Taxe carbone…

Posté par communistefeigniesunblogfr le 7 août 2009

   

TAXE CARBONE…

  
Inefficace pour l’écologie… Injuste pour les citoyen-nes !

L’avenir de la planète est une chose trop sérieuse pour le laisser dans les mains du gouvernement Sarkozy.

… On aurait pu penser que, pour lutter contre l’effet de serre et le réchauffement climatique, une mobilisation de moyens humains et financiers, dévoués à la recherche par exemple, serait décrétée.

Pas du tout ! Michel Rocard mrocard.jpg, ancien Premier ministre socialiste, a rendu le rapport demandé par François Fillon et propose un nouvel impôt, « la taxe carbone », visant, selon ses mots «à dissuader les consommations énergétiques excessives».

En langage clair :

Taxe carbone... dans Environnement Caisse-enregistreuses-1300 euros annuels supplémentaires pour le seul chauffage par ménage,
7 à 8 centimes d’augmentation de l’essence au litre,
15% d’augmentation prévisible du prix du gaz…

pdf dans Politique nationale taxecarbone.pdf

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Grenelle de l’environnement

Posté par communistefeigniesunblogfr le 7 août 2009

Lu sur PCF Maubeuge

Après le projet Taxe carbone…

Un autre projet “prétexte” à nous faire mettre la main à la poche…

Sur Le Télégramme.com 5 aout 2009 :

Travaux. Les locataires participeront

Les locataires devront participer au financement des travaux d’économie d’énergie réalisés dans leur immeuble via un forfait supplémentaire de loyer. Une contribution issue du Grenelle de l’Environnement qui ne fait pas l’unanimité.

Le propriétaire de votre immeuble remplace la vieillissante chaudière par une pompe à chaleur beaucoup moins énergivore. Qui doit payer la facture? À cette question, le Grenelle de l’Environnement a répondu par ce principe : les locataires, profitant au travers de la baisse des charges des économies d’énergie, doivent contribuer au financement des travaux….
Concrètement, le propriétaire pourra faire figurer sur la quittance de loyer un forfait supplémentaire de 20euros par mois ou un montant qui ne pourra excéder la moitié des économies de charges réalisées suite à ces travaux

Article Le Télégramme.com, ICI

 

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Bolloré au Cameroun, un bilan en images

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 juin 2009

Vu sur : blog.mondediplo.net/2009-06-16-

Dans le numéro d’avril du Monde diplomatique était publié « Les guerres africaines de Vincent Bolloré » et sur le site, au même moment, « Port, rail, plantations : le triste bilan de Bolloré au Cameroun ».

Thomas Deltombe y décortiquait la présence de l’industriel Bolloré en Afrique et notamment au Cameroun. La photographe Isabelle Alexandra Ricq*, avec la journaliste Nomba Danielle, ont rencontré les laissés-pour-compte et les bénéficiaires de l’un des théâtres d’opérations camerounais de Bolloré. Voici leur reportage, deuxième partie d’un travail photographique, intitulé « The men who sold the world » (Les hommes qui ont vendu le monde), commencé en Indonésie sous le titre « Détruire ». Ce second volet s’appelle « Soumettre ».

Suite de l’article du Monde diplomatique : ICI Cliquer sur les photos et afficher les légendes.

* Voir l’interview d’Isabelle Ricq sur :

http://www.lonelyplanet.fr :

Bolloré au Cameroun, un bilan en images dans AFRIQUE isabelle

 

Quand l’huile de palme détruit les forêts d’Indonésie

 

site d’Isabelle Ricq

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Au coeur des grands groupes européens de l’agroalimentaire

Posté par communistefeigniesunblogfr le 16 juin 2009

Notre pain quotidien

un film de Nikolaus Geyrhalter  

Notre pain quotidien, conditions de tournage... 

Des conditions de tournage particulières… 

Photo ©KMBO

Reportage choc sur une civilisation barbare

De même que certains spots télévisés de la sécurité routière nous atteignent et nous donnent la sensation d’éprouver un accident dans notre chair,  » Notre pain quotidien  » nous entraîne sur les mêmes voies, dans le domaine de l’alimentation, par la variété et la qualité filmographiques des séquences.

Premier constat à l’issue de la projection : on n’élève plus les animaux pour nous fournir de la nourriture, on les cultive comme des tomates et des courgettes hors sol. Et il en faut des bestiaux pour nourrir les humains !

Autre particularité de ce film : il est muet. Comprenez qu’aucun commentaire ne vient éclairer votre cerveau de spectateur, aucun sous-titre, aucune carte pour vous permettre de localiser les scènes.
Vous voici travailleur-boucher-bourreau découpant en deux parties bien égales un corps de ruminant, « éleveur » de volailles poussant à coups de pied les volatiles récalcitrants qui refusent de se laisser « avaler » par un énorme et bruyant « balai brosse », ou femme aux grosses pinces chargée de couper les pieds des porcs morts qui passent par centaines tous les jours devant vous… et que dire du sperme volé aux taureaux reproducteurs, de l’insémination artificielle des truies… triste bonheur des industriels et de la civilisation productiviste !

