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Pas de « coup de pouce » pour le SMIC !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 3 décembre 2010

Site national du PCF3 décembre 2010

 

Le refus de l’Élysée d’augmenter le SMIC est insupportable

 

Pas de

Dans un rapport du ministère du Travail publié le 30 novembre, l’ensemble des experts sollicités ont préconisé de « limiter le prochain relèvement du Smic(…) à l’application des mécanismes automatiques légaux », autrement dit : pas d’augmentation sauf celle, dérisoire, qu’oblige la loi, soit 0,5% d’augmentation.

Pour la cinquième année consécutive, crise ou non, c’est toujours le même refrain qu’on sert à ceux qui n’ont presque rien pour vivre : « circulez, il n’y a rien à voir ».

Pourtant, l’année est très florissante pour d’autres… Au 1er semestre, les bénéfices des entreprises du CAC 40 ont enregistré une hausse de 86% par rapport à 2009 à la même période, soit 41,5 milliards d’euros. Ce refus têtu de l’Élysée de donner un coup de pouce aux plus démunis est insupportable !

Le PCF s’insurge contre le sort qui est fait à un Français sur dix payé seulement 1055 euros par mois ; soit 100 euros de plus que le seuil de pauvreté. Nous demandons une revalorisation immédiate de tous les salaires à partir du relèvement à 1600€ bruts du SMIC mensuel.

Parti communiste français

Souvenez-vous !

Image de prévisualisation YouTube

rosaparck2

http://www.youtube.com/watch?v=x4kWTjsr_nQ&feature=player_embedded

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Retaites complémentaires

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 décembre 2010

Source : CGT Maubeuge30 novembre 2010

L’UNION LOCALE CGT MAUBEUGE

SI LE CADRE DES NÉGOCIATIONS qui s’ouvriront en décembre est différent,

les enjeux sont les mêmes que pour le régime de base… Maintenir le niveau des prestations

   

Les négociations AGIRC et ARRCO :

nouvel affrontement en perspective sur les retraites

   

Les régimes complémentaires AGIRC et ARRCO sont de droit privé et gérés paritairement par le Medef, la CGPME et l’UPA d’une part, les cinq confédérations de salariés représentatives dans le secteur privé d’autre part.

L’évolution des paramètres de fonctionnement de ces régimes (valeur d’acquisition du point de retraite et valeur de service de ce point) qui conditionnent le niveau des droits à retraite complémentaire à court et moyen terme est fixée par des accords nationaux d’une durée ne dépassant pas cinq ans.

Le dernier accord signé, en date du 23 mars 2009, a simplement prorogé jusqu’au 31 décembre 2010 les dispositions en vigueur depuis le 3 novembre 2003 dans l’attente de la réforme des retraites prévue pour 2010.

Ces dispositions sont particulièrement défavorables pour les salariés, puisqu’elles font baisser mécaniquement au fil du temps le niveau des pensions complémentaires par rapport aux salaires, c’est-à-dire le taux de remplacement du salaire par la retraite complémentaire.

Cette baisse se répercute évidemment sur le niveau de la pension globale (pension de base plus pension(s) complémentaire(s)), et c’est pour les ressortissants du régime AGIRC qu’elle est la plus brutale car en moyenne les retraites complémentaires ARRCO et AGIRC représentent 60 % de leur retraite globale dont 40 % pour la seule retraite AGIRC.

Ces négociations vont s’ouvrir dans un contexte marqué à la fois par le rejet massif de la réforme Sarkozy par la grande majorité des salariés, cadres compris, et par une aggravation des besoins de financement de ces régimes, sérieusement affectés par la montée du chômage et la stagnation des salaires. Cette aggravation va servir de prétexte au Medef pour tenter d’imposer un accord générant de nouvelles baisses drastiques des droits à retraites complémentaires.

