• Accueil
  • > Archives pour le Mardi 20 avril 2010

Retraites : AUX SALARIÉS DE S’EN MÊLER

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

RAPSE : Réseau d’actions pour la sécurisation de l’emploi

 

Sommaire :
- La retraite, quel débat ?
- Quelques repères
- Les régimes de retraite existants
- Les retraites, un enjeu de civilisation
- La scandaleuse situation des retraites agricoles
- Retraite : les premiers débats

 

P1-165 dans RETRAITES

P3-71


P4-72

 

Télécharger

 

Publié dans PCF, RETRAITES | Pas de Commentaire »

Action urgente

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

http://amoureuxauban.net/

Courriel reçu le 20 avril 2010
 

Action urgente dans PETITION Bando_600x130_Action%20urgente

 

   

 

 

 

Libération et régularisation immédiates de Patricia!!!

 

Patricia John, de nationalité libérienne, vit en France depuis 7 ans. A la suite de son divorce avec un français avec lequel elle a été mariée pendant plus de trois ans, Patricia a perdu son droit au séjour en France. Le 15 avril dernier, elle a été arrêtée et conduite au centre de rétention de Cornebarieu en vue de son expulsion qui doit intervenir dans les prochains jours.

Depuis deux ans, Patricia a refait sa vie avec un français. Le couple était sur le point de déposer un dossier de mariage. Patronne d’un salon de coiffure très fréquenté à Castres depuis 3 ans, Patricia emploie actuellement une apprentie. Elle ne dispose plus d’aucune attache au Libéria, ses parents étant décédés et son unique sœur vivant en Angleterre.

Signataires de la pétition, nous nous indignons qu’un simple divorce suffise à entrainer une perte du droit au séjour et une expulsion du territoire français. 

Nous demandons la libération et la régularisation immédiates de Patricia afin qu’elle puisse épouser l’homme qui partage son existence depuis deux ans et qu’elle poursuive sa vie familiale et professionnelle en France.

Signez la pétition !!!!

Publié dans PETITION, Politique nationale, Sans Papiers - Immigration | Pas de Commentaire »

Gérard Filoche : « On peut payer les retraites dans ce pays! »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

Lu sur : Le blog de Gérard Filoche14 avril 2010

filoche1.jpg

interview dans « Metro » :

« On peut payer les retraites dans ce pays! »

 

Gérard Filoche, inspecteur du travail, est un ardent défenseur de

la retraite à 60 ans, arguments à l’appui

Photo : www.filoche.net

Gérard Filoche est l’auteur de « Les nouveaux carnets d’un inspecteur du travail » (éd. Gawsewitch, paru le 9 avril) et de « Une vraie retraire à 60 ans c’est possible », avec Jean-Jacques Chavigné (éd. Gawsewitch, parution le 16 avril)

Pourquoi ferait-on travailler les gens plus vieux alors qu’on a 25% de  jeunes au

chômage ?


Pourquoi êtes-vous opposé à un départ à la retraite après 60 ans ?

Mais pourquoi ferait-on travailler les gens plus vieux alors qu’on a 25% de jeunes au chômage ? Les statistiques de l’Insee sont très précises : l’espérance de vie en bonne santé dans ce pays, c’est 63 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes. Pour les ouvriers, c’est 59 ans. A partir de 55 ans, deux maladies sur cinq sont liées au travail. A partir de 60 ans, c’est trois maladies sur cinq. Donc 60-65 ans ce sont les plus dures années au travail et ce sont les plus belles années de la retraite ! Si on mord là-dessus, on enlève quelque chose de fondamental aux gens. Certes l’espérance de vie s’allonge mais si elle s’allonge, c’est bien parce qu’on a la retraite à 60 ans !

[Lire la suite sur : filoche.net/]

Publié dans ECONOMIE, POLITIQUE, RETRAITES, SOCIAL | Pas de Commentaire »

Retraites : Le PS évitera-t-il le consensus mou ?

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

LINA SANKARI

 

Retraites :

un test grandeur nature pour le Parti socialiste

 

Un groupe de travail présidé par Martine Aubry devrait être mis en place aujourd’hui. Le PS cherche à éviter le consensus mou en proposant un projet de société plus large.

Terrain glissant. Ragaillardis par la victoire des régionales, le Parti socialiste doit tenir le cap. En premier lieu, rassurer et rassembler à gauche grâce à l’élaboration d’un projet de société porteur. Aux citoyens, montrer qu’il est en mesure d’assurer l’alternance en 2012. Priorité politique de Nicolas Sarkozy en 2010, le débat sur les retraites pourrait faire perdre quelques plumes aux socialistes. Ne serait-ce que parce que certaines divergences sont déjà apparues.

