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Environnement : GDF Suez nominée au « Public Eye Awards » 2010

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

Publié sur : Survivalfrance.org/ - 15 janvier 2010

La multinationale française GDF Suez en butte à la critique internationale

Le barrage de Jirau sur le Madeira devrait déplacer des milliers de familles riveraines et menacer une région d'une exceptionnelle diversité biologique.

Le barrage de Jirau sur le Madeira devrait déplacer des milliers de familles riveraines et menacer une région d’une exceptionnelle diversité biologique.

La multinationale française GDF Suez en butte à la critique internationale pour son rôle majeur dans la construction d’un barrage controversé en Amazonie brésilienne

GDF Suez a été nominée au ‘Public Eye Awards’ 2010 couronnant l’entreprise la plus irresponsable en matière d’environnement.

© Survival

Une coalition d’organisations de la société civile du Brésil, de France et des États-Unis a adressé cette semaine une lettre à M. Gérard Mestrallet, président de GDF Suez, dénonçant la participation de sa compagnie à la construction du barrage hydroélectrique controversé de Jirau, sur le rio Madeira, en Amazonie brésilienne.

[Article complet : survivalfrance]

Lire la lettre adressée à M. Gerard Mestrallet

Voter en ligne pour GDF Suez au Public Eye Awards

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Communiqué RESF Paris

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

Réseau Éducation Sans Frontières

13 janvier 2010

Communiqué resf75

PARIS SOLIDAIRE DES LYCÉENS SANS PAPIERS !

Pictos - Jeunesse sans-papiers jeunesse volée 2


Du 13 au 26 janvier 2010, 505 panneaux publicitaires de la capitale seront revêtus des affiches de la campagne nationale initiée par le RESF à Orléans en janvier 2009 : « Jeunesse sans papiers, Jeunesse volée, La loi doit changer ! »

Voir les panneaux dans les rues parisiennes

Voir l’affichage effectué en Essonne par le Conseil Général en septembre 2009.

[Lire le communiqué]

Un dossier complet sur la situation des jeunes majeurs sans titre de séjour est disponible sur le site du RESF : http://resf.info/rubrique593.html

 

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Communiqué de la Cimade

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

Publié sur : La Cimade.org/

14 janvier 2010 |

Exécutions de mesures d’éloignement pour des familles : un avis alarmant de la CNDS

Saisie par André Vezinhet, député de l’Hérault, à la demande de La Cimade, la Commission Nationale de Déontologie et de la Sécurité a rendu public le 14 décembre 2009 son avis et ses recommandations sur les conditions de mise à exécution des mesures d’éloignement touchant deux familles conduites au centre de rétention de Nîmes en avril 2009.

L’avis de la CNDS est accablant pour les forces de l’ordre : violation de domicile…déploiement de force disproportionné….auditions et notifications de droit sans interprète….présence des enfants occultée dans la procédure….faux procès verbal.

Les faits : en avril 2009, dans le cadre de la mise à exécution de mesures d’éloignement prises par le préfet de Haute Saône, les gendarmes interpellaient au petit matin à leur domicile les membres de deux familles tchétchènes, qu’ils conduisaient immédiatement au centre de rétention….de Nîmes, à plus de 500 km ! Sur décision du Juge de la détention et des libertés, qui relevait les nombreux manquements au droit et qui s’interrogeait sur le sens de la présence d’un nourrisson de moins de 3 mois au centre de rétention, les deux familles étaient libérées.

La Commission demande donc que des poursuites disciplinaires soient engagées contre les officiers de police judiciaire ayant procédé aux interpellations.

[Lire la suite]

Télécharger l’avis de la Commission nationale de déontologie de la sécurité 

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Jeunesse : Génération sacrifiée ?

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

L’HUMANTÉ – 18 janvier 2010 – GRÉGORY MARIN

Jeunes précaires, un sous prolétariat

 

Ils mettent entre huit et onze ans à décrocher un CDI. Peu ou pas payés, les jeunes en intérim, CDD ou stagiaires, vivent dans la plus grande précarité. Pour faire pression sur l’ensemble du salariat, gouvernement et patronat tentent de les y maintenir.