Par ailleurs, l’âge d’ouverture du droit à retraite sans abattement dans ces régimes est toujours resté fixé, même après 1983, à 65 ans. Le droit de pouvoir liquider sa retraite complémentaire avant 65 ans sans abattement sur le montant des pensions résulte de dispositions dérogatoires dépendant exclusivement de la signature ou non des accords nationaux. En clair, cela signifie qu’en l’absence de signature d’un accord d’ici le 31 décembre 2010, plus aucun salarié ne pourra plus, à partir du 1er janvier 2011, faire liquider avant 65 ans sa ou ses retraite(s) complémentaire(s) sans abattement sur leurs montants.

[Lire la suite sur : cgtmaubeugeenvirons.unblog.fr/]

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A lire sur « Basta ! »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 décembre 2010

Source : http://www.bastamag.net/

  • Energie

Vers une augmentation de 25% des tarifs de l’électricité ?

02/12/2010 – Nadia Djabali

A lire sur

 

Une nouvelle organisation du marché de l’électricité vient d’être adoptée par le Parlement. La révision des tarifs, au nom de l’ouverture à la concurrence, va se traduire par une augmentation du prix de l’électricité d’environ 10% dès 2011, et jusqu’à 25% d’ici à 2015. Collectivités locales, services publics et entreprises devront également payer plus cher leur électricité, ce qui aura des conséquences sur les impôts locaux et le prix de certaines prestations, comme les billets de trains.

[Lire la suite]

 

  • Ultra-droite

Ces députés UMP qui débordent le FN sur sa droite

01/12/2010 – Agnès Rousseaux

arton1317-a27dd dans POLITIQUE

 

Ils vantent le mérite, la famille et la patrie, proposent des camps de rééducation, veulent supprimer les 35h ou raccourcir le RSA, et parlent des banlieues comme des « zones de guerres tribales »… Ce ne sont ni des skinheads en crise existentielle, ni de vieux pétainistes aigris, mais des députés UMP membres d’un « Collectif de la droite populaire ». Gare à la montée de l’ultra-droite à la française.

[Lire la suite]

 

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DSK, socialiste ???

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 décembre 2010

Source : Le blog de Gérard Filoche – 27 novembre 2010 – Par Gérard Filoche

URL de l’article : http://www.filoche.net/2010/11/27/la-grece-la-democratie-et-dsk/

La Grèce, la démocratie et DSK

 

Aux dernières élections locales grecques, l’abstention et le vote blanc ont atteint des records : 54 % d’abstentions (alors que le vote est obligatoire, sous peine d’amende !) et 6 % de votes blancs ou nuls. A Athènes, l’abstention culmine à 66 % et le vote blanc à 11,6 %

15 % des suffrages exprimés sont allés aux partis de gauche qui, tel le KKE (le parti communiste grec), refusent l’austérité.

Les partis prônant l’austérité (de droite ou de gauche) ne totalisent donc que 34 % des suffrages des électeurs grecs inscrits : 40 % des suffrages exprimés dont il faut déduire les 6 % des électeurs inscrits ayant opté pour les partis de gauche refusant l’austérité.

Le parti de Papandréou, le PASOK recueille, au total, moins de 20 % des voix des électeurs inscrits. Ce sont les suffrages d’une partie du salariat qui a voté sans le moindre enthousiasme pour tenter de limiter la casse en sachant qu’une austérité de droite serait encore pire que l’austérité actuelle. Difficile, donc, de trouver un rejet plus massif de sa politique de soumission aux banques, aux spéculateurs, à l’Union européenne libérale, à un  FMI tout aussi libéral.

Normalement lorsqu’on est « social » et « démocrate », on ne peut qu’être attentif à un tel phénomène,  et le déplorer. Cela signifie un message clair du peuple horrifié par les manipulations de la droite et déçu par la gauche.

