• Accueil
  • > Archives pour le Mardi 1 mars 2011

Grèce : Le gouvernement à la solde de la Troïka FMI-CE-BCE organise le pillage du pays au profit du grand capital

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mars 2011

Source : TLAXCALA28 février 2011

 

Le FMI épaulé par la Commission européenne organise le pillage de la Grèce

 

Grèce : Le gouvernement à la solde de la Troïka FMI-CE-BCE organise le pillage du pays au profit du grand capital dans Austerite aut_804    
Jérôme Duval

 

En Grèce, le peuple maintient la mobilisation après neuf grandes grèves depuis février 2010. Alors que le chômage continue sa progression après être passé

de 9,7% à 12,9% de la population active entre le 3e trimestre 2009 et le 3e trimestre 2010 |1| (près de 34% des moins de 25 ans sont sans emplois), le peuple

poursuit la mobilisation contre les plans d’austérité d’orientation ultralibérale et conformes au « consensus » de Washington.

 

 

gal_1819 dans ECONOMIE

Greece and IMF A, Latuff
Cartoon originally produced
for Greek newspaper « Dromos ».

Cette politique promue par la troïka – Fonds monétaire international (FMI), Commission Européenne (CE), Banque Centrale Européenne (BCE)

– en échange d’assistance financière pour affronter le paiement de la dette publique est digne de celle qui a conduit l’Argentine, élève modèle

du FMI, à une crise mémorable en 2001. Les médias dominants nous dissimulent le budget militaire grec qui ne cesse d’aggraver le déficit. 

Pourtant, celui-ci est proportionnellement au PIB le plus important des pays membres de l’OTAN après les Etats-Unis et représentait 4% du

PIB en 2009. Serait-ce que les vendeurs d’armes propriétaires d’empires médiatiques comme Dassault ou Lagardère ne veulent pas

compromettre un marché juteux ? Alors que le peuple est confronté à une destruction généralisée des acquis sociaux (réductions des

salaires et des régimes de retraite, hausses d’impôts indirects, augmentation de l’âge de départ à la retraite, privatisation et

augmentation des tarifs des services publics…), la Grèce achète de l’armement à la France (6 frégates FREMM d’environ 500 millions

d’euros chacune et des hélicoptèresde combats SAR)et à l’Allemagne (sous-marins). Ces achats d’armement par temps d’austérité

drastique pour la population sont irrecevables. L’argent volé à la population pour acheter du matériel militaire doit être restitué

intégralement et les responsables jugés. Selon le SIPRI (Stockholm International Peace Research Institute), la Grèce est la nation

européenne qui dépense le plus d’argent endéfense comparé à son produit intérieur brut (PIB) et figure parmi les 10 plus importants

acheteurs d’armes au monde. Il s’agit d’un comportement odieux et irresponsable envers sa population qui se saigne aux quatre

veines pour renflouer les caisses de l’Etat.

En mai 2010, selon le ministère français de la défense interrogé par le député François Cornut-Gentille,

« aucune des mesures de restriction budgétaire supplémentaires décidées au mois de mars 2010, à la suite des interventions de

l’Union européenne, ne devrait affecter, cette année, le budget d’acquisition du ministère de la défense grec. (…) les démarches d’acquisition des frégates de type

FREMM (frégates multimissions) et des hélicoptères SAR (search and rescue) restent en conséquence d’actualité |2|. »

 

[Lire la suite sur : tlaxcala-int.org/]

 

 

 

 

Publié dans Austerite, ECONOMIE, FMI "affameur des peuples", Grece, Union europeenne | Pas de Commentaire »

Violences policières

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mars 2011

Source : Rebellyon.info

 

  • A Pierre-Bénite un ouvrier victime de flics violents et racistes

Publié le 1er mars

 

Le 26 janvier dernier vers 23h, en pause devant l’usine textile de Pierre-Bénite où ils travaillent, deux ouvriers n’ont pas entendu, car bouchons anti-bruit dans les oreilles, le salut des policiers.

Ces derniers, en voiture de l’autre coté du grillage leur demandent en haussant le ton, énervés par l’absence de réponse « ce qu’ils font ici ». Les deux ouvriers répondent qu’ils sont au travail,

en pause dans l’enceinte de l’usine.

Les policiers, vexés dans leur orgueils s’énervent alors : « plutôt que derrière le grillage de l’usine, tu ferait mieux d’être dans un zoo ». Alors qu’un des deux travailleurs leur demandent

« pour qui il se prend », le flic s’énerve et les insultes racistes fusent :


 » – sale bougnoule
- tête de macaque
- Retournez dans votre pays
« 

Y., un des deux ouvriers, est alors immédiatement embarqué sous les yeux médusés de ses collègues et sans opposer de résistance. Les flics l’accusent pourtant d’outrage et violences à agents

(un grand classique). Alors qu’il part sans avoir reçu le moindre coup, il arrivera tabassé au commissariat (15 jours d’ITT [1]).