Une série d’enquêtes toute la semaine dans l’Humanité. (1/5)

« La jeunesse est discriminée économiquement, désocialisée culturellement et sous-représentée politiquement. » Le ton est donné par Olivier Galland, chercheur du groupe d’études des méthodes de l’analyse sociologique, dans le Journal du CNRS de septembre 2009 qui consacrait un dossier à « la longue route vers l’âge adulte ». Il existe une catégorie pour qui cette route est encore plus longue. « 1,7 million de jeunes vivraient dans cette “zone grise” de la précarité », estime Mathieu Angotti, directeur du département évaluation du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc). La dénomination « jeunes précaires » englobe les 18-25 ans, étudiants- salariés, salariés à temps partiel, en CDD, intérimaires, diplômés, voire surdiplômés en stage rémunérés 30 % du smic ou non, etc. Les catégories se superposent mais la réalité est toujours la même : la galère.

Benjamin Pruvost, la vingtaine, travaille en intérim depuis qu’il a dix-huit ans. En septembre, il témoignait dans l’Humanité de la précarité de cette situation, qu’il a pourtant choisie. « Vous vous plaignez, on vous vire ! Vous êtes trop lent, trop faible, pas prêt à faire des heures sup’ ? On vous vire ! Vous refusez trop souvent des missions ? L’agence ne vous rappelle plus. Le travail intérimaire n’offre aucune garantie (d’embauche, donc de salaire à la fin du mois), aucun droit (de grève, par exemple). En définitive, pour le patronat, l’intérim, c’est la soumission de la main-d’oeuvre pour plus de profit : de l’esclavage moderne. » Constat sans appel, souligné par un sondage Ifop de novembre 2008 : « 48 % des intérimaires ont moins de vingt-cinq ans. » Sans surprise, les femmes et les ouvriers souffrent encore plus : 50 % des femmes entrent sur le marché du travail en signant un CDD (contre 36 % des hommes), et 73 % des ouvriers débutent en CDD ou en intérim (contre 50 % pour les cadres). « Les conditions d’embauche se sont dégradées, souligne le Monde du 3 octobre 2009. Cinquante-quatre pour cent des jeunes ont signé un CDI en 2009, contre 61 % en 2008. » Et seulement « 64 % ont accédé au statut de cadre, contre 70 % en 2008 ». Pas étonnant qu’en 2008 – et la tendance se conforte –, seulement « 25 % des jeunes Français (étaient) pleinement convaincus que leur avenir (serait) prometteur », au plus bas des scores de toute l’Europe, selon une étude de la Fondation pour l’innovation politique.

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Élections régionales : mode de scrutin

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

Source : Wikipédia

Élections régionales : mode de scrutin dans Elections regionales 300px-Mode_de_scrutin_%C3%A9lections_r%C3%A9gionales_fran%C3%A7aises

Le mode de scrutin pour les élections régionales de 2004 a été défini par la loi du 11 avril 2003. Il s’agit d’un scrutin proportionnel à deux tours avec prime majoritaire.

Les principales dispositions du mode de scrutin sont :

  • Les citoyens élisent les conseillers régionaux :
    • pour six ans, au scrutin de liste,
    • selon un système mixte combinant les règles des scrutins majoritaire et proportionnel, en un ou deux tours,
    • sans panachage ou vote préférentiel, tout bulletin modifié en quoi que ce soit par un électeur étant déclaré nul.
  • Lors du premier tour de scrutin,

    • si une liste obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, elle obtient le quart des sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis à la représentation proportionnelle entre toutes les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages.

    • sinon, il est procédé à un second tour la semaine suivante.

Conditions d’accès au second tour

  • Toutes les listes ayant obtenu plus de 10 % des suffrages exprimés au premier tour peuvent se maintenir au second tour de scrutin et éventuellement fusionner avec les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages.

  • Pour pouvoir fusionner avec une liste qualifiée pour le second tour, il faut donc obtenir plus de 5 %.

Attribution des sièges au second tour :

  • Au second tour, la liste qui arrive en tête obtient le quart des sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis à la représentation proportionnelle entre les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages exprimés au second tour. (voir schéma ci-contre)

magnify-clip dans POLITIQUE

 

La loi oblige chaque liste à comporter autant d’hommes que de femmes.

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Gesticulations pour Renault, silence assourdissant pour ST Ericsson de Colombelles

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

CÉCILE ROUSSEAU

Quand l’État lâche une entreprise de pointe

Derrière les gesticulations de Sarkozy à propos de Renault, le gouvernement se garde bien d’intervenir dans d’autres dossiers. Le cas du site de recherche ST Ericsson, un fleuron des nanotechnologies près de Caen, est exemplaire. Là-bas, tous les appels des ingénieurs surqualifiés sont restés lettres mortes.

