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Ridan : « Madame la République »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

Le clip de la chanson « Madame La République », deuxième extrait du dernier album de Ridan,

est désormais disponible. Après « Ah les salauds », découvrez un nouveau clip très esthétique.

 

RIDAN – Madame la République (CLIP OFFICIEL)

http://www.dailymotion.com/video/xqhq70

sur dailymotion.com/video/xqhq70

par Ridan_Officiel

Vous pouvez commander l’album à PRIX CITOYEN sur http://bit.ly/zPkEby

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Suivez ce soir le débat Hollande-Sarkozy sur l’Humanité.fr.

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

Débat TV:

François Hollande promet du répondant face à Nicolas Sarkozy

 

Suivez ce soir le débat Hollande-Sarkozy sur l'Humanité.fr.   dans POLITIQUE 2012-05-02debat-tv-300x158Suivez ce soir le débat Hollande-Sarkozy sur l’Humanité.fr.

François Hollande et son entourage se sont dits « sereins » à

quelques heures du débat télévisé entre les deux candidats

au second tour de la présidentielle qui les verra échanger

sur le chômage et la dette, l’immigration, le style de

présidence que les deux hommes veulent incarner

ces cinq prochaines années, et les questions internationales.

Lors de son intervention de ce mercredi matin, sur BFM-TV et RMC, le candidat socialiste a démonté par avance l’argument brandi

régulièrement par l’UMP sur sa supposée stratégie d’évitement des sujets qui fâchent. « Je n’ai pas cherché à dissimuler quoi que

ce soit. Toutes les questions, s’il y en a de nouvelles, me seront posées, j’apporterai toutes les réponses », a affirmé

François Hollande.

« Pas trop d’immigrés en situation légale »

De même, il a attaqué de front l’un des thèmes de campagne du parti du président sortant pour se rallier les voix du Front national :

l’immigration. « Il n’y a pas trop d’immigrés en situation légale » mais « il y a trop d’immigrés en situation irrégulière », a expliqué

le candidat socialiste. « Nous ne pouvons pas accepter que des hommes et des femmes, même mus par la détresse et par

la misère, viennent s’installer sur notre territoire sans avoir les conditions légales d’y être accueillis », a-t-il ajouté, dénonçant

comme une « incantation » l’objectif du président sortant de réduire de 200.000 à 100.000 le nombre des étrangers entrant

légalement sur le territoire chaque année .

Réaffirmant qu’il maintiendrait les quelque 30.000 régularisations par an s’il était élu, François Hollande a assuré qu’elles se

feraient sur des « critères » qui « seront les mêmes pour tous » et que « ça ne sera pas l’arbitraire ». Parmi ces critères, le candidat

socialiste cite « cinq ans de présence continue sur le territoire, et avoir une promesse de travail », ainsi que « ceux qui ont un enfant

scolarisé depuis 5 ans ».

« Détermination et sérieux »

Jean-Marc Ayrault, son conseiller spécial, a, quant à lui, affirmé en milieu de journée que François Hollande était « serein et fort de

sa cohérence. Les Français ont vu qu’il avançait avec détermination et sérénité, sérieux, cohérence, c’est donc l’état d’esprit qui

l’anime pour le débat de ce soir ».

Le député maire de Nantes relativise la portée de ce débat avec Nicolas Sarkozy, qui ne constitue pas « l’alpha et l’oméga de la

campagne » présidentielle. Ségolène Royal a elle aussi mis en garde sur les analyses d’après-débat. La candidate socialiste

malheureuse à la présidentielle 2007 se souvient de son débat face à Nicolas Sarkozy : « A l’issue de ce débat, a-t-elle assuré sur

RTL, les premières enquêtes d’opinion me donnaient gagnante, quand Nicolas Sarkozy est sorti, il a eu le sentiment, il l’a d’ailleurs

dit, d’avoir perdu, ses troupes et ses soutiens aussi. C’est dans la nuit que cela se retourne avec le fameux sondage de l’officine

Opinionway évaluation du débat. Il faut faire attention à la suite du débat et au système médiatique tel qu’il l’interprète ».