Ce n’est pas du tout la vision de DSK qui a déclaré, le 15 novembre, sur France Inter que « le gouvernement en place, avec le programme du FMI, a été compris par l’opinion et que l’opinion est derrière le gouvernement ». Ce n’est pas bien de mentir aux Français en spéculant sur leur ignorance des faits exacts sur la situation en Grèce : avec moins de 20 % des électeurs inscrits qui le soutiennent, DSK ne peut sérieusement faire croire que l’opinion grecque est derrière le gouvernement Papandréou !

Pourtant DSK va plus loin dans la déformation des faits : il  précise même « Ce n’est jamais arrivé que, malgré un programme aussi dur que celui que les Grecs sont amenés à supporter, on arrive à faire comprendre à la population que c’était nécessaire et que finalement, en majorité, elle soutienne le gouvernement en place ».

Le Parti Socialiste Grec, le PASOK, obtient moins de 20 % des suffrages des électeurs inscrits, 60 % des Grecs s’abstiennent ou votent blanc, mais, pour DSK c’est la majorité de la population qui soutient le gouvernement en place ! C’est une attitude qui n’est ni démocrate, ni sociale. D’autant que tout cela revient a donner raison « aux hordes des loups spéculateurs » qui ont pillé la Grèce comme ils pillent l’Irlande aujourd’hui.

DSK, l’Union européenne et la démocratie

Dans un discours, le 19 novembre à Francfort, DSK s’est prononcé pour une plus grande « intégration de l’Union européenne ».

Mais, pour DSK, cette intégration signifie encore moins de démocratie pour les institutions européennes qui en sont déjà pourtant très  éloignées. Le Parlement européen, la seule institution européenne élue au suffrage universel est aussi celle qui détient – et de loin- le moins de pouvoir. Toutes les autres, la BCE, la Commission, la Cour de justice, Les Conseils des Ministres n’ont qu’un rapport très lointain avec la démocratie et les comptes à rendre aux citoyens.

Dans ce discours, DSK prône « la création d ‘une autorité budgétaire centralisée, aussi indépendant politiquement que la Banque Centrale Européenne ». Il précise que cette « autorité fixerait les orientations budgétaires de chaque pays membre »

L’indépendance de la BCE est une fable. C’est devenu aveuglant avec la crise bancaire et celle des dettes publiques. La BCE est, certes, totalement indépendante des décisions démocratiques des citoyens. Elle est par contre, entièrement soumise à la volonté des « marchés financiers », c’est-à-dire des spéculateurs qui fixent, comme ils l’entendent, la valeur de l’euro. Une valeur pourtant décisive pour les exportations et la croissance. En Europe.

Instaurer une « autorité budgétaire » du même type, ce serait retirer aux États et aux parlements nationaux, élus au suffrage universel,  qui votent les budgets l’un de leurs pouvoirs essentiels. Et, ce pouvoir ne serait pas pour autant attribué à un organisme européen démocratique, mais à un organisme qui, comme la BCE, serait entièrement soumis aux « marchés financiers » ou aux spéculateurs, ce qui revient au même.

Comment peut on en arriver à prôner une forme de dictature incontrôlable par les citoyens quand on est républicain, démocrate et social ? Comment peut on ne pas rechercher une alternative à la spirale infernale qui plonge l’UE dans l’échec, l’euro aussi ? Car la récession, les austérités qui sabrent les droits et revendications des peuples pour les subordonner aux hold-up des banques, ce sont des voies que nous ne pouvons que combattre…

Comment DSK, membre et peut être candidat du Parti socialiste  peut il nous proposer un  pareil programme de subordination institutionnalisé aux diktats de la finance et à son cortège de spoliations, de chômage, de misère ?

 

HD Gérard Filoche publie sa chronique « Au boulot ! » dans

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« Qui est Strauss-Kahn ? »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 décembre 2010

Lu sur :

publié par roland (webmaster) – 2 décembre 2010

URL de l’article : http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=18227

Qui est Strauss-Kahn ?

