire national du PCF, a estimé vendredi

  que la France n’avait « pas joué le rôle qu’elle devait jouer »

  dans la crise grecque, et souhaité qu’elle s’engage

  « en faveur du rééchelonnement et de l’allègement de la dette ».

  « La France n’a pas joué le rôle qu’elle devait jouer. Elle a pendant

  cinq mois laissé les Grecs seuls face au chantage des créanciers

  et de l’Allemagne, elle est rentrée très tardivement dans le débat,

  c’est vrai en jouant un rôle pour éviter le Grexit, mais en laissant

  l’Allemagne dicter toutes ses conditions », a affirmé Pierre Laurent,

  qui était l’invité ce matin de Christophe Bordet sur Sud Radio.

 

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« La BCE a déstabilisé l’économie pour soumettre la Grèce aux exigences des créanciers » (Eric Toussaint)

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 juillet 2015

humanite.fr

 

Eric Toussaint :

« La BCE a déstabilisé l’économie pour soumettre la Grèce

aux exigences des créanciers »

 

Entretien réalisé par 
Rosa Moussaoui – l’Humanité – 17 juillet 2015

Captureérictoussaint

 

 

  Maître de conférences à l’université de Liège,

  porte-parole du Comité pour l’annulation

  de la dette du tiers-monde (CADTM),

  Éric Toussaint est le coordinateur scientifique

  de la Commission pour la vérité sur la dette grecque.

 

 

 

 

Athènes, envoyée spéciale.

Avons-nous assisté ces dernières semaines, à Athènes, à un coup d’État financier, comme l’affirment

de nombreux observateurs, en Grèce et à l’étranger ?

Éric Toussaint Oui et non. Ce qui était décisif ici tenait à des décisions politiques, prises par des instances

politiques complices, bien sûr, des intérêts financiers. Ce n’est pas un coup d’État mené directement

par la finance, mais par les institutions, la Commission européenne, les chefs d’État

et de gouvernement des pays de la zone euro. L’Allemagne n’est pas seule impliquée. Il est clair que

l’Espagnol Mariano Rajoy ou le Portugais Pedro Passos Coelho, sans parler des gouvernements finlandais

ou letton, dévoués aux politiques néolibérales, tenaient à démontrer à leurs peuples respectifs que l’option

présentée aux Grecs et aux peuples d’Europe par Syriza ne pouvait pas fonctionner. Il s’agit donc bien

de décisions d’abord politiques.

Il est clair que les grandes banques privées, les multinationales voulaient aussi obtenir la démonstration

qu’il est impossible de tourner le dos à l’austérité. Mais il faut rappeler que les principaux créanciers de la Grèce

sont aujourd’hui des créanciers publics. Les banques ne sont plus aux premières loges, elles l’étaient jusqu’en 2012,

avant de se défaire des créances qu’elles détenaient. La restructuration de la dette en 2012 leur a permis

de s’en tirer à bon compte. Aujourd’hui, la Commission européenne, la Banque centrale européenne et les États

de la zone euro veulent absolument, en dépit de l’échec des politiques économiques imposées à la Grèce,

que le pays reste sur les rails du néolibéralisme. Le FMI aussi, bien entendu, qui est aussi une instance politique.

Alexis Tsipras espérait, en contrepartie de sa capitulation sur les politiques d’austérité, obtenir

des engagements sur un allégement de la dette. Les créanciers, eux, concèdent tout juste l’ouverture

en 2015 d’une discussion sur un éventuel réaménagement de la dette à partir de 2022.

Pourquoi cette intransigeance, alors que le FMI lui-même juge désormais la dette insoutenable ?

Éric Toussaint À mon avis, il pourrait y avoir une restructuration de la dette avant 2022. Les créanciers disent

« pas avant 2022 » parce qu’ils savent que ce plan ne va pas fonctionner, que le paiement de la dette sera

insoutenable. Ils la restructureront, cette dette. Mais en conditionnant cette restructuration à la poursuite

de réformes néolibérales. La dette est un moyen de chantage, un instrument de domination.

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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L’Édito de l’Humanité : Londres, Addis-Abeba, Athènes…

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 juillet 2015

 

Vers une dictature mondiale orchestrée par une poignée d’oligarques ?

 

Capturel'huma21713

L’éditorial de Patrick Apel-Muller.

 

David Cameron, le très conservateur premier ministre

britannique, a décidé d’aller plus loin encore

que Margaret Thatcher pour interdire le droit de grève.

Le projet de loi qu’il va présenter aux Communes veut

imposer, en préalable à tout mouvement, un scrutin

avec au moins 50 % de salariés participants

et une majorité absolue. Dans certains secteurs (santé,

éducation, énergie, transports, pompiers ou sécurité

aux frontières), il faudra même que les bulletins

favorables soient supérieurs à 40 % des inscrits.

Le recours aux « jaunes », des intérimaires embauchés

pour casser les grèves, sera également autorisé.

 

 

Il s’agit purement et simplement de liquider les syndicats en les réduisant à une fonction de témoignages.

Vous avez dit démocratie ?

À Addis Abeba, les pays riches ont imposé aux pays du Sud, lors d’une conférence sur le financement

du développement, de renoncer à la création d’un organisme de lutte contre l’évasion fiscale sous l’égide de l’ONU.