JOUER LA RESPONSABILITÉ

C’est en premier lieu la question de la fiscalisation du système de retraite qui pose problème.

En 1990, le PS instaura la CSG au nom de la maîtrise comptable. Au nom du sauvetage du système, préconisera-t-il encore un nouvel impôt, quitte à ne pas chercher du côté des entreprises les ressources supplémentaires  ?

À la gauche du parti, Benoît Hamon propose d’élargir l’assiette de cotisations. « Elles sont calculées aujourd’hui sur la masse salariale, donc sur le nombre de salariés dans l’entreprise. Pour en améliorer le rendement, il faudrait que ces cotisations reposent sur l’ensemble de la richesse produite, c’est-à-dire sur la valeur ajoutée. »

De son côté, Laurent Fabius est prêt à renforcer l’étatisation du système en proposant une « contribution » des banques de plusieurs milliards d’euros sous forme de taxation.

Malgré sa proposition de taxer les stock-options, Manuel Valls, le député-maire d’Évry, évoque la mise en place d’un système de répartition « à la carte » sur la base de points de retraite « achetés individuellement ».

Sur la question de l’âge de départ à la retraite, certains, comme l’ancien premier secrétaire, François Hollande, jouent la partition de la « responsabilité  ». Il propose sans ambages d’« allonger la durée des cotisations à mesure que l’espérance de vie s’allonge » en revoyant la règle « tous les cinq ans » selon la durée de la vie et la pénibilité des métiers.

Manuel Valls, lui, ne renie rien des propos de François Hollande sur l’allongement de la durée des cotisations à 42 annuités à l’horizon 2020. « À défaut, dit-il, il nous faudrait augmenter les prélèvements sur les actifs […] ou diminuer le montant des pensions – ce qui n’est concevable pour personne. »

À l’inverse, pour l’eurodéputé Vincent Peillon, pas question de « remettre en cause la retraite à soixante ans et, pire encore, d’allonger la durée de cotisations  ». En clair, il s’aligne sur la position du bureau national de 2008, qui ne dit mot du financement (voir l’entretien avec Gérard Filoche).

SORTIR DES DIVERGENCES

La députée d’Indre-et-Loire Marisol Touraine, qui a préalablement rencontré les syndicats, voudrait que le PS s’empare de cette réforme pour engager une réflexion de fond : « La réforme des retraites ne repose pas uniquement sur la question du financement. Il s’agit de poser la question de l’accompagnement des salariés au fil des âges, de la souffrance au travail… » Élargir le débat pour noyer le poisson de la division ? Marisol Touraine redoute que le PS ne s’avance vers une position a minima du fait des divergences  : « Le consensus mou ne serait pas une bonne chose. Il faut de l’équité, on ne peut évidemment pas demander les mêmes efforts à un ouvrier qui a une espérance de vie de sept ans plus courte que celle d’un cadre. Tous les Français ont néanmoins conscience de la nécessité de la réforme, nous avons besoin d’une position solide. »

Sans doute, les tergiversations de Martine Aubry témoignent-elles de ces errements. En janvier dernier, elle avançait la possibilité d’aller vers un recul de l’âge de la retraite, avant de revenir sur sa position.

 

Publié dans POLITIQUE, RETRAITES | Pas de Commentaire »

Retrouvez L’Humanité en ligne

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

 

En raison d’une grève des salariés du syndicat du Livre, les quotidiens nationaux ne paraissent pas ce mercredi 21 avril.

Retrouvez par conséquent en ligne l’intégralité de votre journal

en PDF.

A la une : la Seine-Saint-Denis réagit au discours ultra-sécuritaire de Nicolas Sarkozy. Les contre-propositions des acteurs du département, interrogés par l’Humanité.

 

Pour visualiser votre journal, cliquez sur la vignette de une :

Document PDF - 1.6 Mo

Cliquez ci-dessous pour visualiser le supplément Communistes à l’Humanité du 21 avril 2010 consacré au Conseil national du 16 avril 2010

Document PDF - 546.4 ko


Publié dans Presse - Medias | Pas de Commentaire »

Retraites : « Une réforme qui n’envisage pas toutes les possibilités est une réforme faussée. »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

 

Le risque d’une paupérisation programmée des futurs retraités

 

Par Gérard Fonouni, professeur agrégé d’économie et de gestion.

