Intermittents : Des députés et des sénateurs PCF-Front de Gauche interpellent le ministre du Travail

Posté par communistefeigniesunblogfr le 22 mai 2014

 

Intermittents :

M. Demessine et E. Bocquet interpellent le ministre du Travail

 

Captureericbocquetmichelle demessine

  Ci-dessous en PDF le courrier que Michelle Demessine,

  sénatrice du Nord, et Eric Bocquet, sénateur-maire de Marquillies,

  adressent à Monsieur François Rebsamen, Ministre du Travail,

  concernant l’accord Unédic du 22 mars dernier sur le régime

  d’assurance chômage des intermittents du spectacle.

Ils appellent le ministre à ne pas « agréer cet accord qui fait la part belle aux revendications du Médef pour permettre

d’envisager des réformes alternatives et constructives sur d’autres bases que celles d’une précarisation accrue

des intermittents du spectacle ».

Document à télécharger :  le_courrier_a_francois_rebsamen.doc

vu sur humanite.fr  – 22 mai 2014

 

Jacqueline Fraysse, Députée Front de Gauche des Hauts-de-Seine,

demande à François Rebsamen de ne pas ratifier l’accord du 22 mars

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Députés du Front de gauche

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L’or qui brille a un passé sombre

Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 mai 2014

 

L’or qui brille a un passé sombre

 

Le magazine « Spécial Investigation » révèle la face terrible du marché de l’or.


Une enquête signée Jérôme Sesquin et Gilles Labarthe.

« Or sale : enquête sur un scandale mondial ». Canal Plus, 22 h 55.

 

CaptureOrsale

  Après les diamants du sang, voici donc l’or sale. Le métal précieux a lui aussi

  une face terriblement sombre. C’est ce qui ressort de l’enquête réalisée

  par Jérôme Sesquin et Gilles Labarthe.

  Dans leur film « Or sale : enquête sur un scandale mondial », ils reconstituent

  un puzzle sinistre et dévoilent les dessous du marché de l’or.

Se pose d’emblée la question de la provenance de l’or.

Direction le Pérou et la région de Madre de Dios où 40 000 mineurs poursuivent leur rêve de fortune au détriment de toutes règles de sécurité et considérations environnementales. Des villes sans nom poussent comme des champignons pour accueillir les orpailleurs. N’y règne que la loi du plus fort, de sinistres trafics y prospèrent comme la prostitution de mineurs. Un business juteux au profit d’une femme « la reina del oro » qui contrôle la totalité de cet or illégal intégralement exporté vers la Suisse.

De l’autre côté de l’océan Atlantique en République démocratique du Congo, c’est pour un dollar par jour que des hommes et des enfants creusent dans des tunnels pour extraire le métal. De l’or qui, bien que frappé par l’embargo décrété par l’ONU car il finance la guerre civile et ses atrocités, se refait une légalité en transitant par l’Ouganda. Avant de prendre la direction des fonderies suisses où, une fois fondu, il sera impossible à distinguer de l’or propre.

« Une opération de blanchiment parfait », constatent les journalistes. Comme depuis le début du XXe siècle, quand les banques suisses ont créé leurs propres fonderies qui ont traité les dents en or des victimes de la Shoah comme l’or provenant des mines d’Afrique du Sud durant l’apartheid en pratiquant, déjà, le contournement d’un embargo. Même négligence, même déni et mêmes conséquences à Dubai (20 % du marché mondial) qui construit la future « plus grande fonderie au monde ». Seul léger signe d’espoir, la timide naissance d’une filière éthique encouragée par quelques grands joailliers sans doute soucieux d’éviter le scandale qui finira par éclater.

Source

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La porte du bonheur n’est pas la porte à droite !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2014

 

Jean Ferrat – La porte à droite

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La manif d’Agnès Bihl, une histoire d’amour qui débute sur une manif…

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mai 2014

 

Fabrice Savel

Agnes Bihl a récolté les images envoyées par plus de 700 internautes pour réaliser

le clip de cette chanson qui raconte une histoire d’amour qui débute sur une manif…

 

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LA MANIF Agnès Bihl

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1er mai littéraire et militant à Arras

Posté par communistefeigniesunblogfr le 29 avril 2014

 

Pour un 1er mai littéraire et militant à Arras :

ça commence maintenant

 

Salon du livre d’expression populaire et de critique sociale,

les temps forts de la 13e édition.

 

Eugénie Barbezat – 25/04/2014

Capturearras

  A l’occasion du salon du livre d’expression populaire

  et de critique sociale, toute la journée du 1er mai,

  la fête sera dans les rues d’Arras : concerts, fanfare,

  performances, impromptus.