 

Auteur : Raoul Marc JENNAR - Source : le blog de Raoul Marc JENNAR

 

Dominique Strauss-KahnL’actualité abonde de sujets. Les acteurs politiques et les évènements défilent. Un clou chasse l’autre, comme dit le proverbe. On oublie vite. Et les médias en tous genres en font chaque jour l’illustration. Or, depuis quelques temps, ces médias nous abreuvent d’articles et de sondages de nature à nous convaincre que Dominique Strauss-Kahn, s’il est candidat aux présidentielles, a toutes les chances de battre Sarkozy. Sans jamais nous rappeler ce qu’il a fait quand il était ministre de Jospin et ce qu’il fait à la tête du FMI. Bien entendu.

Qui sont ces médias ? Pour l’essentiel, les grands hebdomadaires de droite (L’Express, Le Point, Paris-Match, le Journal du Dimanche) et de la gauche libérale (Le Nouvel Observateur) et des quotidiens de droite comme Le Figaro ou La Tribune. Les sondages qui nous désignent déjà le prochain président sont commandés par des journaux de droite.

Il semble que les patrons de ces organes de presse (Lagardère, Dassault, …), déçus par l’actuel occupant de l’Elysée, préfèrent quelqu’un qui leur épargnera, espèrent-ils, grèves et manifestations. D’où la nécessité de nous présenter un candidat de la gauche dite moderne, dite réaliste, dite responsable.

Il me semble donc important de rappeler qui est celui qu’on invite avec tant d’insistance à soutenir, avant même que le PS ait choisi son candidat. Sans doute pour que ce choix soit celui du patronat. Pour ce faire, cinq sources utiles : le numéro du 24 avril 2010 de l’hebdomadaire Marianne avec un dossier intitulé « DSK mis à nu », l’article de Jean-Jacques Chavigné consacré au FMI de DSK dans le numéro 176 de juin-juillet-août du mensuel Démocratie et Socialisme, l’organe du courant du même nom au sein du PS, le livre de Vincent Giret et Véronique Le Billon, Les Vices cachés de DSK (Seuil, 2000), quelques chroniques que j’ai publiées en son temps dans un hebdomadaire belge ou sur ce blogue et, enfin et surtout, l’excellent dossier de François Ruffin paru dans le numéro 47 (automne 2010) de Fakir (encore en vente actuellement – contact@fakirpresse.info).

[Lire la suite sur : dazibaoueb.fr/]

(re)Lire sur notre blog (16 nov.) :

“Les sept péchés capitaux de Dominique Strauss-Kahn”

 

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Fin de CDD : des agents du public privés de ressources

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 décembre 2010

Fin de CDD : des agents du public privés de ressources  dans Fonction publique 1er décembre 2010 – Olivier Mayer

 

C’est un scandale !

Fin de CDD : des agents du public privés de ressources

 

Des précaires de 
la fonction publique attendent des mois 
le paiement de leurs

indemnités de chômage.

Ils se comptent par milliers, jetés sans ressources après avoir accompli un travail pour l’employeur public. D’anciens agents, embauchés en CDD dans la fonction publique d’État, les collectivités territoriales ou l’hôpital, sont obligés d’attendre de deux à cinq mois leurs indemnités de chômage après la fin de leur contrat.

C’est France Info qui a levé le lièvre hier, relevant le cas d’une ancienne salariée de l’Agence régionale de santé de Bourges qui, depuis la fin de son contrat, se bat pour obtenir ses indemnités. La plupart de ces anciens salariés, totalement privés de ressources, vivent un véritable cauchemar : interdits bancaires, impossibilité de payer des loyers…

Comment expliquer cette situation digne de Kafka ?

