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Une proposition communiste dans le cadre des élections régionales

Posté par communistefeigniesunblogfr le 28 janvier 2010

Article publié sur : http://www.pcfmontreuil.org/25 janvier 2010

 

Une proposition communiste pour un autre mode de développement régional :

la création d’un fonds pour l’emploi et la formation

 

Le mur de l’argent va-t-il remplacer le mur de Berlin ?

 

 Par Jean-Marc DURAND, économiste.

L’utilité sociale et économique du crédit, c’est-à-dire de l’argent que les banques ont en dépôt et qu’elles utilisent, est un enjeu nodal* de la construction d’un autre mode de développement.

Soyons clair ! D’où provient l’argent des banques sinon des salaires, des pensions et des retraites ? C’est donc votre argent, l’argent des salariés que les banques ont en dépôt et qu’elles utilisent aujourd’hui pour spéculer, alimenter la dérive financière de l’économie à la base de la crise que nous vivons. À ce titre, vous avez sans doute droit au chapitre, vous avez sans doute votre mot à dire l’utilisation que font les banques de voter argent.

Peut-être souhaiteriez-vous que cet argent soit utilisé pour développer l’activité économique et sociale de votre pays, de votre localité, de votre région. Bref que votre argent plutôt que d’engraisser les actionnaires participe à la création d’emploi, au développement de productions utiles et des services publics.

Les communistes avancent une proposition qui dès le niveau régional participerait à une réorientation de l’utilisation de l’argent dont disposent les banques. Il s’agit de la mise en place d’un Fonds régional pour l’emploi et la formation.

Ce fonds serait doté d’une partie des sommes affectées par les régions « au crédit d’action et de développement économique ». Il permettrait de prendre en charge tout ou partie des intérêts bancaires des emprunts consentis aux entreprises pour la sauvegarde et le développement de leur activité. Il serait un levier considérable pour réorienter l’action des banques vers le soutien à la production de richesses utiles et contre la logique de l’argent pour l’argent. Il serait placé sous le contrôle des salariés et des élus pour s’assurer de la finalité de l’aide accordée en fonction de sa traduction en termes d’emplois de qualité et de formation. Il serait le premier niveau d’un Fonds national pour l’emploi doté du montant des allégements de cotisations sociales accordées aux entreprises (30 Milliards €), lui-même partie prenante d’un pôle financier public chargé de développer ce nouveau crédit et constitué à partir de la Caisse des dépôts, de la banque Postale, d’Oséo, des banques coopératives et mutualistes et de banques nationalisées (BNP…).

Quelques chiffres pour remettre chaque chose à sa place :

-100 millions d’argent public permettraient de mobiliser 2,5 milliards de crédit bancaire à un taux de 4%.

- Charges sociales patronales : 145 Milliards € à comparer aux

- Charges financières des entreprises : 316 Milliards (taux d’intérêts et frais bancaires, rémunérations

des actionnaires, opérations financières).

 * nodal : qui constitue le noeud, le centre, le point essentiel du problème

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Politique industrielle de la France : D’autres choix sont nécessaires pour relever le défi

Posté par communistefeigniesunblogfr le 28 janvier 2010

28 janvier 2010

AUJOURD’HUI DANS L’HUMANITÉ

À la une dans l\'Humanité

Réindustrialiser la France, mode d’emploi

Par Pierre Ivorra

L’Humanité ouvre à sa façon le dossier de l’industrie, en prélude aux conclusions des travaux des états généraux de l’industrie engagés par le gouvernement.

 

Un dossier spécial de huit pages .

Les états généraux de l’industrie s’engagent dans leur dernière phase. Lancés il y a trois mois par le gouvernement, ils vont accoucher d’un rapport qui sera remis au gouvernement. Fin février, le président de la République annoncera des mesures.

Que peut-on attendre de ce cérémonial ? La France a besoin d’une nouvelle politique industrielle. Il y a effectivement le feu. Qu’on en juge. Entre 2000 et 2008, 500 000 emplois industriels ont disparu et la saignée s’est aggravée avec la crise. Fin septembre 2009, l’industrie française a perdu, en un an, près de 180 000 emplois. Selon l’Insee, elle devrait encore en perdre 63 000 au premier semestre 2010. Parallèlement à ce « détricotage » du tissu humain, on assiste à une détérioration de la position de l’industrie française dans le monde.
Pour autant, la France reste une grande puissance industrielle. Dans une série de domaines, elle joue dans la cour des grands. Qu’est-ce donc qui ne va pas, alors ? On peut remarquer que même les secteurs modernes réduisent l’emploi. On recherche de nouveaux gains de productivité contre l’emploi et les salaires, on exporte des capitaux, on délocalise, on licencie et on précarise pour tenir son rang à la bourse, servir de copieux dividendes aux actionnaires.