54% pour Hollande, selon Ifop. François Hollande l’emporterait avec 54% (-0,5 point) des voix contre 46% à Nicolas Sarkozy,

selon un sondage Ifop-Fiducial pour Europe 1, Paris Match et Public Sénat réalisée du 26 au 29 avril et diffusé ce mercredi.

80% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour se reporteraient sur le candidat socialiste, 6% sur Nicolas Sarkozy, et

14% ne savent pas.

43% de ceux qui avaient choisi Marine Le Pen voteraient Nicolas Sarkozy, 18% François Hollande, et 39% ne savent pas.

31% des électeurs de François Bayrou voteraient Nicolas Sarkozy, 28% François Hollande, 41% ne se prononcent pas.

 

Source : humanite.fr/  2 mai 2012

 

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Le 4 mai : Grand Meeting du Front de gauche, place Stalingrad à Paris, pour battre Nicolas Sarkozy

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

Le 4 mai : Grand Meeting du Front de gauche, place Stalingrad à Paris, pour battre Nicolas Sarkozy dans Front de Gauche 4mai_0-300x150Le Front de gauche organise un grand meeting pour appeler

à battre Nicolas Sarkozy le 6 mai, lors du 2ème tour de

l’élection présidentielle.

Place de la Bataille de Stalingrad – Paris 19

(Metro Jaurès ou Stalingrad)

 

Prises de parole des responsables des composantes du Front de gauche

  • 19h30 : Discours de Jean-Luc Mélenchon
  • 20h10 : Discours de Pierre Laurent

 

Photo : Meeting du Front de gauche, le 22 avril, soir du premier tour

humanitefr dans Jean-Luc Melenchon le 2 Mai 2012

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« Battre Sarkozy et briser la spirale austérité-récession »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

« Battre Sarkozy et briser la spirale austérité-récession » dans Austerite 20124ballouheymuguet2-249x300Économistes, nous avions, le 20 avril dernier,

appelé à voter pour Jean-Luc Mélenchon et le Front de gauche.

À l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, pour

battre Nicolas Sarkozy le 6 mai prochain, nous mettrons un bulletin

de vote François Hollande dans l’urne, sans rien lâcher

de nos exigences et sans nous rallier à son programme économique.

Notre appel du 20 avril, diffusé dans la presse, s’est à présent élargi

à d’autres collègues économistes qui nous ont rejoints, et compte

plus de 50 signataires prouvant ainsi que la dynamique du Front de

gauche est en marche pour une alternative aux politiques actuelles

afin de sortir de la crise.

Quel que soit le résultat du scrutin, il n’y aura pas d’état de grâce. Le futur gouvernement va être très vite confronté à la crise

des dettes publiques qui n’en finit pas. À cause de la crise financière et de leur détention par les marchés financiers,

l’augmentation de la plupart de ces dettes dans la zone euro a déchaîné la spéculation contre l’euro et constitue l’argument

central des politiques d’austérité, ici comme dans beaucoup d’autres pays : l’endettement public mondial a cru de 45 % ces quatre

dernières années, notamment parce que les États se sont portés au secours des banques. À tout moment, et sous l’effet de la

spéculation qui mise d’ores et déjà sur l’éclatement de la zone euro, un risque de défaut (dette publique, une grandes banque

européenne) peut survenir. La contagion sera alors immédiate. Or, à la différence de la crise de 2007-2008, les États sont devenus

exsangues et, outre une profonde réforme fiscale, ne pourront donc efficacement soutenir les banques et l’activité économique

qu’avec une autre intervention de la BCE. Les organismes créés dans l’urgence par l’Union européenne pour faire face à cette

crise (Mécanisme européen de stabilité, Fonds européen de stabilité financière) ne feront que l’aggraver la situation, puisque

leurs prêts sont conditionnés à la mise en œuvre d’une austérité drastique et à la mise sous tutelle des pays par la sinistre Troïka

(Fonds monétaire international, Banque centrale européenne et Conseil européen).

