Humour et Politique
Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
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Vu sur Osez le Féminisme 63 (photo de Visant Dessinateur)
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
Condamnations à gauche en France de la loi anti-avortement en Espagne
capture d’écran
Le Parti communiste (PCF) a dénoncé ce lundi
le « terrible retour en arrière » que constitue
à ses yeux le projet de loi supprimant quasiment
le droit à l’avortement en Espagne,
« une concession à l’Église et à la droite
la plus conservatrice ».
capture d’écran – photo de Ana Barba.
« Le gouvernement espagnol revient sur le droit à l’avortement.
C’est une concession à l’Église et à la droite la plus conservatrice,
et un terrible retour en arrière.
Promesse de campagne du conservateur Mariano Rajoy,
ce projet voit le jour à la veille de Noël et risque fort d’être
approuvé par le Parlement, le Parti Populaire y étant
majoritaire », écrit le PCF dans un communiqué.
« Cette loi, si elle était votée, remettrait totalement en question le droit à l’avortement acquis de haute lutte
en Espagne et replacerait ce pays parmi les pays européens les plus restrictifs en ce domaine », s’inquiète le PCF.
Soutien à la mobilisation
Les associations féministes et les partis de gauche se mobilisent contre ce texte qui est le plus prohibitif depuis
la fin de la dictature, quand l’IVG était purement et simplement interdite. Nous voulons les assurer de tout notre
soutien. Nous condamnons, avec la plus grande fermeté, cette remise en cause d’un droit fondamental,
cette atteinte à la liberté des femmes de choisir d’avoir un enfant ou pas, du moment de leur maternité », écrit
encore le Parti communiste.
Najat Vallaud-Belkacem « choquée »
La ministre française des Droits des femmes a elle aussi réagi au projet de loi du gouvernement Rajoy. « Ça m’émeut.
Bien sûr que ça me choque », a déclaré Najat Vallaud-Belkacem, dimanche, lors du Grand rendez-vous i-Télé/Europe 1/
Le Monde. « J’ai d’ailleurs fait part de ma vive préoccupation à mon homologue espagnol à qui j’ai écrit vendredi.
C’est terrible de voir qu’un pays comme l’Espagne, qui ces dernières années était devenu un petit peu la référence
en particulier pour ceux qui se battent contre les violences faites aux femmes (…), puisse s’apprêter peut-être
à connaître un recul en matière du droit à disposer de son corps. C’est assez inquiétant et ça vient illustrer
ce que je dis régulièrement, c’est-à-dire que les droits des femmes ne sont jamais acquis », a estimé la ministre.
Le FN content
Il y en a en revanche un qui se félicite de ce texte restrictif. Dans un tweet, le président d’honneur du Front national
Jean-Marie Le Pen a salué « le projet de loi espagnol sur l’avortement (qui) prouve que l’on peut agir en la matière
avec mesure, intelligence et souci du respect de la vie ». Pour rappel, sa fille avait critiqué pendant la campagne
présidentielle de 2012 les « avortements de confort » et avait émis l’idée de ne pas rembourser les interruptions
volontaires de grossesse en cas de problèmes budgétaires.
A lire aussi :
S.G.
capture d’écran
L’hymne des femmes
Publié dans Droits des femmes, Espagne, PCF, SOCIETE | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
Il défend son journal avec des livres…
Souscription populaire pour l’Humanité et l’Humanité dimanche.
Chaque jour, rencontre avec un acteur de la défense de l’Humanité.
Aujourd’hui : Robert Séguéla. Avec des amis, il a créé une librairie
originale en soutien au pluralisme de la presse.
L’Humanité et ses équipes font appel à leurs lectrices et lecteurs, aux organisations progressistes et démocratiques, à toutes les personnes attachées au pluralisme des idées et de la presse. Dès maintenant, faites un don en utilisant le formulaire de souscription ou faites un don en ligne.
Robert Séguéla, soixante-huit ans, n’est pas de ceux qui parlent à tout bout de champ, et surtout d’eux-mêmes. Il n’est pas non plus taiseux, il dit ce qu’il a à dire, c’est tout. Parler de lui ? D’accord, mais à condition que cela serve LA cause. Celle de son journal depuis toujours, l’Humanité, et celle du peuple, toutes ces femmes et tous ces hommes qui aspirent à la reconnaissance de leur utilité sociale, à rebours de l’individualisme dominant. Pour ce qui le concerne, depuis un an, cet engagement a pris un tour associatif.
Des livres et des combats
Avec une poignée d’amis de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), il a créé Livres en luttes, dont l’action est simple : collecter des livres d’occasion à caractère militant, les classer et les remettre en circulation auprès du public des congrès syndicaux, des manifs du Front de gauche ou encore de la Fête de l’Humanité. 45 000 ouvrages ont déjà été recueillis. «Une amie de Nevers a acheminé par ses propres moyens 120 cartons !» Une générosité en osmose avec le but de l’association. Car le produit de la vente de ces livres d’occasion est reversé aux journaux qui soutiennent les mouvements sociaux, l’Humanité, mais aussi, entre autres, la Nouvelle Vie ouvrière (NVO), l’hebdo de la CGT. Robert, l’ancien cheminot, est venu à l’Huma par la CGT, d’ailleurs.