La suite sur : http://www.waternunc.com/fr2007/notre_pain_quotidien_critique.htm

Voir le film (1 h 32) : http://www.viddler.com/explore/Belphi/videos/54

 

 

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Grenelle de l’environnement : le bilan du gouvernement est bien moins vert qu’il ne le prétend !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 9 juin 2009

Communiqué de presse Amis de la Terre, Réseau Action Climat et CLER

Grenelle 1 : Le vote de la dernière chance !

Paris, le 8 juin 2009

Le texte de loi « Grenelle 1 » passe en deuxième lecture à l’Assemblée nationale demain. Concernant la rénovation du parc de logements, certaines avancées du texte de loi ne peuvent pas cacher de graves manquements. Les Amis de la Terre, le Comité de Liaison Énergies Renouvelables et le Réseau Action Climat demandent donc aux parlementaires de ne pas voter le texte de loi tel quel mais de l’amender pour l’améliorer. Après la poussée d’Europe Écologie, les parlementaires doivent prendre en compte les préoccupations environnementales de l’électorat français, qui peuvent aussi fournir des solutions face à la crise.

Depuis le début des discussions autour du « Grenelle », le secteur du bâtiment a été identifié par l’ensemble des parties prenantes comme prioritaire. Or, après un passage à l’Assemblée nationale puis au Sénat, les articles de la loi « Grenelle 1 » concernant le bâtiment restent bien en deçà de l’enjeu. L’erreur la plus frappante concerne la rénovation du logement social (article 5, alinéa 5) pour laquelle le seuil de 150 kWh/m²/an a été voté. Or, « Pour atteindre le facteur 4 à 5 en France, nous savons que les rénovations doivent être faites à hauteur de 80 kWh/m²/an en moyenne », précise Cyrielle den Hartigh, des Amis de la Terre. « Si cet objectif de 150 kWh/m²/an, deux fois trop élevé, reste inscrit dans la loi, préparons-nous à tout recommencer dans 10 ans. C’est une aberration du point de vue économique, mais c’est aussi une injustice du point de vue social ! »

Les Amis de la Terre restent également très vigilants en ce qui concerne l’article 4 et la modulation du seuil de 50 kWh/m²/an, bien que le ministre d’État Jean-Louis Borloo se soit engagé à ce que cette modulation reste minime. Cette modulation favorise le chauffage électrique, donc l’énergie nucléaire mais aussi les énergies fossiles des centrales thermiques françaises et étrangères pendant les pics de consommation. La question du chauffage électrique est loin d’être anodine : alors que son rendement est le plus médiocre comparé aux autres énergies, il bénéficie d’un développement massif en France. Marc Jedliczka, du Comité de Liaison Énergies Renouvelables, développe : «  C’est un choix qui précipite les ménages modestes vers davantage de précarité. Il est cynique aujourd’hui de continuer à défendre ce mode de chauffage aberrant et au coût exorbitant, envers et contre tout défendu par le gang des grille-pain – les lobbyistes des énergéticiens et fabricants d’appareils électriques. »

D’énormes inquiétudes demeurent également dans le secteur des transports. Gros dossier : celui des infrastructures. La priorité doit aller aux alternatives à la route (rail, voies d’eau) et pourtant le texte de loi actuel affiche une volonté de construire « dans les meilleurs délais » de nombreux projets autoroutiers. « Cette disposition introduite par sénateurs va à l’encontre de l’esprit et des engagements du Grenelle qui n’envisage la réalisation de routes et autoroutes que comme ultime recours. C’est un véritable non sens ! » conteste Olivier Louchard, directeur du Réseau Action Climat. « Il est tout simplement essentiel que les députés suppriment cette disposition, d’autant plus que tous les projets d’infrastructures doivent être évalués dans le courant de l’année pour établir un nouveau schéma national d’infrastructures de transport. »

Contact presse : Caroline Prak – Tél : 01 48 51 18 96 – 06 86 41 53 43

Pour visualiser la pièce jointe : http://www.datapressepremium.com/rmdiff/CP_8juin2009_Grenelle2.pdf

 

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Turquie : manifestations contre le Forum mondial sur l’eau

Posté par communistefeigniesunblogfr le 19 mars 2009

 Lu sur
http://observers.france24.com/fr/content/20090317-forum-mondial-istanbul-faut-privatiser-eau   (extrait)

Forum mondial à Istanbul : faut-il « privatiser l’eau »?