L’enjeu économique actuel est la confrontation majeure avec les marchés financiers, sans accepter le scénario noir d’un repli,

avec un éclatement de la zone euro, une relance de la spéculation, des difficultés immédiatement accrues pour les peuples,

l’enfoncement des économies les plus faibles et tous les risques d’affrontement.

Pour sortir de la crise, il faut rompre avec les dogmes des politiques d’austérité qui engendrent les cercles vicieux de la dette

et de la déflation. Il faut rompre avec les dogmes de la compétitivité anti-salariale consistant à flexibiliser le marché du travail et à

rogner sur les droits sociaux. Il s’agit pour les néo-libéraux de baisser les « coûts du travail » pour mieux protéger les dividendes

et les prélèvements bancaires sur la richesse produite. C’est pourtant cette vision du monde qui l’a mené dans la situation

extrêmement précaire où il se trouve.

Il est fondamental de briser le cercle vicieux austérité-récession qui entraîne l’Europe vers le chaos. C’est pourquoi nous nous

opposons au Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), signé le 1er mars dernier. Il ne touche pas au statut

de la BCE ni à sa politique monétaire et, au contraire, les sanctuarise. Il véhicule et grave dans le marbre, avec la prétendue

« règle d’or », la vision d’une Europe sans solidarité ni transfert ; où chaque nation serait individuellement tenue à l’équilibre

budgétaire et, sinon, sanctionnée automatiquement. Ce traité veut verrouiller l’intervention démocratique des peuples et empêcher

toute expansion sociale, tout développement social de qualité et même toute croissance réelle nouvelle nécessaire à une

réorientation de l’économie en Europe, gage d’une dynamique de reconversion écologique et d’une sortie de crise.

Pour rompre avec l’austérité, il faut battre Nicolas Sarkozy, soutien majeur du capitalisme financier, l’un des deux artisans

majeurs du TSCG et de la mise sous tutelle anti-démocratique des pays les plus en crise comme la Grèce par la BCE, le FMI

et le Conseil européen. Le 6 mai, nous mettrons le bulletin de vote François Hollande pour commencer à dégager l’horizon.

Pour autant, il ne faut surtout pas rivaliser avec la droite dans l’application d’une prétendue règle d’or, de déficit zéro avant tout.

[Lire la suite sur placeaupeuple]

URL article original :

http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/05/02/battre-sarkozy-et-briser-la-spirale-austerite-recession_1693337_3232.html

Illustration ajoutée par nous ; vue sur : LAIT d’BEU

 

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Pour nos camarades de Belvédère

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

1er mai à Nice

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par

 

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Dégageons Sarkozy !… et premières réflexions sur le score du FN

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

 

Dégageons Sarkozy !… et premières réflexions sur le score du FN dans Front de Gauche 1er-mai-20120033Dégage Sarkozy, dégage, dégage, dégage !

Pour illustrer ce slogan j’utilise ce dessin de

Jacques Tardi qui illustre une chanson éponyme

de mon amie Dominique Grange que vous pouvez

écouter à la fin de ce billet. Par Alexis Corbière.

Quel bonheur ! Un coup de pied magistral du peuple se prépare

dans le postérieur de ce grotesque président. Dans tous le pays

monte cette simple et grave exigence. Sarkozy doit partir

avec sa clique et sa politique réactionnaire. Il faut faire en sorte

que cela soit le cas le 6 mai de façon éclatante.

Plus sa défaite sera importante, plus ce sera entendu dans toute l’Europe. Le sens politique de ce prochain départ dépasse

la personne de François Hollande qui aura essentiellement bénéficié du vote utile pour virer Nicolas Sarkozy. Que l’on ne vienne

pas me raconter autres choses et autres balivernes, je n’en croirai pas un mot. C’est pourquoi le Front de Gauche, attaché si

jalousement à son autonomie conquérante, fait campagne d’ici le 6 mai sur ses propres mots d’ordres et dans ses propres

initiatives pour battre Sarko en utilisant le bulletin Hollande. Pardon d’être aussi sec, mais c’est la vérité crue. Nous ne raconterons

aucun mensonge à ceux qui nous font confiance. Nous ne faisons pas tribune commune avec les soutiens de François Hollande.