« Le président prétend intervenir pour éviter la délocalisation de la production de Renault, pourquoi ne fait-il rien pour nous ? » La question brûle les lèvres des salariés de l’entreprise ST Ericsson. Depuis juin 2009, le site de Colombelles, près de Caen (Calvados), est sous le coup d’un plan social : 114 ingénieurs qualifiés dans la recherche et le développement (R&D) de semi-conducteurs dans la téléphonie mobile sont poussés vers la sortie. D’après la CFDT du site, 150 postes ont été créés dans un centre R&D à Bangalore, en Inde, et une dizaine de postes à Austin, au Texas, pour y délocaliser leurs activités.

Comme pour la marque au losange, la France est actionnaire, au travers d’Areva et à hauteur de 13,75 %, de STMicroelectronics, l’entreprise qui détient 50 % de ST Ericsson. Cette dernière est le fruit de l’union de STMicroelectronics et d’Ericsson, en février 2009. En France des sites ST Ericsson existent au Mans, à Rennes, à Grenoble… Ce mariage a pourtant accouché d’un plan de restructuration mondial de 2 300 postes.

Mais ce qui frappe les ingénieurs, c’est l’attitude du gouvernement : il reste aux abonnés absents. « L’État est membre du comité de surveillance à titre d’actionnaire, il possède un droit de réserve et de blocage pour éviter les licenciements  », explique Frédéric, élu CFDT au CE de ST Ericsson. Pourtant, les compétences de l’entreprise dans la R&D sont reconnues et sont présentées comme stratégiques pour le pays. Le ministère de l’Économie, de l’Industrie et l’Emploi a versé 380 millions d’euros à STMicroelectronics, dans le cadre du plan de financement des nanotechnologies, Nano 2012, lancé en avril 2009 par Christine Lagarde.

L’entreprise a aussi profité de réductions fiscales, de crédit impôt recherche en 2009 à hauteur de 200 millions d’euros. « STMicroelectronics cultive une politique de récupération maximale des aides publiques », constate un salarié de ST Ericsson. STMicroelectronics figure aussi comme l’une des candidates favorites éligibles du grand emprunt.

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Comment ils ont ruiné Haïti

Posté par communistefeigniesunblogfr le 18 janvier 2010

LE GRAND SOIR Journal militant d’information alternative17 janvier 2010

 

Avant et après le séisme

Comment ils ont ruiné Haïti (Counterpunch)

Ashley SMITH

photo : www.thewe.cc

Comment ils ont ruiné Haïti dans Grandes Antilles arton9820-137e4

Extrait :

 

Alors que la majorité des gens ont réagi à cette crise en cherchant comment fournir de l’aide ou faire un don, le fanatique de la Droite Chrétienne (US), Pat Robertson, s’est distingué par une déclaration raciste abjecte. Il a expliqué que les Haïtiens étaient maudits parce qu’ils avaient signé un pacte avec le diable pour se libérer de l’esclavagisme de leurs maîtres français lors de la révolution haïtienne, il y a 200 ans.

Les grands médias ont expliqué que le séisme avait été provoqué par un glissement de plaques tectoniques le long d’une faille située sous la capitale de Port-au-Prince, et que la misère et l’impuissance du gouvernement Préval avaient amplifié le désastre. Mais ils n’ont pas tout dit.

« La couverture médiatique du séisme se caractérise par une déconnexion quasi totale entre le désastre et l’histoire sociale et politique d’Haïti », explique le militant de la solidarité avec Haïti, le Canadien Yves Engler. « Ils répètent que le gouvernement n’était pas du tout préparé pour faire face à une telle crise. C’est vrai. Mais ils n’ont pas expliqué pourquoi. »

Pourquoi est-ce que 60 pour cent des bâtiments à Port-au-Prince étaient mal construits et dangereux, même dans des conditions normales, selon le maire de la capitale ? Pourquoi n’y a-t-il pas de réglementation sur les constructions dans une ville située au-dessus d’une faille ? Pourquoi est-ce que la population de Port-au-Prince est passée de 50.000 habitants dans les années 50 à 2 millions de miséreux aujourd’hui ? Pourquoi l’état a-t-il été totalement dépassé par les évènements ?

Pour le comprendre, il faut examiner une deuxième ligne de fracture – la politique impériale des États-Unis à l’égard d’Haïti. Le gouvernement des États-Unis, les Nations Unies, et d’autres puissances ont aidé la classe dirigeante haïtienne à soumettre le pays aux plans économiques néolibéraux qui ont appauvri les masses, provoqué des déforestations, ruiné l’infrastructure et rendu le gouvernement impuissant.

La ligne de fracture de l’impérialisme US a amplifié la ligne de fracture géologique et a transformé une catastrophe naturelle en une catastrophe sociale.

[Article complet : Le Grand Soir.info/]

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