Les agents publics de l’État, des collectivités territoriales ou qui relèvent de la fonction publique hospitalière ne cotisent pas à l’assurance chômage comme les autres salariés. Normalement, la sécurité de l’emploi leur est assurée. Sauf que, depuis des années, la précarité des emplois publics explose. Sur les 5 millions d’agents des trois fonctions publiques, environ 1 million occupent des postes de non-titulaires, CDD courts, voire très courts, parfois saisonniers. Cette précarité est particulièrement importante dans la fonction publique territoriale : près d’un emploi sur trois dans les collectivités locales est exercé par un non-titulaire. Depuis 2001 et une application des 35 heures qui s’est faite sans création de postes en nombre suffisant, la précarité a également explosé dans la fonction publique hospitalière.

La question de l’indemnité des agents du public ayant terminé leur contrat se pose donc plus massivement. Ils doivent normalement s’inscrire à Pôle emploi, qui gère leur dossier de chômeur. Mais l’indemnité est à la charge de l’État. Compte tenu du nombre de cas, les retards administratifs s’accumulent et l’allongement des délais est considérable. «On ne nous fournit aucun élément pour dire que le nombre de cas explose ou que la situation est due aux difficultés de Pôle emploi, avoue Jean-Marc Canon, numéro un des fonctionnaires de la CGT. Il y a des années que la CGT soulève la question. En général, nous réglons sur le terrain les cas individuels.»

Comment ce problème pourrait-il évoluer ?

Georges Tron, secrétaire d’État à la Fonction publique, reconnaît que «cette situation est inacceptable» et que «l’État est responsable Il préconise «la simplification de la procédure administrative» : Pôle emploi pourrait à terme gérer tous les dossiers et se faire rembourser ensuite par l’État s’il s’avère que c’est à lui de prendre en charge l’indemnité. Pour Jean-Marc Canon, «l’accompagnement du salarié en sortie de contrat doit être prévu dès son recrutement». Reste que l’affaire révèle surtout le drame d’une précarité qui se généralise dans le salariat.

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Nouvelle connexion d’ »Article XI » avec l’au-delà

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 décembre 2010

Source : ARTICLE XI - 27 novembre 2010 - par JBB

Le Charançon Libéré 

Nouvelle connexion d'Un entretien avec J. Edgar Hoover, ça ne se refuse pas… L’autocrate taré, obsessionnel des écoutes, raciste pathologique et ennemi acharné des « rouges », a dirigé le FBI pendant un demi-siècle. Et il a littéralement construit l’agence de renseignement sur ses haines et ambitions. L’interlocuteur idéal, donc, pour évoquer la DCRI et son instrumentalisation politique.

 

J. Edgar Hoover :

« Quelque part, Bernard Squarcini est mon fils spirituel »

 

Entretien de l’au-delà

Ce n’est pas la première fois qu’Article11 établit des connexions avec l’au-delà. C’est même devenu une sorte de spécialité maison, les courriers post-mortem s’accumulant dans notre boite aux lettres. Pourtant, jamais encore nous n’avions été en contact direct avec un décédé. C’est désormais chose faite.

Quand J. Edgar Hoover – qui présida 48 ans durant aux destinées du FBI [1] – s’est matérialisé dans mon salon en braillant qu’il s’ennuyait comme un rat mort dans ses habits de spectre, j’ai vite oublié ma frayeur initiale pour me focaliser sur l’essentiel : faire parler l’infâme. Sujet : son regard de professionnel dévoyé sur la très décriée Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).

 

hooverflingue-00f56 dans POLITIQUE

Je voudrais quand même vous le dire, en préambule : au panthéon des pires salopards du XXe siècle, vous êtes l’un des mieux placés…

Mais j’en ai autant à votre service, mon petit ! Vous avez d’ailleurs de la chance que je ne sois plus en activité : je vous aurais réglé votre compte en deux-temps trois-mouvements. Avec moi, les gauchistes, coco et autres subversifs de trouble obédience ne la ramenaient pas, ils filaient droit. Heureusement, d’ailleurs : si je n’avais été là pour faire obstacle à leurs sombres agissements, l’Amérique serait rouge aujourd’hui et le Capitole s’appellerait Kremlin… Remarquez, avec Obama, l’Amérique est noire, ce n’est sans doute pas un progrès…

Nul besoin de rappeler l’immonde raciste que vous étiez, contentez-vous de répondre aux questions…

Quelle ironie… Avant, la question, c’est moi qui la pratiquais – et tout ce qui va avec : chantage, bastonnades, manipulations et autres intimidations. Mais bref… que voulez-vous savoir ?