Nous ne nous rassemblons pas derrière lui. Nous ne véhiculerons aucune illusion. Nous utilisons un bulletin de vote

avec son nom écrit dessus. Mais notre projet de Révolution citoyenne passe dimanche prochain par la défaite du chef de la droite

française. Ce soir là d’ailleurs nous ferons la fête avec tous les dirigeants du Front de Gauche car cette défaite de la droite sera

aussi grâce à nous. Ne le loupons pas donc. Il est d’ailleurs impressionnant de comparer les conditions dans lesquelles il fut élu

en 2007, lorsque tous les médias (ou presque) étaient honteusement à ses pieds pour vanter toutes ses prétendues qualités.

Cinq ans plus tard, il fuit sous les quolibets et les lazzis. Hé, hé… C’est cela qui rend la politique passionnante. Ceux qui trompent

le peuple le payent cher généralement. A bon entendeur…

Lire la suite sur le blog d’Alexis Corbière.

39479898-avatar_large 1er mai dans Parti de gauche2 mai 2012

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L’ « ivresse sondagière » de Sarkozy : 264 sondages pour un montant de 6,35 millions d’euros !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 mai 2012

 

Plus de 6 millions d’euros de sondages pour Sarkozy en 2 ans

 

Miroir, mon bon miroir, dis moi que je me marie avec la plus belle ! C’est, entre autre, ce qu’à

demandé le président Sarkozy avec une frénésie maladive (264 en 2 ans) à des instituts de

sondage pour une facture de plus de 6 millions d’euros.

Raymond Avrillier, militant écologique grenoblois, bien connu dans sa région pour avoir fait tomber l’ancien maire de Grenoble

Alain Carignon (UMP) en son temps, s’est intéressé aux sondages commandés par le président Sarkozy entre juin 2007 et

juillet 2009. Au cours de cette période, 264 sondages pour un montant de 6,35 millions d’euros. L’élu EELV s’est exprimé lundi

au cours d’une conférence de presse, parlant « d’ivresse sondagière » de Nicolas Sarkozy. « Ces documents montrent

une addiction sondagière, une conduite à la petite semaine, au GPS des sondages », a insisté Raymond Avrillier.

« Uniquement en 2007, les prestations de conseils et les sondages payés sur fonds publics ont atteint 1,194 millions d’euros.

C’est une somme énorme », a-t-il détaillé s’appuyant sur des documents que lui a remis l’Elysée sur injonction du tribunal

administratif de Paris. « Certains ont été clairement utilisés par l’UMP notamment en vue de l’élection présidentielle de 2012″,

a ajouté l’ex-élu écologiste, qui assure n’avoir « obtenu que 134″ de ces 264 sondages.

Et de donner comme exemple : « Pour chacune des personnalités suivantes diriez-vous qu’elle ferait un(e) bon(ne) candidat(e)

à l’élection présidentielle ? », interroge en décembre 2008 l’un de ces sondages énumérant uniquement des personnalités du

Parti socialiste, ce que confirme l’AFP qui a pu le consulter.

Autre exemple amusant, dans les quatre cartons de documents reçu, Raymond Avrillier pointe de « nombreux » sondages

commandés en 2008 concernant la liaison du président avec sa future épouse. « Que pensez-vous de son mariage possible

avec Carla Bruni ? », interroge l’un d’eux. Encore un exemple montrant que ces sondages « ne relèvent pas de la conduite de

l’Etat ». Heureusement qu’à l’été 2009 le président a oublié de commander un sondage pour demander :

« Les Français accepteraient-ils que je nomme mon fils sans diplôme à la tête de l’Epad ? »,(…)

[Lire la suite sur humanite.fr]

 

Pour le guérir de cette addiction, un seul remède :  la retraite à 57 ans !

L'

 

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