• Accueil
  • > Archives pour le Samedi 2 février 2013

Soutien aux PSA Aulnay : la belle initiative de Kash Leone

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 février 2013

 

« Ca peut plus durer » : le clip de rap en soutien des PSA Aulnay

 

Image de prévisualisation YouTube

sur youtube

Kash leone

L’artiste KASH Leone, en featuring avec Dj RAGE, apporte son soutien aux salariés de PSA

du site d’Aulnay-sous-bois. 

La lutte de ces ouvriers s’intensifie, ils ont besoin de tous les soutiens. 

Scotty Tyron Pictures

Publié dans Musiqe, Rap, Solidarite | Pas de Commentaire »

Rassemblement pour la libération de Nadir Dendoune détenu en Irak

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 février 2013

 

À la Fontaine des innocents, un rassemblement

pour exiger la libération de Nadir Dendoune

 

Rassemblement pour la libération de Nadir Dendoune détenu en Irak dans Irak nadir2Rosa Moussaoui, photo Camille Millerand

Au dixième jour de détention de notre confrère,

syndicats de journalistes, responsables politiques

ou simples citoyens ont exigé sa libération,

avec RSF et son comité de soutien.

 

Pour conjurer l’inquiétude, l’humour. Nadir, tes oreilles ont sifflé, vendredi soir, à la Fontaine des Innocents.

Nous t’épargnerons les mots d’esprit à tes dépends, juste des expédients pour atténuer l’angoisse.

Samedi, notre confrère, Nadir Dendoune, journaliste indépendant, arrêté le 23 janvier à Bagdad, dans l’exercice

de son métier, purgeait son dixième jour de détention dans une caserne militaire, sans motif sérieux,

sans inculpation, sans possibilité de se défendre, sans contact avec l’extérieur. Pour de simples photos, disent

les autorités irakiennes.

Ses proches, ses amis, ses confrères, ou simplement des citoyens révoltés par l’injustice qui lui est faite,

se sont rassemblés, vendredi soir, à la Fontaine des innocents, à Paris. Avec un simple mot d’ordre :

« Libérez Nadir ». Des organisations professionnelles, des représentants de la gauche, des artistes, des élus

et des habitants de la Seine Saint Denis, son département, ont témoigné par leur présence de leur solidarité

avec ce personnage atypique, attachant, chaleureux. On pouvait croiser, dans la foule, des amis de

l’Ile-Saint-Denis, des responsables syndicaux, des poètes du béton, séquanodyonisiens du cru,

comme Hocine Ben ou Thomas Pitiot.

Christophe Deloire, le directeur général de Reporters sans frontières, a rappelé que Nadir était « parti en Irak

comme journaliste français, pour faire son travail de journaliste ». « Il est inadmissible qu’il se retrouve depuis

dix jours en détention pour avoir fait son métier. Quel que soit l’endroit où ils se trouvent les détenus finissent

toujours par entendre le bruit qui est fait à des milliers de kilomètres de là », a-t-il lancé, en exigeant

de nouveau sa libération.

Patrick Le Hyaric, le directeur de l’Humanité, a regretté l’apathie des médias télévisés, trop lents à se faire

l’écho de l’injustice faite à notre confrère. En d’autres temps, avec d’autres journalistes, on vit réactivité

plus prompte…

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

Publié dans Irak, l'Humanité | Pas de Commentaire »

Goodyear : « Rien n’est gagné d’avance, mais les salariés sont toujours là, déterminés et prêts à agir. Et surtout à se battre pour une loi sur les licenciements boursiers

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 février 2013

 

RESTRUCTURATION

Goodyear :

l’usine qui résiste encore et toujours aux licenciements boursiers

 

Goodyear : Par Grégoire Souchay (1er février 2013)

Encore une. La multinationale Goodyear, à Amiens,

s’apprête à fermer son usine de pneus et à licencier

les 1 250 ouvriers du site, menaçant 4 000 emplois

indirects.

Une fermeture de plus, avec son lot de résignation ?

Pas tout à fait. Car chez Goodyear, cela fait cinq ans

que la fermeture est annoncée. Malgré les pressions

de la direction et son manque de considération

pour la santé des salariés, pas un licenciement, ni une baisse de salaire. Et ce, grâce à la résistance

collective des ouvriers. Pour combien de temps encore ?

« On entame notre sixième année de lutte, toujours victorieuse », lance Evelyne Becker, membre du Comité

d’entreprise. Dès 2007, cela s’annonçait pourtant plutôt mal pour les Goodyear. Le fabricant états-unien

de pneumatiques promet à l’époque l’investissement de 52 millions d’euros dans ses deux usines d’Amiens.

Un investissement conditionné à une réorganisation du travail et 400 licenciements. Les salariés se divisent :

à l’usine Dunlop, les syndicats et salariés acceptent le passage de cinq à quatre équipes (les « 4X8 »),

tandis qu’à Goodyear, la CGT, majoritaire, refuse de signer. Le bras de fer s’engage avec la direction.

À cinq reprises, elle va tenter des plans de licenciement. Trois seront suspendus par la justice, les deux

autres seront abandonnés suite à la mobilisation ouvrière.

La clef de cette persévérance ? D’abord la CGT, très puissante dans l’usine – 86% aux dernières élections

du personnel – et dont la ligne n’a pas bougé d’un iota depuis six ans. « On ne se bat pas pour obtenir plus

de fric dans le cadre d’un plan social, on se bat pour obtenir l’annulation du plan social et maintenir

nos emplois », explique Mickaël Wamen, l’un des leaders.

Le droit comme arme

Les Goodyear n’hésitent pas à recourir à des actions spectaculaires : occupation et blocage de l’usine, ou de

la zone industrielle, manifestation au Salon de l’Auto. Ils sont désignés comme « violents » ? Ils mettent en

parallèle la violence sociale qui leur est infligée. Et n’hésitent pas à jouer sur les symboles. En 2009,

les « Contis » – de l’usine Continental de Compiègne, aujourd’hui fermée – se joignent à eux pour un défilé

fraternel dans les rues d’Amiens.

Les salariés picards disposent d’un autre atout : le droit. Et en usent avec succès, sur tous les fronts. D’abord

contre les plans sociaux, qui sont successivement suspendus pour vices de forme, de procédure ou pour

absence de motif économique avéré. Mais aussi pour défendre leurs droits de salariés. « Les nouveaux qui

entraient dans l’entreprise n’avaient rien. Ni treizième mois, ni vacances », décrit Igor Maslonka, salarié depuis

1997, aujourd’hui délégué du personnel. La CGT s’attaque au problème et se porte en justice. En 2004,

la direction est condamnée à verser douze millions d’euros de dédommagement.

[Lire la suite sur Basta !]

Publié dans CGT, ECONOMIE, Emplois, France, licenciements, Luttes, SOCIAL | Pas de Commentaire »

 

ahmed remaoun |
Fabrice FRICHET |
LE BLOG EDUCATIF |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | ALGERIE/ PARTIS POLITIQUES/...
| MATTNA
| Bloc-notes de Raoul d'Andrésy