Réforme du système social : quels sont les paramètres à prendre en compte ?

« Une réforme qui n’envisage pas toutes les possibilités est une réforme faussée. »

Depuis 1987 la question sur l’avenir des retraites fait débat. Aujourd’hui, hommes politiques, économistes et syndicats nous alertent sur l’impasse financière à laquelle nous conduit la situation actuelle des retraites. Le feuilleton de la réforme se poursuit tous les trois ou cinq ans, et la fin du sixième épisode est prévue pour l’automne 2010. Quels en sont les enjeux  ?

Conçu au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, notre système de retraite par répartition, selon lequel les retraites sont payées par les cotisations des actifs occupés, subit aujourd’hui des déficits considérables  : près de 10 milliards d’euros en 2010.

Plusieurs causes en sont à l’origine  : vieillissement démographique, allongement de l’espérance de vie, montée vertigineuse du chômage, précarité des emplois et croissance économique poussive. Ces variables démographiques et économiques aggravent le déficit du régime de retraite et compromettent son avenir.

Sa réforme est, certes, incontournable mais quels sont les paramètres à prendre en compte pour déterminer ses principales orientations  ? La réforme engagée tourne autour de deux axes  : l’allongement de la durée de cotisation et le prolongement de l’âge de départ en retraite au-delà de 60 ans. L’enjeu démographique reste toujours le déterminant substantiel des propositions comptables envisagées. Cette hypothèse démographique sert de base à la réforme des retraites pour justifier la nécessité de ces deux pistes.

Face à l’augmentation de l’espérance de vie et de l’arrivée massive de retraités des générations du baby-boom, augmenter la durée des cotisations permet de maintenir durablement le niveau de financement des caisses de retraite sous couvert d’une conjoncture économique favorable, ce qui n’est malheureusement pas le cas depuis la crise. En prolongeant la vie active, une telle mesure conduit inéluctablement les actifs ayant commencé à travailler après l’âge de 20 ans à prendre leur retraite à 63 ans ou 65 ans, voire même 67 ans. Or, selon la pénibilité de leur métier, la plupart de ces actifs ne pourront pas travailler au-delà de 60 ans et seront donc contraints de cesser leur activité avec des pensions réduites à défaut de durées de cotisation suffisantes.

Cette dégradation sociale fait courir le risque d’une paupérisation de plus en plus forte des futurs retraités et d’une accentuation des inégalités sociales entre les générations. Elle pénalise l’emploi des jeunes en maintenant encore plus longtemps les plus âgés dans la vie active, et affaiblit ainsi le ratio emplois-retraités. Alors faut-il au nom de la fatalité démographique continuer dans cette seule voie engagée depuis 1993 malgré un regain du taux de fécondité en France de 2,1 enfants garantissant le renouvellement des générations  ?

L’équilibre financier d’un système de retraite ne dépend pas seulement du paramètre démographique, d’autres sont en prendre en compte. Il ne fait aucun doute que la contrainte démographique pèse sur cet équilibre, mais l’évolution de l’emploi et de la croissance économique est déterminante pour la réduire.

Pourquoi ne pas les prendre en compte dans la réforme  ?

La réforme des retraites doit être juste socialement et soutenue économiquement par une politique de l’emploi privilégiant en priorité celui des jeunes et des seniors. Ce qui nécessite un changement radical de comportement des entreprises à l’égard des jeunes et des plus âgés. Or, tant qu’elles continueront à développer des emplois précaires pour les jeunes et favoriser les départs anticipés des seniors, l’avenir de notre système de retraite sera compromis. La question des retraites impose de faire un choix de politique économique et de solidarité sociale pour préparer la société de demain.

Pour la rendre plus juste, on peut envisager de calculer la durée de cotisation en fonction de la pénibilité des métiers. Il est juste d’attribuer des droits en durée selon le degré de pénibilité car il est possible dans certaines activités de travailler plus longtemps que dans d’autres. Cette flexibilité de la durée, tout en respectant globalement une moyenne de 40 années de cotisation, doit être associée à une véritable politique de l’emploi afin de maintenir un ratio emplois-retraités le plus élevé possible garantissant la pérennité de l’équilibre financier et le maintien du taux de remplacement autour de 80 %.