Turquie : manifestations contre le Forum mondial sur l'eau dans Environnement 273630_l

Pourquoi manifester contre un sommet qui s’attèle au problème du gaspillage de l’eau sur la planète ?  Parce que, pour certains, ce sommet donne trop d’influence à ceux qui, dans un contexte de pénurie, veulent faire de l’eau un produit marchand.

Plusieurs centaines de manifestants ont déboulé dans les rues de la capitale turque pour dénoncer les dérives possibles de ce sommet. Leur slogan : « L’eau n’est pas à vendre« . Plusieurs organisations ont également pris position contre le Forum. Corporate Europe Observatory l’accuse de vouloir « privatiser l’eau » ; International Rivers de favoriser la construction de grandes infrastructures (barrages, etc.) néfastes pour l’environnement. 

Des manifestants ont affronté la police hier

Voir la vidéo sur le site

La police turque a essayé de les tenir à distance en utilisant des canons… à eau !!! Une quinzaine d’entre eux ont été interpellés. Plusieurs ont été expulsés.

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L’eau – Un droit humain et plus encore

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 mars 2009

L'eau - Un droit humain et plus encore dans Environnement 273629_l

Extrait d’une contribution présentée en juin 2007 à l’université de Zurich lors du colloque

 

« L’eau et l’avenir de l’humanité ».

 

Source :

http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=276

Horizons et Débats (Zurich / Suisse) – Journal favorisant la pensée indépendante, l’éthique et la responsabilité
pour le respect et la promotion du droit international, du droit humanitaire et des droits humains

Les ressources deviennent rares

Là où l’eau manque, la faim, la pauvreté et les maladies augmentent, les déserts s’étendent, les jardins dessèchent, les gens doivent s’enfuir. Des émeutes sociales, des tensions et des conflits sont les conséquences de la concurrence qui s’aggrave autour de ce bien rare. Quand on thématise la pénurie des ressources, c’est l’eau qui vient en premier lieu. Celui qui a l’eau, a le pouvoir.
Des ressources qui se raréfient et la dégradation de l’environnement font sans doute partie des défis de la politique de sécurité de l’avenir. [...]

Celui qui utilise l’eau comme une arme viole le droit international

Autrement dit : à l’avenir, la politique du développement doit être comprise plus fortement comme une politique de sécurité préventive. La politique du climat et celle de l’énergie sont les instruments les plus importants de la prévention de crises et du maintien de la paix. [...]

Le droit humanitaire doit protéger avant tout la population civile lors de conflits armés. Pour la survie des personnes protégées les conditions de l’existence doivent être assurées. L’eau en fait partie. [...]

Celui qui utilise l’eau comme une arme ou qui met en jeu l’existence d’un État en détériorant sans gêne ses eaux agit contre le droit international.

[...] l’eau a depuis toujours été utilisée pour mener la guerre et  – malgré le droit international – cela se fait toujours.

Des conflits autour de l’eau sont souvent d’une grande portée et durent longtemps. L’exemple le plus récent dans lequel notre pays (la Suisse) est impliqué est le barrage d’Ilisu au bord du Tigre en Turquie. Il sera construit entre autres «grâce» à une garantie contre les risques à l’exportation de la Suisse. L’approvisionnement en eau en Syrie et en Irak sera sensiblement touché par ce projet. En Turquie, plus de 100 000 personnes devront être déplacées de force et l’un des sites archéologiques les plus anciens de l’humanité, la petite ville de Hasankeyf, sera noyée dans le réservoir du barrage.

«Pas d’eau – pas d’avenir»

Avoir suffisamment d’eau propre pour tous les hommes de cette terre – pas «seulement» dans le camp de réfugiés –, c’est une des tâches les plus importantes à laquelle la communauté internationale se voit confrontée dans ce siècle. Ou, comme Kofi Annan l’a formulé encore une fois avec insistance peu avant sa démission comme Secrétaire général de l’ONU :  «La crise universelle de l’eau est devenue le grand défi pour la communauté internationale». Le programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) a ajouté : «La crise de l’eau douce a les mêmes dimensions et le même potentiel de menace que le changement du climat.» En d’autres termes : l’eau est devenue pour l’humanité la question cruciale. «Pas d’eau – pas d’avenir», c’est la conclusion de Kofi Annan. [...]

Comme premier objectif du Millénaire, la communauté internationale s’est engagée à diminuer de 50% – jusqu’en 2015 – le nombre de personnes qui vivent dans la plus grande pauvreté, le nombre des affamés et le nombre des personnes sans accès à l’eau et aux installations sanitaires minimes. C’est un fait incontesté que sans atteindre l’objectif de l’eau, les autres objectifs du Millénaire ne peuvent pas non plus être atteints. Etre pauvre veut aussi dire être pauvre en eau, veut dire l’accès manquant aux ressources naturelles. Pas d’eau propre veut dire haute mortalité enfantine. D’après le Fonds des Nations Unies pour l’enfance UNICEF chaque année 1,8 millions d’enfants meurent à cause de maladies dues à l’eau.