D’autres choix sont nécessaires, que le rapport au gouvernement se garde bien d’explorer. Il propose ainsi « d’inscrire les évolutions du coût du travail en France dans une perspective de compétitivité », c’est-à-dire de baisser le coût du travail. Il s’agit, au contraire, de conduire une grande politique sociale, d’assurer de bonnes formations débouchant sur des emplois stables avec de bons salaires, de sécuriser l’emploi et la formation. Et, parallèlement, de réduire le coût du capital. Cette réorientation n’est pas qu’une mesure de justice, elle est imposée par les nouvelles technologies. Ce qui fait la force d’une industrie aujourd’hui, ce n’est plus tant l’accumulation de machines, que la capacité des salariés à utiliser ces nouveaux outils. Il faut réindustrialiser sur de nouvelles bases.

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 A lire également :

Face-à-face entre Christian Estrosi et Daniel Paul

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Haïti : Interview de Jean Lavalasse

Posté par communistefeigniesunblogfr le 28 janvier 2010


Publié sur :  dazibaoueb.fr – 28 janvier 2010

« Le rôle des ONG en Haïti soulève beaucoup de questions »

Auteur : MAUD BELLON - Source : Investig’action

 

Jean LavalasseInterview de Jean Lavalasse, photographe et documentariste haïtien résidant à Bruxelles depuis le début des années 70. Il participera à une soirée de soutien à Haïti, le samedi 30 à Bruxelles (détails à la fin de l’interview) 

PAR MAUD BELLON pour Investig’Action – michelcollon.info

Comment qualifieriez-vous la situation avant le séisme qui a touché Haïti ce 12 janvier 2010 ?

La situation était simple, nous étions sous occupation… et ce, depuis que Jean Bernard Aristide fut expulsé vers l’Afrique du Sud. Le gouvernement de René Préval était censé être mis en place pour effectuer une transition démocratique après Aristide.  Mais nous avons connu trois impérialismes, ce que certains appellent  l’IFAC : Impérialisme Français Américain Canadien. 

[Article complet : dazibaoueb.fr/]

 

Publié dans Grandes Antilles, IDEES - DEBATS - PHILO, POLITIQUE | Pas de Commentaire »

Grippe A : « fausse pandémie » ?

Posté par communistefeigniesunblogfr le 28 janvier 2010

Bruno Odent

Grippe A : une aubaine pour les labos  ?

La commission santé du Conseil de l’Europe a démarré hier ses auditions sur les réalités de la pandémie. Malaises et soupçons autour d’une psychose bien orchestrée.

Strasbourg, envoyé spécial.

La grippe A n’était-elle finalement qu’une « fausse pandémie »  ? Et la psychose développée à son sujet n’avait-elle pour but essentiel que d’engraisser des laboratoires pharmaceutiques qui ont pu jouer de l’influence qu’ils exercent au sein de l’OMS et dans les administrations des grandes puissances pour sonner l’alerte sur toute la planète  ? C’est à ces questions que va s’efforcer de répondre l’enquête déclenchée par le Conseil de l’Europe, sous l’impulsion du député allemand Wolfgang Wodarg, dont nous avions révélé, dans notre édition du 7 janvier, l’impressionnant dossier à charge. (voir ci-dessous)

[Lire la suite]

Grippe A. Le dossier à charge du député Wolfgang Wodarg

Grippe A. Un ministère de la Santé sous influence

 

Humour

Vu sur dazibaoueb.fr - 18 janvier 2010 - publié par roland (webmaster)

L’UMP tue beaucoup plus que la grippe A

Auteur : H e l d e r - Source : Sarkozynews

8,5% des adhérents UMP seraient morts en 2009 selon F. Lefebvre

 

http://www.dailymotion.com/video/xbu5ao

 

 

Publié dans ECONOMIE, POLITIQUE, Propagande - Desinformation, SANTE | Pas de Commentaire »

Il ya 65 ans, l’armée soviétique libérait le camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. …

Posté par communistefeigniesunblogfr le 28 janvier 2010

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les 65 ans de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau

DW-WORLD.DE

27 janvier 1945 : la libération du camp d’Auschwitz


65 ans après, on a encore du mal à comprendre comment et pourquoi le régime hitlérien et ses plus hauts responsables ont commis un crime sans équivalent dans l’Histoire.