Avec une croissance économique plus soutenue et un taux d’emploi élevé, il sera plus facile d’augmenter les cotisations sans amoindrir le pouvoir d’achat des actifs et la compétitivité des entreprises, à condition qu’une partie de cette richesse supplémentaire produite profite davantage aux salariés. Ce n’est qu’à cette condition que notre système de retraite pourra relever le défi démographique. À défaut, la paupérisation programmée des futurs retraités pourrait inciter les jeunes générations à se tourner peu à peu vers la capitalisation.

 

Publié dans IDEES - DEBATS - PHILO, RETRAITES | Pas de Commentaire »

Bolivie : Conférence mondiale des peuples contre le changement climatique

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

Site national du PCF -  19 avril 2010

 

Le PCF participera à la conférence de Cochabamba

Bolivie : Conférence mondiale des peuples contre le changement climatique dans Amerique latine arton4741-e38b5

Du 20 au 22 avril 2010, le PCF participera à la première Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et les droits de la « Terre-mère » en Bolivie.

Après le sommet de Copenhague de décembre 2009, au cours duquel les États ont été incapables de conclure un accord juridiquement contraignant, l’existence d’une véritable dynamique citoyenne mondiale pour agir efficacement contre le réchauffement climatique est une nécessité absolue.

Il est urgent de renforcer le développement des campagnes publiques et populaires pour exiger la réduction d’émission de Gaz à Effet de Serre (GES), les changements de mode de production et de consommation. Ensemble, inventons un nouveau mode de développement humain durable, citoyen et solidaire qui assure le progrès social et l’accès effectif aux droits. Le capitalisme n’est pas écolo-compatible. Agir dans un même mouvement permet de réduire les inégalités environnementales et sociales. Les pays riches doivent régler leur dette écologique à l’égard des Pays en voie de Développement (PVD) et agir pour la justice sociale partout. La bataille menée avec succès en France contre la taxe carbone, car injuste et inefficace, est un point d’appui pour contrer les partisans du capitalisme « vert » qui cherchent à sévir dans le monde et singulièrement en Amérique Latine.

Le PCF portera la proposition de sortir l’eau, l’air, la terre et l’énergie du marché afin de les considérer comme biens publics et biens communs de l’humanité. Il proposera d’agir ensemble au niveau international afin que soient décidées une taxation des transactions financières et la réduction des dépenses militaires de 10% par an. Il s’agit de donner un nouvel élan à la démocratie avec de nouveaux droits d’intervention pour les citoyens et les salariés, de répondre à l’exigence de souveraineté alimentaire des peuples par l’instauration d’une clause de sauvegarde des terres et l’interdiction de la spéculation sur les matières premières agricoles. Un des défis majeurs du XXIème siècle est celui de nourrir la planète et c’est à cette mission que doivent être engagées les politiques agricoles dans toutes les grandes régions du monde.

Cette conférence doit jeter les bases d’un mouvement populaire mondial au service d’un mode de développement humain durable. Désormais, il est hors de question de laisser faire les gouvernements, notamment la France. Ne prenons pas le risque d’un échec catastrophique quant à la sauvegarde de la planète et les droits de la « Terre-mère ».

Une délégation du PCF sera conduite par Xavier Compain, responsable de la commission Agriculture du PCF.

 

**************************************

 A lire également :

La conférence bolivienne sur le climat : une lueur d’espoir après l’échec de Copenhague (hns-info.net)

 

Publié dans Amerique latine, Environnement, PCF | Pas de Commentaire »

Le patrimoine des Français peu touché par la crise ! Et si on le taxait!

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

PLUME DE PRESSE16 avril 2010 – Olivier Bonnet

 

Le patrimoine des Français peu touché par la crise ! Et si on le taxait! dans ECONOMIE rubon10-09bbe

Des caisses vides ? Des patrimoines à taxer !

http://www.plumedepresse.net/spip.php?article1395

 

Le clin d’oeil du jour de Guillaume Duval (Alter Éco)


Le Bipe,vénérable cabinet de « conseil en stratégie spécialisé dans la prévision économique et la prospective appliquée » (ouf), est affirmatif : « Le patrimoine des Français n’a été que peu touché par la « grande récession », mais il va dorénavant croître plus lentement« , annonce son communiqué de presse.

gdEt Guillaume Duval, rédacteur en chef adjoint de l’excellent magazine Alternatives économiques, de se lâcher sur le réseau social Facebook, nous offrant à la fin de l’envoi (il touche) une jolie Phrase du jour  : « Grâce au Bipe, nous voici rassurés : le patrimoine des Français (beaucoup plus inégalement réparti encore que leurs revenus) n’a pas vraiment fléchi du fait de la crise… On va donc pouvoir le taxer pour rétablir l’équilibre des comptes publics ;-) » (clin d’oeil en smiley inclus).