[...]

 

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Notre planète : « Où l’eau finit, le monde prend fin » proverbe ouzbek

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 mars 2009

 

5e Forum mondial de l’eau

du 16 au 22 mars à Istanbul

 

Lu dans l’Humanité du 16 mars

Crise majeure sur l’or bleu

 

Le 5e Forum mondial de l’eau s’ouvre aujourd’hui à Istanbul. L’ONU avance une perspective alarmante : 5 milliards d’êtres humains pourraient manquer d’eau en 2030.

Ce n’est plus une crainte, c’est une alarme. Alors que s’ouvre ce matin, à Istanbul, le 5e Forum mondial de l’eau, organisé par le Conseil mondial de l’eau (lire ci-après), l’ONU présentait, jeudi, un rapport sans appel. Nos besoins en eau augmentent plus vite que les pays ne sont en mesure d’en fournir actuellement. Croissance démographique, évolution des modes de consommation alimentaires et besoins énergétiques : à moins de mesures conséquentes, l’étude estime à plus de 5 milliards – 67 % de la population mondiale -, le nombre de personnes qui ne disposeront pas d’un accès à des installations sanitaires décentes en 2030.

États des lieux :  des inégalités persistantes

Concernant l’accès à l’eau potable, le rapport note des progrès, qui n’en rendent les inégalités que plus cinglantes. Les tendances suggèrent que 90 % des objectifs du millénaire fixés pour 2015 seront atteints à échéance. Un chiffre qui laisse de côté 340 millions d’Africains. Sans surprise, les plus pauvres sont les plus touchés : le nombre des personnes vivant avec moins de 1,25 dollar par jour coïncide avec le nombre de celles qui n’ont pas accès à une eau potable salubre. La situation se gâte encore concernant l’assainissement. Pour la seule Afrique, 500 millions de personnes n’ont toujours pas accès à des installations décentes. Les conséquences sont majeures, quand 5 000 enfants meurent chaque jour de diarrhées, soit un toutes les 17 secondes.

Perspectives :  des pressions sur la demande

Depuis cinquante ans, les prélèvements en eau douce ont triplé et les zones irriguées ont doublé. Un phénomène de fond, notamment lié à la croissance de la population mondiale. Actuellement de 6,8 milliards de personnes, celle-ci augmente chaque année de 80 millions de personnes, et devrait dépasser les 9 milliards d’ici à 2050 (1). Cela se traduit par une demande accrue de 64 milliards de mètres cubes d’eau par an. Or, 90 % des personnes à naître vivront dans les pays où l’accès à l’eau est déjà restreint, souligne le texte. En outre, pour être encore incertains, les changements climatiques pourraient avoir des répercussions tant sur la quantité que sur la qualité de l’eau et affecter, là encore, les régions du monde déjà en souffrance. L’impact pourrait être décisif, entre autres sur les migrations. L’étude estime que de 24 millions à 700 millions de personnes pourraient être forcées de migrer pour des raisons liées à l’eau.

Consommation :  qu’est-ce qui pompe ?

L’agriculture se révèle le secteur le plus gourmand en eau, puisqu’il représente à lui seul 70 % de l’ensemble de la consommation, contre 20 % pour l’industrie et 10 % pour les besoins domestiques. D’autant que les nouveaux modes alimentaires se traduisent par une plus forte demande en viande et en produits laitiers, notamment dans les pays émergents qui en manquaient jusqu’alors. Or la production de boeuf nécessite deux à quatre fois plus d’eau que la production de céréales. Les exigences énergétiques se développent elles aussi à un rythme accéléré : les besoins en eau de la production hydroélectrique devraient ainsi augmenter de 60 % d’ici à 2030.

Les préconisations :  investir dans l’eau

Le développement des ressources en eau est un élément clé pour le développement économique et social des pays, souligne le texte. Améliorer l’accès à l’eau se révèle profitable pour le PIB. L’inverse lui coûte : ainsi, les pertes du continent africain consécutives à ce manque sont estimées à plus de 28 milliards de dollars par an, soit 5 % de son PIB. Les pays riches ne sont pas les seuls à devoir investir dans l’eau, insiste donc le rapport, qui souligne la nécessité de développer les partenariats entre les gouvernements, le secteur privé et la société civile. Leur logique sera-t-elle marchande ou coopérative ? De la réponse dépend l’avenir de 5 milliards de personnes.

(1) Selon les calculs renouvelés publiés le 10 mars par l’ONU.

Marie-Noëlle Bertrand

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