Le dernier pastiche de « cui cui fit l’oiseau »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 29 novembre 2010
Source : Les divagations NRV de cui cui fit l’oiseau – 22 novembre 2010
Quand le camarade Dominique de Villepin vire sa cuti…
Humour et désastre.
Ce pastiche est à consommer accompagné d’un verre de « Cuba libre ».
Pour asseoir sa nouvelle image de
révolutionnaire irréductible, Monsieur
Dominique de Villepin commande un
treillis castriste chez Dior ® ainsi
qu’une barbe postiche en véritables
poils de talibans parsemés d’émeraudes
de chez Chaumet ©.
Photo choisies par Étienne Courgeotte, rédacteur en Chef.
Une interview d’Yvon Roufiole de la section Dassault n°1
Y R : Bonjour Monsieur de Villepin, je souhaiterai savoir…
DDV : Je vous arrête tout de suite appelez moi simplement camarade ou citoyen et tutoie moi, citoyen Roufiole.
Y R : Mais je n’ai pas l’habitude, camarade, dans mon milieu on vouvoie sa femme et ses enfants. Et puis si Monsieur Serge [ Dassault ] voyait ça… Je n’ose imaginer sa réaction , camarade Villepin !
DDV : Très bien, tu as enlevé la particule : tu as bien fait car je n’ai jamais été un aristocrate, ma particule est superfétatoire. Mes origines sont populaires, je suis issu de la plèbe, et j’en suis fier, camarade du Jivaro.
Y R : Comment se fait-il camarade, que du jour au lendemain, tu sois passé de la personnalité du grand bourgeois flamboyant et hautain à la posture du révolutionnaire épris de justice et de liberté pour le peuple ?
DDV : Citoyen Roufiole, j’ai décidé de prendre le maquis. Du haut de mon modeste Hôtel particulier du 17ème arrondissement de Paris, tel le Général de Gaulle dans sa tour de Londres, j’ai choisi de résister au Pétainisme transcendantal dont parle si bien le camarade Alain Badiou !
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