François, un Pape de combat… contre la gauche d’Amérique Latine

Posté par communistefeigniesunblogfr le 14 mars 2013

 

François, un Pape de combat… contre la gauche d’Amérique Latine

 

François, un Pape de combat… contre la gauche d’Amérique Latine dans Amerique latine capturepape1

Le nouveau souverain pontife est présenté comme

« progressiste modéré ». Mais derrière l’image du Pape

humble et proche des nécessiteux, il y a un farouche

réactionnaire, fermement opposé aux réformes sociétales

de gauche en Amérique Latine et un peu trop proche

de certains dictateurs militaires.

 

“Ne soyons pas naïfs : il ne s’agit pas seulement d’un combat politique. Il y a [Ndlr : dans le mariage

homosexuel] la prétention de détruire le plan de Dieu” expliquait l’archevêque de Buenos Aires en 2010

lors du débat sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe en Argentine, où il s’est fermement

opposé à Christina Kirchner. « Il faut y voir aussi, ajoutait le cardinal, le dessein du Démon, responsable

du péché en ce monde, qui cherche sournoisement à détruire l’image de Dieu ». Le cardinal de Buenos

Aires avait également qualifié l’homosexualité de « démon infiltré dans les âmes ».

Même position inflexible sur l’avortement, y compris en cas de viol, ou encore sur l’euthanasie. Et comme

jésuite, Golias rappelle qu’il s’est fermement opposé à la ligne d’ouverture.

Opposé aux prêtres progressistes

*
pape1 pape dans Argentine

Son opposition aux prêtres, réellement progressistes, serait même allée bien

plus loin  pendant la dictature militaire. Jean-Luc Mélenchon l’explique sur son blog :

« Ce Bergoglio peut être jugé politiquement parce qu’il s’est impliqué dans l’action

politique de son pays. Il est, non seulement, exactement à l’opposé de la théologie

de la libération mais il en a combattu les prêtres. Mes amis argentins l’accusent

d’avoir dénoncé des prêtres progressistes sous la dictature. Il a été formellement

reconnu et accusé par deux d’entre ces prêtres en 2012 dans un procès.

Ces deux prêtres avaient été dénoncés, arrêtés et torturés et n’avaient échappé à la mort que par chance. »

Jean-Luc Mélenchon fait ici référence aux cas des prêtres Orland Yorio et Francisco Jalics, qui ont été

kidnappés  et torturés en 1976 et qui ont nommément accusé Bergoglio de les avoir dénoncés comme

guerilleros et opposants au pouvoir du dictateur Videla. Alors qu’il leur avait fait croire au préalable

qu’il les protègerait.

[Lire la suite sur humanite.fr]


porte dans Jean-Luc Melenchon

Lire également :

Les arguments qui accablent le nouveau pape

Pape Francois, qu’as-tu dit quand la dictature argentine tuait des prêtres ?

Jean Ferrat : Le sabre et le goupillon

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