  Tout n’est pas indiqué dans le programme, c’est en vous

  promenant, en flânant et en discutant que vous aurez

  des surprises. En avant première le vendredi 25 à 18h

  une rencontre avec Valère Staraselki et, mardi 29,

  la projection du film de Gilles Perret « Les jours heureux »,

  suivie d’un débat.

Le Salon du livre d’expression populaire et de critique sociale se déroule le 1er mai à Arras. Au programme de cette 13e édition, ouverte et close par le « Cri du Beffroi », un appel à la littérature poussé cette année par l’auteur et poète Patrick Varetz du haut de l’édifice typiquement nordiste surplombant la place de la Vacquerie, plusieurs temps forts :

Toute la journée, vous serez susceptibles de croiser, dans les rues de la ville, Trilobeats, un drôle de trio déambulant en habit de lumières  au rythme de percussions alliant découverte musicale et burlesque.

Toujours pour les flâneurs, des bouquinistes auront déployé leurs étals sur les trottoirs, tandis que dès les premières heures de la journée, pour un réveil en douceur, Sophie Boulanger fera la lecture des cinq livres nominés du 10e prix Amila-Merckert, le tout accompagné de viennoiseries pour les premiers auditeurs.

Les enfants ne sont pas oubliés puisqu’un « quartier jeunesse » leur est tout spécialement dédié à l’Hôtel de GuÎnes. Ils pourront, entre autres y assister au spectacle (à 10h30 et 15h30) N’oubliez pas de lui parler de moi, proposé par Amandine Dhée et Saso. Ces deux artistes posent leur regard contemporain sur la « Grande Guerre » (1914-1918). Dans un style qui mêle gravité, humour, candeur et tendresse, elles posent la question du héros et de son droit, ou non à la peur !

Au village de livre, situé sur la place de la Vacquerie, juste derrière l’Hôtel de ville d’Arras, les auteurs d’essais, de BD ou de littérature ont rendez vous avec leurs lecteurs qui auront ainsi l’occasion de mettre un visage sur des mots qui les ont fait réfléchir, rêver ou voyager.

Toute une série de débats se tiendront au cœur du salon durant toute la journée :

- à 15h au Théâtre d’Arras le fondateur de l’Humanité sera à l’Honneur : Charles Sylvestre, auteur de de La victoire de Jean Jaurès et vice président des amis de l’Humanité animera une rencontre intitulée : Jaurès au delà du mythe.

- à 17 h, au même endroit, Monique Pinçon Charlot et Michel Pinçon, deux sociologues pour qui recherche et engagement sont indissociables, tenteront de répondre à cette question : de quoi ont peur les riches ?

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

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La Cour de Babel, de Julie Bertuccelli

Posté par communistefeigniesunblogfr le 12 mars 2014

 

La Cour de Babel.

Une prof en or pour un film qui l’est également

 

CapturelacourdeBabel

  La Cour de Babel, de Julie Bertuccelli. France. 1 h 29.

  La cinéaste a inséré sa caméra parmi le groupe

  composé par une classe d’accueil d’un établissement

  scolaire parisien.

  Ils viennent d’un peu partout, sauf de chez nous, et le français

  n’est pas leur langue maternelle. Ils ont entre onze et quinze

  ans et viennent de faire connaissance entre Brésilien,

  Marocain ou Chinois, Chilien, Libyen ou Ukrainien. Le temps

  d’une année, celle où la caméra de Julie Bertuccelli va

  les suivre et observer leurs réactions, ils cohabitent

  dans la classe d’accueil d’un collège parisien, le collège

  de la Grange-aux-Belles, dans le 11e arrondissement,

quartier populaire quoique dans le centre de la capitale.

 

Peu connues du grand public, ces classes accueillent, du primaire au lycée, des gamins dont leurs parents ont choisi la France comme terre de substitution et d’accueil, les enseignants ayant pour charge de leur faire acquérir une connaissance du français suffisante pour intégrer à terme le cursus classique.

Se concentrant sur le cours de français langue seconde, où tous les élèves sont réunis, le film raconte tout au long de l’année le double apprentissage de la langue et de la vie en commun ainsi que les relations qui se créent entre les élèves et avec leur professeur. Ici, contrairement à bien des idées reçues, ces enfants étrangers ne sont ni une charge ni une cause de problèmes. Cela n’empêche ni les débats ni même éventuellement les accrochages, mais à la question de savoir si l’on peut se comprendre sans parler la même langue, la réalisatrice répond fermement par l’affirmative.

Que l’on vienne d’un pays en guerre ou marqué par des affrontements politiques ou religieux, il existe une fraternité que l’on observe dès la séquence d’ouverture où chaque môme apprend à chaque autre à dire bonjour dans sa langue propre. Utopie ? Peut-être mais l’expérience prouve que certaines de ces classes fonctionnent à la perfection.