Séquences audio et vidéo sur le sujet

 

 

Auschwitz-Birkenau :

 

1 300 000 déportés de 25 nationalités

1 100 000 morts

dont 960 000 Juifs

70 000 à 75 000 Polonais

21 000 Tziganes

15 000 prisonniers de guerre soviétiques

10 000 à 15 000 détenus d’autres nationalités

Source : Franciszek Piper, historien du musée d’Auschwitz

 

Auschwitz : trois camps nazis

Auschwitz est un important carrefour ferroviaire de la Haute Silésie. Il est situé à moins de 60 kilomètres de Cracovie, ancienne capitale du royaume de Pologne jusqu’au XVIe siècle.

Auschwitz est composé de trois camps à l’intérieur d’une zone d’environ 40 km2. A trois km du camp initial, une ancienne caserne, le camp d’extermination de Birkenau. Aménagé à partir de 1941, il fut le lieu principal du génocide des Juifs. Conçu initialement pour accueillir des centaines de milliers de prisonniers soviétiques, Birkenau fut transformé en « usine de mort » pour les Juifs au printemps 1942, alors que fonctionnaient déjà les autres centres d’extermination de Belzec, Chemno, Sobibor et Treblinka, situés également sur le territoire de la Pologne d’avant-guerre. Le troisième camp, celui de Buna, alimentait en main-d’oeuvre l’usine de produits chimiques de l’IG Farben.

L’arrivée des soldats soviétiques

La déportée, Macha Speter-Ravine raconte :

La porte de notre enfer s’ouvre !

Extrait :

Samedi 27 au matin : un calme étrange nous enveloppe. Soudain, Adolphe accourt nous annoncer qu’il a vu des Soviétiques à la porte du camp. Nous nous précipitons dehors. Deux soldats barbus et boueux sont devant nous. Nous nous jetons à leur cou et nos larmes jaillissent. Ils se sont battus six jours et six nuits sans répit avant de nous atteindre.
Avec eux, une vie nouvelle commence. Les Soviétiques font creuser des fosses et enterrer les cadavres. On en transporte une partie à Auschwitz pour autopsie. Des vivres et des médicaments apparaissent. Les malades sont transférés au camp central d’Auschwitz dans des voitures à cheval où on les installe à deux ou trois. Nous les suivons.
Birkenau est déserté. Désertée, cette terre imprégnée de sang, de larmes et de traces des pas des millions de martyrs que le monde n’a pas le droit d’oublier !
Les Polonais, les Russes, les Hongrois, tous ceux qui le peuvent, rentrent chez eux. Mais la guerre n’est pas finie et la route de notre rapatriement reste coupée. De notre plein gré, nous décidons de continuer à soigner nos malades sous la direction des médecins de l’armée rouge. Nous travaillons ainsi deux mois au bloc 19 d’Auschwitz, avec un groupe de détenus français. Les Soviétiques entourent les malades de soins attentifs, nourrissent les plus gravement atteints avec des plats envoyés du mess des officiers. De nombreux malades peuvent quitter le Revier en voie de rétablissement.

Au mois de mars, les autorités militaires soviétiques font des obsèques grandioses et symboliques à toutes les victimes de la barbarie hitlérienne exterminées dans le camp d’Auschwitz et ses annexes. On transporte ensuite les grands malades dans les hôpitaux de Katowice. Nous y allons également dans un dernier convoi.
Aux derniers jours d’avril, on nous annonce que notre rapatriement est imminent. Nous quittons Katowice avec de nombreux prisonniers de guerre français qui y sont rassemblés. Arrivés à Odessa, on nous embarque, le 3 mai, sur un paquebot norvégien dont l’équipage est anglais. A Marseille, nous avons eu la joie inoubliable de retrouver le sol français. C’est le 11 mai 1945.

Le Monde, 28 janvier 1985

Auschwitz : les cartes

http://memorial-wlc.recette.lbn.fr/nm_fset.php?lang=fr&ModuleId=46&ArticleId=14&MediaId=1

(en anglais mais facile à comprendre ; cliquez sur « start » pour lancer la vidéo)

Camps de Concentration nazis en Europe

(Source : http://lycees.ac-rouen.fr/malraux/resistance/camps.html#carte)

Il ya 65 ans, l'armée soviétique libérait le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. ... dans HISTOIRE cartecamps

 

Regard sur l’extermination - Réalisation Bernardgui

Image de prévisualisation YouTube

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