Howlin’ Wolf : « un homme dont l’âme ne mourra jamais »
Posté par communistefeigniesunblogfr le 30 avril 2010
Big Bad Howlin’ Wolf
Publié sur : ARTICLE XI – 24 avril 2010 – par Lémi
« On y entend un homme dont l’âme ne mourra jamais« . Voilà comment le grand Sam Phillips résumait la musique d’Howlin’ Wolf, monstre sacré du blues. C’était mérité. Mentor des Stones, précurseur de la gratte électrique, ululeur de compétition, le Wolf a tellement marqué le blues et ses descendants qu’il est salement casse-gueule de vouloir l’évoquer : comment tout dire ?
Big Bad Howlin’ Wolf
Public Image Unlimited / Vol. 37
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En clair, Howlin’ Wolf, Chester Arthur Burnett pour l’état civil, fait partie de ces légendes sacrées du blues pour lesquelles il est toujours difficile d’éviter les lieux communs [1]. Il a trimé dans les champs de coton, appris son art auprès de grands-pères légendaires (Charley Patton et Sonny Boy Williamson), galéré comme un beau diable dans son enfance… bref, tous les éléments du mythe du bluesman maudit, abonné aux bastringues et aux errances désargentées. Il le résume d’ailleurs au début de la vidéo ci-dessus : « Quand t’as pas une thune, que t’as pas de quoi payer ton le loyer ni nourrir tes gosse, bordel, bien sûr que t’as le blues [2]. »
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