La bande annonce :

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« Diplomatie ». Le 24 août 1944… Une journée particulière

Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 mars 2014

 

Cinéma

« Diplomatie ». Le 24 août 1944… Une journée particulière

 

diplomatie

 

  Diplomatie, de Volker Schlöndorff. 

  France-Allemagne. 1 h 24.

  Épatants sur toute la ligne, André Dussollier

  et Niels Arestrup donnent toute sa force

  au texte de la pièce de Cyril Gély. 

 

Le titre ne serait-il pas aux mains d’Ettore Scola, on aurait pu appeler ce film Une journée particulière. Mais ici,

c’est de la nuit du 24 au 25 août 1944 qu’il s’agit, celle qui avait déjà été évoquée en 1966, par notre chantre

de la Résistance qu’était René Clément dans sa fresque, Paris brûle-t-il ?, près de trois heures avec le gratin

du cinéma français tiré par Jean-Paul Belmondo poussant notre veine épique dans ses ultimes retranchements.

 

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Ici, le point de vue est inverse puisque les trois unités de base théâtrales sont respectées, l’action se résumant

à un face-à-face entre deux comédiens formidables jouant en français au chat et à la souris, d’un côté

Niels Arestrup, qui incarne le général von Choltitz, Prussien borné aux ordres, gouverneur du Grand Paris,

qui vient de faire miner tous nos ponts et monuments et s’apprête sur ordre de Hitler à transformer en champ

de ruines notre capitale ; de l’autre, André Dussollier, qui personnifie le consul général suédois en poste à Paris,

chargé en tant que représentant d’une puissance neutre, et peut-être pas uniquement, de ramener la culotte

de peau prussienne dans la voie de la raison. Cela ressemble à de la fiction mais peut-être pas seulement. 

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

Diplomatie de Volker Schlöndorff – bande annonce

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Le site du film Diplomatie

Lire aussi :

 

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« Se battre  » de Jean-Pierre Duret et Andréa Santana

Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 mars 2014

 

« Se battre », leurs vies, leurs combats, nos batailles

 

se battre

  Tous ces anonymes qui font face

  à la misère du monde ont disparu

  de nos écrans.

  Se battre, de Jean-Pierre Duret et

  Andréa Santana, leur redonne une voix,

  et met la lumière sur la richesse de gens

  pauvres, et qui luttent.

 

Dans l’Humanité ce mercredi : entretien avec Jean-Pierre Duret et Andrea Santana :

«A Givors, nous avons trouvé le peuple, pas la pauvreté»

Se Battre, Documentaire, France, 1h33. Se battre. De la première à la dernière minute. Sur le ring et dans la vie.

Se battre. Dormir quatre heures par nuit. «Ne rien lâcher» face aux procédures de recouvrements de trois crédits

contractés pour survivre. «Plus tu pleures, plus tu ramasses la misère. Quand tu ne pleures pas, la misère

ne vient pas», confie une femme.

 

« SE BATTRE » – Bande-Annonce

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Jean-Pierre Duret et Andrea Santana, qui ont travaillé par le passé avec Pialat, les frères Dardenne et sur les pauvres

du Nordeste brésilien, redonnent des mots, une parole à tous les sans-voix. A ceux qui ont le sentiment,

comme cette femme croisée sur les bords du Gier, de «ne plus faire partie du monde qui bouge, celui des voitures

qui avancent, des gens qui partent tôt le matin, qui se dépêchent de rentrer le soir.» Des vies à mille lieux

de l’univers des prospectus commerciaux et des centaines de millions d’euros qui surgissent parfois d’un poste

de radio.

Financé avec 70.000 euros sans l’appui de la télévision, ce film soutenu par le Secours populaire et la Ligue

des droits de l’Homme met aussi en valeur les bénévoles, ces militants de la solidarité qui donnent de soi, reçoivent

des autres et connaissent la richesse de l’entraide. Le bonheur, c’est «d’être à deux», raconte un couple

qui a grandi à la DDASS. C’est aussi de «vivre en HLM», dira Eddy, le jeune boxeur qui a soif de victoires.

On comprend pourquoi ce film, précieux et salutaire, a fait le plein lors des projections en avant-première.

On en sort avec la rage et une idée fixe. Se battre. 