A lire aussi :
Publié dans l'Humanité, Presse - Medias | Pas de Commentaire »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
Dans l’Humanité ce lundi, l’OPA des entreprises sur les facs
Sous couvert de favoriser l’insertion professionnelle
des étudiants, le gouvernement se fait le chantre
d’un rapprochement entre universités et entreprises.
Le supérieur est aujourd’hui plus que jamais
sous l’influence des milieux économiques.
A découvrir dans notre événement :
Merci patron ! Depuis un an et demi, le gouvernement, sous couvert
de favoriser l’insertion professionnelle des étudiants, n’en finit plus
de confier les clés des facs aux entreprises.
Pas un mois ne passe sans que Geneviève Fioraso, la ministre
de l’Enseignement supérieur, ne célèbre ce « rapprochement » entre les universités et « les acteurs économiques ».
Ainsi, après avoir annoncé, en octobre, la généralisation prochaine de cours sur « l’entrepreneuriat et l’innovation »
et la création d’un statut étudiant-entrepreneur, la voici fêtant, début décembre, la naissance d’un comité Sup’emploi,
codirigé par l’ex-présidente de Manpower France et l’ex-PDG de Schneider Electric. Une annonce qui s’est
accompagnée d’un entretien croisé paru dans les Échos, où la ministre socialiste acquiesce à l’idée de faire du Medef
le « copilote » des formations universitaires… En face d’elle, Pierre Gattaz, le patron des patrons, boit du petit-lait :
« Tout cela va dans le bon sens. » On le comprend. Le patronat, qui a toujours cherché à peser sur les destinées
étudiantes, n’a pas à se plaindre. Sa vision de l’université – le fournisseur d’une main-d’œuvre collant au plus près
des besoins du marché – est désormais aussi celle du gouvernement.
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
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Posté par communistefeigniesunblogfr le 23 décembre 2013
Éducation : la Suède n’en peut plus du tout-privé
La privatisation de l’école ? La Suède s’en mort les doigts.
Vingt ans après le lancement d’un programme de privatisation partielle
des écoles secondaires, le pays s’interroge sur le bien-fondé
d’une telle politique, marquée par la faillite de nombreux établissements
et la baisse du niveau des élèves.
Sur le modèle du chèque éducation défendu, en France, par l’extrême droite et une partie de la droite, la Suède a été le premier État européen, au début des années 1990, à fournir aux parents des bons finançant l’inscription de leur enfant dans les premiers collèges privés du pays. Un quart des établissements scolaires du secondaire sont désormais privés dans le pays et près de la moitié d’entre eux sont la propriété partielle ou totale d’entreprises, qui peuvent en tirer des bénéfices.
Faillites et licenciements
Mais voilà. Le bilan financier et éducatif de ces établissements est aujourd’hui très inquiétant. Plusieurs d’entre eux ont fait faillite ces dernières années, dont récemment JB Education, une école secondaire propriété de l’entreprise Axcel, qui accueillait 11 000 élèves. Facture : un milliard de couronnes (111 millions d’euros) et un millier d’enseignants au chômage. Des dizaines d’autres établissements ont aussi connu des revers de fortune. Un collège suédois sur quatre perd de l’argent et le risque d’insolvabilité a augmenté de 188% depuis 2008. Des difficultés financières accentuées par la baisse démographique du nombre d’élèves dans le secondaire.
La dérégulation totale autorisant tout, ou presque, a produit des effets délétères. L’an dernier, les inspecteurs de l’Éducation nationale ont reproché à JB Education de se contenter de faire passer les examens aux élèves. Ils ont aussi dénoncé le mode de fonctionnement de Praktiska Sverige, qui accueille plus de 5 000 élèves et engage des enseignants sans diplôme, en CDD, tout en réduisant le nombre de bibliothèques scolaires. Sans parler de cet homme condamné pour pédophilie qui avait pu ouvrir plusieurs écoles sans enquête préalable des autorités de tutelle…
«J’ai souvent dit qu’il était plus facile d’ouvrir une école indépendante qu’une baraque à hot dogs, souligne Eva-Lis Siren, secrétaire générale de Lararforbundet, le principal syndicat enseignant. Quand on incite à la liberté de choix, on perd de vue le contrôle de la qualité.» Selon une étude de l’Agence nationale pour l’éducation, un élève de 15 ans sur quatre n’est désormais pas capable de comprendre un texte factuel de base.
[Lire la suite sur humanite.fr]
A lire aussi :
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