J’aimerais votre avis d’expert sur ce service qui se veut, de la bouche même du ministère de l’Intérieur, un « FBI à la française ». Peut-on parler de filiation entre la toute récente DCRI, créée en 2008 [2], et votre FBI ?

Peuh… Votre Direction centrale du renseignement intérieur, ce sont des petits joueurs ; ils ont tant à apprendre, encore… Mais je le reconnais : quelque part, ils sont sur la bonne voie.

Comment ça ?

Tel que je le conçois, un vrai service de renseignements se doit d’être politique et autonome. C’est une nébuleuse se développant dans l’ombre, à la fois instrumentalisée par quelques hommes de pouvoir et en-dehors de tout contrôle.

Dans l’idéal, cette nébuleuse prend d’autant plus de latitudes avec la légalité qu’elle a étendu son emprise à toute la société. En un monde de contrôle, un service de renseignement efficace et viril – j’ai toujours détesté les invertis ! – est l’expression absolue de ce contrôle et sa négation même : personne ne contrôle les contrôleurs, hors un clan et ses intérêts personnels. Et encore…

[Lire la suite sur : article11.info/]licence

 

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DROIT À L’EAU

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 décembre 2010

Site national du PCF29 novembre 2010

 

DROIT A L’EAU : proposition de loi des parlementaires communistes

 

DROIT À L'EAU dans PCF

Suite à l’appel lancé par l’Observatoire des Usagers de l’Assainissement en Île-de-France (OBUSASS) et d’associations nationales, les parlementaires communistes ont déposé une proposition de loi visant à mettre en œuvre le droit à l’eau.

Pourquoi une nouvelle loi ? Le droit à l’eau proclamé par la loi de 2006 n’a jamais été appliqué.

L’article 1 précise : « l’usage de l’eau appartient à tous et chaque personne physique, pour son alimentation et son hygiène, a le droit d’accéder à l’eau potable dans des conditions économiquement acceptables par tous. » Mais depuis, rien n’a changé.

 

Le prix de l’eau n’arrête pas de grimper, alors que les salaires stagnent et que les loyers explosent.

Téléchargez la proposition de loi !

 

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Protection Judiciaire de la Jeunesse : Menaces sur la paye de décembre !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 décembre 2010

Le 25 novembre, le SNPES PJJ alertait les personnels sur les menaces qui pèsent sur la paye de décembre.

[Lire le tract sur : snpespjj-fsu.org/]

Aujourd’hui, c’est la CGT PJJ qui lance une alerte sur ce même sujet.

Extrait du mail syndical : salaires de décembre… URGENT alerte !!!
« le décret 2010-1458 paru ce matin au JO indique 0 euro au titre 2 pour la PJJ…

par contre 46 millions pour la pénit!!!

[...]

selon nos infos plusieurs DIR n’ont plus assez pour payer les salaires de décembre et attendaient une délégation qui devait suivre ce décret (…)Bref, alerte rouge… »

Comme le rappelle le SNPES dans son tract, en décembre 2009, beaucoup d’agents, notamment  des personnels de catégorie C , s’étaient retrouvés avec une paye incomplète. Pour info, les salaires de catégorie C sont, avec les salaires de certains contractuels, les salaires les plus faibles de la Fonction publique.