Pierre Duquesne

 

Site web du film « Se battre »

Voir l’affiche

Lire également :  Se battre : la résistance et la solidarité des précaires

 

Voir le film dans la région :

  • Villeneuve-d’Ascq – Cinéma Le Méliès  mar. 18 mars 2014 à 20h00

En présence de Jean-Pierre Duret

  • Calais – Cinéma Alhambra  mer. 9 avril 2014 à 17h00

En présence de Jean-Pierre Duret

  • Dunkerque – Cinéma Studio 43  lun. 14 avril 2014 à 20h30

En présence de Jean-Pierre Duret et Andrea Santana

  • Bailleul – Cinéma Flandria  mar. 15 avril 2014 à 20h00

En présence de Jean-Pierre Duret

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Boule et Bill répondent à Marine le Pen

Posté par communistefeigniesunblogfr le 5 mars 2014

 

Boule & Bill répondent à Marine le Pen

bouleetbill1

« United Colors of Boule & Bill », c’est le titre de ce dessin extrait d’un album de Boule & Bill

que les éditions Dargaud ont posté sur Twitter parce qu’ils n’ont pas apprécié que la présidente du FN

se serve de ses héros de bande dessinée pour alimenter ses critiques contre la dernière chanson

de Yannick Noah, Ma colère, qui s’en prend ouvertement à son parti.

« Philippe Ostermann, le directeur général délégué de Dargaud, a décidé de réagir, après réflexion en interne.

On n’aime pas l’idée d’être associés à des propos politiques en général. Boule et Bill est basé sur des valeurs

d’amour, de fraternité et d’amitié entre un petit garçon et son chien. On avait envie de réagir, en étant sobre

et sans polémique avec ce joli dessin contre le racisme et pour la diversité », a expliqué  Delphine Bonardi,

chef de projet internet des éditions Dargaud, responsable du compte Twitter.

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

Yannick Noah – Ma colère

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La grève de PSA Aulnay : Françoise Davisse a besoin de vous pour achever « On se battra comme des lions ! »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 3 mars 2014

 

La grève de PSA Aulnay sur grand écran :

bientôt possible grâce à vous

 

psa4

  Pendant plus de deux ans, Françoise Davisse a filmé le combat

  des salariés de PSA Peugeot-Citroën contre la fermeture

  de leur usine à Aulnay-sous-Bois.

  Entre organisation de la mobilisation, affrontement des stratégies

  de la direction, des salariés et du gouvernement,

  On se battra comme des lions se veut un documentaire loin de

  tout misérabilisme, qui s’attache à montrer les rouages humains

  d’une lutte de longue haleine.

 

 

Pour achever ce documentaire, refusé par les chaînes de télévisions, la réalisatrice fait appel à tous ceux

qui aspirent à voir le film sortir en salles à participer à son financement via la plateforme de crowd-funding.

Comment en êtes-vous arrivée à vous intéresser à la grève des salariés de PSA Aulnay ?

Françoise Davisse. Quand la CGT a rendu public le plan secret de la fermeture du site d’Aulnay-sous-Bois

en juin 2011, je ne connaissais pas particulièrement l’usine. Mais je connaissais Philippe Julien [secrétaire général

de la CGT à PSA Aulnay], qui est élu au conseil municipal à Saint-Denis, où j’habite. Je voulais voir quelle stratégie

les salariés allaient adopter pour mobiliser contre la fermeture. J’ai commencé à suivre leurs actions dès octobre 2011.

Quel angle avez-vous choisi pour aborder ce conflit social ?

Françoise Davisse. J’ai déjà réalisé une dizaine de documentaires. Là, je voulais essayer quelque chose

de différent : j’ai vraiment voulu m’attacher à montrer les dialogues entre les salariés, et ne pas me contenter

de raconter la chronique des événements. Je voulais voir comment on fait pour se mobiliser :

Qu’est-ce qui motive ? Qu’est-ce qui bloque ? Et montrer, humainement, ce que c’est que se bagarrer.

Quels enseignements en avez-vous tiré ?

Françoise Davisse. Le fait de lutter et de se mettre en grève modifie complètement la place de la personne

dans l’usine. Ils font habituellement un boulot où on ne se parle pas, très répétitif, où chaque geste est réfléchi

par le management. Tout d’un coup, s’engager dans la lutte permet d’avoir un avis, de le dire, d’en discuter

avec d’autres, de décider de son emploi du temps. On en arrive à des situations où un ouvrier est capable

de dire au chef de cabinet de Montebourg qu’il a tort et de pouvoir argumenter pourquoi. Cette grève a été portée

par des militants qui avaient déjà l’expérience de deux grèves – en 2005 et 2007 – donc ils savaient monter

un comité de grève et faire circuler la parole. Ça a donné un mouvement très démocratique, basé sur une mise

en commun, des discussions, des actions collectives. Il n’y avait pas un leader qui disait « Venez derrière moi » :

chacun pouvait donner son avis et avait une responsabilité, une tâcher à assumer.

[Lire la suite sur humanite.fr]

  • A consulter :

Le site de Comme des lions

PSA : moins de pertes, pas plus d’emplois

Accord PSA-Dongfeng : À quoi joue l’État français?

 

On se battra comme des lions !

Si les 10 000 euros de dons sont atteints, on peut espérer voir le film en salles à la rentrée.

http://www.dailymotion.com/video/x19p3q9

sur dailymotion

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