Holà camarade : pourquoi ne pas taxer aussi les revenus financiers, tant que tu y es ? Tu te crois en Corée du nord ? ;-)

 ***********************************

1269936341_AE290 dans POLITIQUE

Crise : ceux-qui-trinquent

Sommaire du numéro

 

 

Publié dans ECONOMIE, POLITIQUE | Pas de Commentaire »

Espagne : « la condamnation du juge Garzon serait « une nouvelle victoire de Franco ». » (Pedro Almodovar )

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

Publié sur : http://socio13.wordpress.com/ : « Changement de société »
Référencé par :   http://www.dazibaoueb.fr/

Le scandale espagnol, celui du juge Baltasar Garzón

par danielle Bleitrach

Publié 19 avril 2010

Espagne : Un véritable scandale juridico-politique secoue l’Espagne, il concerne le juge espagnol Baltasar Garzón. Celui-ci est célèbre internationalement pour avoir lancé en 1998, un mandat d’arrêt contre le général Pinochet, il est soumis aujourd’hui à trois procédures qui peuvent déboucher sur l’impossibilité d’exercer son métier. Mais l’affaire du juge Garzon dans une Espagne en crise est un tsunami qui fait voler en éclat la fiction de l’après-franquisme et de la démocratie.

Le 7 avril, il y a eu une décision du Tribunal suprême (la plus haute instance de l’ordre judiciaire espagnol) de traduire en justice Garzón pour prévarication, c’est-à-dire généralement un manquement d’un responsable à sa fonction mais dans ce cas il s’agirait du  fait d’ignorer une loi existante, en l’occurrence celle de l’amnistie de 1977, dans l’affaire des crimes de la répression franquiste.

Le 15 avril,le juge Garzon a été entendu par le Tribunal suprême pour corruption, escroquerie et prévarication dans l’ »affaire des conférences » données à New York entre 2005 et 2006, pour lesquelles il aurait reçu une somme de la banque espagnole Santander ; il lui est également reproché d’avoir classé une affaire concernant Emilio Botín, président du groupe Santander.

Cette « affaire » semble une manière de créer de la fumée sur un dossier qui déclenche un véritable scandale international, celui des crimes franquistes et des poursuites face aux investigations des juges. On monte de toute pièce un dossier aux relents financiers et qui n’a aucune preuve pour mieux tenter d’occulter le véritable procès qui est fait au juge, celui d’avoir refusé de tirer le rideau de l’oubli sur les crimes franquistes.

[Lire la suite socio13.wordpress.com/]

 

Publié dans Espagne, EUROPE | Pas de Commentaire »

RESF : « La Préfecture de Police : une fabrique à orphelins. »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 20 avril 2010

Source : Réseau Éducation Sans Frontieres

Communiqué RESF 19.04.2010

RESF :

 

« Le maintien de l’unité familiale est une règle immuable,

 générale, plus encore un droit qui s’applique à toutes les familles,

qu’elles soient ou non en situation régulière »

Eric Besson

 

La Préfecture de Police : une fabrique à orphelins.

 

Madame Thipphawan THONGKHAM, arrêtée lors d’un contrôle d’URSSAF sur son lieu de travail à Aubervilliers pour défaut de titre séjour, fait l’objet d’un APRF (arrêté préfectorale de reconduite à le frontière) de la Préfecture de Police de Paris notifié le 13 avril 2010. Elle est en rétention au CRA de Paris Cité depuis cette date.

Thipphawan THONGKHAM élève seule son petit garçon, de deux ans : Jean-Marc, né à Paris le 5 mars 2008. Ses parents se sont séparés depuis lors mais le père de Jean-Marc a, en plus,  été expulsé vers la Thaïlande, interdisant tout contact entre l’enfant et son père. Privé de père par la volonté de M. Sarkozy, il est maintenant privé de sa mère qu’il n’a pas vue depuis six jours et que le préfet de police envisage d’expulser à son tour !

[Lire la suite sur : educationsansfrontieres.org/]

 

Publié dans Sans Papiers - Immigration | Pas de Commentaire »

 

ahmed remaoun |
Fabrice FRICHET |
LE BLOG EDUCATIF |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | ALGERIE/ PARTIS POLITIQUES/...
| MATTNA
| Bloc-notes de Raoul d'Andrésy