 

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Pour un grand 15 décembre européen

Posté par communistefeigniesunblogfr le 1 décembre 2010

Mot d’ordre de la manifestation européenne :

  »Non à l’austérité pour tous et aux bonus pour quelques-uns »

Source : http://www.etuc.org/fr

Pour un grand 15 décembre européen  dans Austerite santa

 

« Carte européenne de l’austérité »

logo

Éphéméride des bonus


 dans ECONOMIE 30 novembre 2010Olivier Mayer

 

Un 15 décembre anti-austérité

 

CFDT, CGT, FSU, Solidaires, Unsa s’inscrivent dans les décisions de la Confédération européenne des syndicats. Des initiatives et des rassemblements intersyndicaux devraient se tenir le 15 décembre dans les départements.

Les organisations syndicales CGT, CFDT, Unsa, FSU et Solidaires se sont retrouvées hier matin au siège de la CFDT pour une nouvelle réunion de l’intersyndicale. La CFTC, FO et la CGC en étaient absentes, comme lors de la réunion intersyndicale précédente. Il ne s’agissait pas, après la dernière journée le 23 novembre, d’annoncer de nouvelles actions prolongeant la séquence contre la réforme des retraites. La CGT, la CFDT, l’Unsa, la FSU et Solidaires ont décidé d’appeler en commun à des initiatives contre les politiques d’austérité en Europe, le 15 décembre.

Elles s’inscrivent ainsi dans la décision de la Confédération européenne des syndicats (CES) qui appelle, la veille du Conseil européen, à « une journée d’action décentralisée contre les mesures d’austérité et contre les bonus accordés aux traders, bonus qui ont fait des bonds spectaculaires». La CES soutient «les mouvements de protestation syndicale organisés un peu partout en Europe en réaction aux mesures d’austérité» qu’elle juge «corrosives autant pour l’économie que pour les citoyens».

«Nous sommes en désaccord total avec l’analyse qui prévaut au sein de l’UE que l’austérité est la bonne voie pour la relance, déclarait John Monks, secrétaire général de la CES le 27 octobre dernier. En fait, elle pourrait mener à la ruine. (…) Tout le monde s’est engagé dans les réductions, même les salaires réels et les pensions diminuent et cela entraîne une diminution de la demande pour les biens et les services. Il s’agit là d’une politique économique pro-cyclique qui risque de conduire à une profonde récession. »

Pour l’intersyndicale française, « il faut une relance économique tournée vers la satisfaction des besoins sociaux et respectant les impératifs écologiques. Cela nécessite une plus juste répartition des richesses, la réduction des inégalités, des investissements publics et privés, un renforcement des régulations de la finance et de l’économie ». Des initiatives doivent être décidées par les syndicats affiliés à la CES dans chaque pays. En France, CFDT, CGT, FSU, Solidaires, Unsa « interpelleront les décideurs politiques et économiques par des initiatives unitaires sur tout le territoire le 15 décembre 2010 ». La CGT, qui réunit aujourd’hui sa commission exécutive, devrait appeler à des rassemblements unitaires dans tous les départements.

L’intersyndicale a décidé par ailleurs de mettre à jour sa plate-forme revendicative du 5 janvier 2009 « au regard des enjeux de la période, que sont l’emploi, la protection sociale, la fiscalité, le pouvoir d’achat, les services publics… ». Une première réunion de travail aura lieu le 13 décembre à cet effet.

 

Ensemble pour un grand 15 décembre européen sur : cgt.fr/ (vidéo)

 

Source : FSU.fr

Communiqué de presse

Journée européenne du 15 décembre :

les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA interpellent

les décideurs politiques et économiques

Paris, le 29 novembre 2010

Dans le cadre de la journée de mobilisation de la CES « Non à l’austérité, priorité à l’emploi et à la croissance en Europe », les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA ont décidé d’interpeler le 15 décembre 2010, les décideurs politiques et économiques français, à la veille du sommet de l’Union européenne.

[Lire la suite sur : fsu.fr/]

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