« Ils m’ont tabassé 30 mètres plus loin et on est arrivé au commissariat comme si de rien n’était »

Le procureur de lyon est saisi de l’affaire depuis le 14 février, de même que la HALDE.

Sources : Le Progrès, 20 Minutes.

Notes

[1] 8 jours selon le progrès, 15 selon 20 minutes

[Lire le complément d’infos sur : rebellyon.info]

 

  • Un samedi à Givors

Publié le 28 février

Violences policières dans Police arton8592-ccf7f

 

Retour sur la manifestation pour exiger la vérité sur la mort suspecte de Farid Lamouchi et contre les violences policières à Givors, ce samedi 26 Février.

Probablement furieux de ne pouvoir intervenir sur les manifestants, les flics de Givors se sont rabattus sur un mariage, où des participants ont été gazés,

insultés et ont pris des coups de matraque et de taser, ainsi qu’une convocation en justice !

 

[Lire la suite sur rebellyon.info]


Publié dans Police, Racisme - Xenophobie | Pas de Commentaire »

« De chômeur à retraité, pauvre tu es, pauvre tu resteras « 

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mars 2011

Lu sur : publié par roland (webmaster) – 1er mars 2011

 

De chômeur à retraité, pauvre tu es, pauvre tu resteras

Auteur : SH - Source : Actuchomage

 

Hormis le soulagement de ne plus être « chômeur de longue durée », le senior qui liquide sa retraite n’est pas au bout de

ses peines car sa nouvelle compagne, la pauvreté, ne le quittera pas.



article1506eco13cnav dans PRECARITEPrenez un salarié moyen qui a commencé à travailler entre 18 et 20 ans et dont la carrière s’est déroulée normalement

jusqu’à ce que son employeur se débarrasse de lui, vers l’âge de 45 ou 50 ans, à l’occasion d’une « fusion restructuration » :

un licenciement économique (voire, une « rupture conventionnelle »…) lui a été proposé. Pour la première fois, le chômage

est entré dans sa vie et va durablement ponctuer son parcours professionnel entre les missions d’intérim ou les CDD qu’il

aura peut-être la chance de glaner par la suite, souvent pour un moindre salaire.

Depuis le « retournement conjoncturel 2001-2003″ qui a fait de nombreuses victimes et la crise de 2008 qui en a fait

davantage, ce phénomène devient monnaie courante : les « trous » dès le milieu puis jusqu’en fin de carrière sont de plus en

plus fréquents, de plus en plus longs, et le retour à la stabilité de plus en plus exceptionnel.

Imaginez que ce salarié soit une femme qui a déjà interrompu sa carrière pour élever un ou plusieurs enfants. Si cette femme a eu un bébé alors qu’elle n’était pas

en CDI, le manque de places en crèche (quand on est au chômage, on n’est pas prioritaire…) et le prix des assistantes maternelles est un sérieux frein au

retour à la vie professionnelle. Qu’elle ait pu reprendre un emploi à mi-temps ou rien du tout jusqu’à l’entrée de son enfant à l’école maternelle,

ce sont autant d’années perdues pour sa retraite. Sans oublier le plafond de verre qui la poursuivra, les discriminations dont elle fera l’objet, ou les écarts de

salaires avec ses homologues masculins.

Bienvenue en pauvreté !

Après 50 ans, les choses se compliquent : le marché du travail se referme. Après 55 ans, c’est la bérézina. Les allocations chômage se réduisent en montant et en durée,

puis on arrive en fin de droits. Si on peut justifier de cinq ans d’activité salariée sur les dix dernières années et qu’on vit seul, on a droit à l’ASS (environ 460 €/mois) qui

permet de continuer à valider ses trimestres; sinon, c’est le RSA… qui ne valide rien du tout. Peut-être a-t-on eu la chance d’ouvrir des droits à l’AER (environ 995 €/mois),

qui était attribuée automatiquement aux chômeurs de plus de 55 ans à l’ASS ou au RSA, avant que les réformes successives ne reculent inexorablement son accès,

puis ne la supprime. Imaginez le déclin financier. De travailleur gagnant environ 1.600 € (un salaire médian), on devient chômeur à 1.200 €, en alternant si possible les

petits boulots mal payés. Mais on réalise que c’était l’abondance quand on passe aux minima sociaux.

La retraite n’est pas une délivrance

Avec l’ASS, quel que soit le montant de son loyer, on a droit à une aide au logement forfaitaire de 298 €. Puis, pour des raisons de seuil, il faut attendre plusieurs mois avant

de pouvoir bénéficier de quelques droits connexes qui sauvent un peu la mise : la CMU, le tarif de première nécessité, la gratuité des transports… C’est raide, très raide,

mais il n’y a pas le choix : on s’adapte. On est, malgré soi, un pionnier de la décroissance.