Sans doute ont-ils estimé qu’en installant M. Juncker à la tête de la Commission européenne, ils avaient choisi

un spécialiste à qui rien n’échappe en la matière. À leurs yeux, rien ne doit entraver la marche

des multinationales, surtout pas une instance internationale qui pourrait provoquer un effet de loupe

sur des pratiques qui ruinent des États. Ces deux événements advenus aux antipodes méritent d’être

rapprochés du sort fait à la Grèce. L’ordre libéral piétine la démocratie, les biens communs et le droit

des salariés à se défendre, pour mettre les peuples en coupe réglée. Pour cela, il faut détruire les grands

principes qu’on servait aux citoyens et remplacer les institutions sur lesquelles ils ont prise, comme la justice

de service public, par des tribunaux arbitraux dévoués à la loi du plus fort. C’est ce qui sous-tend le traité

transatlantique.

La crise sur la dette grecque a mis en relief la violence inouïe des oligarques. Elle a aussi déchiré

des illusions et dessillé des yeux. Athènes, blessée, continue de résister. D’autres allumeront

leurs flambeaux à sa flamme.

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Grèce : le coup d’État de l’Union européenne

Posté par communistefeigniesunblogfr le 16 juillet 2015

 

CaptureGréce14

 

Cliquer sur l’image pour lire le tract.

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Grèce : Yanis Varoufakis décrypte le texte imposé par l’Eurogroupe

Posté par communistefeigniesunblogfr le 16 juillet 2015

 

Yanis Varoufakis met en lumière les appétits des liquidateurs de la Grèce

 

CaptureYanisVaroufakis

 

  L’ex-ministre des finances grec, qui a rejeté l’accord à la Vouli

  hier soir, décrypte sur son blog les implications concrètes

  de chaque point du texte imposé par l’Eurogroupe.

  A travers ses remarques, l’économiste révèle les desseins

  prédateurs des bailleurs de la troïka. Il montre comment l’accord

  ouvre un boulevard à ceux qui ont pour projet de faire de la Grèce

  un paradis social et fiscal pour les entreprises transnationales

  qui convoitent des pans entiers du patrimoine industriel

  et des secteurs vitaux dont la privatisation est exigée.

 

 

A quelques heures du vote du Parlement sur l’accord du 13 juillet, Yanis Varoufakis, pour qui la démission,

n’est pas synonyme de mutisme, a publié une version intégrale du texte, avec ses remarques et annotations (en gras).

Loin du « plan de sauvetage », ce texte qui porte une lourde atteinte à la souveraineté du gouvernement grec,

constitue un coup d’arrêt à toute tentative de relance économique et éloigne encore davantage la résorption de

la crise humanitaire grecque.
(lire la version originale en anglais)

 

Quelques extraits :

 

Capturecharognards

 

• En ce qui concerne les marchés de l’énergie, procéder

  à la privatisation de l’opérateur du réseau de distribution

  d’électricité (ADMIE), à moins que l’on puisse trouver

  des mesures de remplacement ayant un effet équivalent

  sur la concurrence, comme convenu par les institutions

  [ADMIE sera liquidé au profit d’intérêts particuliers

  étrangers sous commandement des institutions];

 

 

Capturegrèce13

    • En ce qui concerne le marché du travail,

  entreprendre un réexamen rigoureux et une modernisation

  des négociations collectives [s’assurer qu’aucune

  négociation collective n’est possible], de l’action syndicale

  [qui doit être interdite] et, conformément à la directive

  pertinente de l’UE et aux bonnes pratiques,

  des procédures de licenciement collectif

[qui doivent être soumises aux caprices des employeurs], selon le calendrier et l’approche

convenus avec les institutions [c’est la troïka qui décide].

Sur la base de ces réexamens, les politiques du marché du travail devraient être alignées sur les meilleures

pratiques internationales et européennes, sans que cela se traduise par un retour aux politiques

antérieures qui ne sont pas compatibles avec les objectifs de croissance durable et inclusive

[il ne doit exister aucun mécanisme permettant aux salariés d’obtenir de meilleures

conditions des employeurs];

[..]

 

charb-grece

• Conformément aux ambitions du gouvernement

  grec, moderniser et considérablement renforcer

  l’administration publique grecque, et mettre en place,

  sous l’égide de la Commission européenne,

  un programme de renforcement des capacités

  et de dépolitisation de l’administration publique grecque

  [faire de la Grèce une zone sans démocratie

sur le modèle de Bruxelles, une forme de

gouvernement soi-disant technocratique, politiquement

toxique et macro-économiquement inepte].

Une première proposition devrait être présentée

d’ici le 20 juillet après discussion avec les institutions.

Le gouvernement grec s’engage à réduire encore

les coûts de l’administration publique grecque [diminuer les bas salaires tout en augmentant

légèrement les salaires des quelques apparatchiks proches de la troïka], conformément

à un calendrier convenu avec les institutions;

[Article complet sur humanite.fr]

 

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André Chassaigne « Invité du matin » sur RFi

Posté par communistefeigniesunblogfr le 16 juillet 2015

 

Captureandréchassaignerfi

 

André Chassaigne revient sur le vote du plan

d’aide à la Grèce au Parlement français

et la validation par le Parlement grec.

 

 

 

A écouter sur : http://www.rfi.fr/emission/20150717-andre-chassaigne-depute-communiste-puy-dome-politique/?aef_campaign_date=2015-07-17&aef_campaign_ref=partage_user&ns_campaign=reseaux_sociaux&ns_linkname=emission&ns_mchannel=social&ns_source=FB

 

 

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