Quand l’heure de la retraite sonne et qu’on n’a pas le courage d’attendre l’âge du mal nommé « taux plein », bien qu’on n’ait pas réussi à totaliser ses 40 annuités et que les

« 25 meilleurs années » ne sont franchement pas terribles, on pense malgré tout qu’on en aura plus pour vivre, le minimum vieillesse étant à fixé à 709 €/mois. Effectivement,

suite à de savants calculs au parfum de décote, on se retrouve avec une pension minorée de 800 €, soit près du double de ce que l’on avait. Mais les 350 € que l’on gagne

d’un côté, on vous les enlève de l’autre… Car les allocations logement fondent comme neige au soleil ; on n’a plus droit à la CMU et on doit se payer sa propre mutuelle 

alors que la santé commence à défaillir ;  pour bénéficier de la carte de transport Améthyste, il faut avoir plus de 65 ans ; même chose pour l’exonération de redevance

audiovisuelle. Au final, on est toujours aussi mal loti !

Pauvre on a été, pauvre on le reste. On est enfin débarrassé de Pôle Emploi et de l’étiquette infamante du « chômeur », mais on devient un misérable retraité.

Alors oui : depuis les Trente Glorieuses, la pauvreté a fortement reculé chez les personnes âgées et aujourd’hui, avec le chômage et la précarisation de l’emploi, ce sont nos

jeunes  qui en souffrent le plus, ce qui est révoltant. Cependant, l’appauvrissement de nos « anciens » est en train de revenir en force.

Bientôt, plus vite qu’on ne l’imagine, juniors et seniors seront à égalité, unis sous la même bannière.

SH

 

Publié dans Chomage, PRECARITE, RETRAITES | Pas de Commentaire »

Une nouvelle étoile brille et flamboie au firmament des stars

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 mars 2011

 

Annie Girardot  s’est éteinte hier à l’hôpital Lariboisière. Elle avait 79 ans.

 

Source photo : dazibaoueb

annie GirardotHommages

« C’était la plus grande actrice du cinéma français de l’après-guerre. Elle restera mon plus beau souvenir

de metteur en scène et mon plus beau souvenir d’homme. C’était une femme extraordinaire aussi bien

devant la caméra que derrière ». (Claude Lelouch)

 

«J’ai travaillé avec elle, je l’aimais infiniment… une colossale et magnifique actrice d’une générosité,

d’une présence, d’un tempérament, d’une nature originale et vraiment extraordinaire. (…)  Je retiendrai

d’elle que c’était quelqu’un qui avait un énorme caractère, une autorité terrible et puis une vie assez 

passionnée, assez tourmentée, quelqu’un d’extraordinairement attachant…. je trouve que c’est une grande

perte pour la profession…» (Robert Hossein)


«Annie Girardot est morte d’aimer, d’aimer passionnément et pleinement son métier. Le théâtre et le cinéma

auront été sa vie. Girardot inoubliable entre autres dans Rocco et ses frères, Docteur Françoise Gailland

Traitement de choc et plus récemment dans le rôle de la mère de La pianiste de Michael Haneke.

Merci Annie Girardot.» ( Christophe Girard)

 

« L’inoubliable interprète de Rocco et ses frères, de Mourir d’aimer s’en est allée. Elle a marqué son époque,

symbolisant de façon éclatante la femme des années 70 (…). Actrice de théâtre, chanteuse, travaillant pour

la télévision comme pour le cinéma, elle avait su marier avec talent popularité et exigence de qualité.

Jusqu’au bout, elle fut d’une  incroyable dignité malgré une terrible maladie qui s’attaque à ce qu’il y a

de plus terrible pour un comédien : sa mémoire » (Pierre Laurent)
 

Vidéorama : http://www.20minutes.fr/article/678165/cinema-annie-girardot-retour-carriere-video

 

http://www.dailymotion.com/video/x6xysg

http://www.dailymotion.com/video/x6xysg_annie-girardot-cesar-du-meilleur-se_shortfilms#from=embed


Annie Girardot, l’inoubliable (l’Humanité – 18 / 09 / 2008)

Image de prévisualisation YouTube

http://www.youtube.com/watch?v=ULR4J1J5Prs&feature=player_embedded#at=98

 

Publié dans Cinema, Hommages, Theatre | Pas de Commentaire »

 

ahmed remaoun |
Fabrice FRICHET |
LE BLOG EDUCATIF |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | ALGERIE/ PARTIS POLITIQUES/...
| MATTNA
| Bloc-notes de Raoul d'Andrésy