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Cimade Languedoc : Régularisation pour les 19 Afghans de Nîmes !

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

Message de la Cimade Languedoc

Merci de diffuser cette pétition à vos ami(e)s…        
Cimade Languedoc : Régularisation pour les 19 Afghans de Nîmes ! dans Sans Papiers - Immigration afghans

Au titre de la réparation nous demandons la régularisation

pour les 19 Afghans de Nîmes!

 

Dix-neuf demandeurs d’asile afghans, « évacués » de la « jungle » de Calais le  22 septembre  dernier ont été placés en centre de rétention à Nîmes puis libérés par le juge des libertés  et de la détention le 28 septembre à minuit.

Depuis, avec l’aide d’associations et de citoyens, ils multiplient les démarches pour pouvoir  déposer leur demande d’asile.
Renvoyés de la préfecture du Gard à celle de l’Hérault, après être  passés par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), ils attendent toujours  de pouvoir accéder à une procédure d’asile normale .La préfecture de l’Hérault exprime son acharnement  en voulant les placer délibérément dans une procédure expéditive dans laquelle ces afghans ne pourront  pas faire valoir leurs droits.

Le ministre de l’Immigration, Eric Besson a été aussi sollicité, par diverses associations, en vain…

 

Nous signataires de la présente pétition, dénonçons vivement le non-respect du droit d’asile et des  droits fondamentaux de ces migrants.

Empêcher ces Afghans de demander l’asile dans des conditions normales :
- C’est, les priver des conditions d’accueil décentes qui devraient leur être garanties et  les mettre en situation d’échec.
- C’est, les renvoyer vers les passeurs de la « jungle »,
- C’est,  préparer leur expulsion vers un pays en guerre et en pleine insécurité.


Nous signataires de la présente pétition demandons, en réparation des nombreux manquements  aux droits de la part de l’État, la régularisation inconditionnelle des 19 Afghans de Nîmes afin   qu’ils puissent bénéficier de l’asile en France.

 Signez la pétition ICI

 

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Roselyne Bachelot et ses chers vaccins

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

Accueil 30 octobre 2009 – Sophie Verney-Caillat

H1N1 : Bachelot sort les contrats des labos mais efface les prix

Le ministère de la Santé laisse filtrer les accords passés pour la fabrication de vaccins. Les sommes à payer ont été effacées.

Après avoir longtemps revendiqué le secret autour des contrats sur les 94 millions de doses de vaccins contre la grippe A/H1N1, le ministère de la Santé a fini par autoriser leur publication. Mais partielle, puisque les montants totaux et les montants des doses ont subi un coup de Tipp-Ex !

[Lire la suite sur : rue89.com/]

 

Audition de Roselyne Bachelot devant les sénateurs le 29 septembre 2009

http://www.senat.fr/bulletin/20090928/soc.html#toc3

« Cette préparation nécessite un effort financier global important d’environ 1,5 milliard d’euros. L’Eprus supporte l’essentiel des dépenses d’acquisition et de gestion des moyens de protection de la population : ses dépenses non prévues dans la programmation budgétaire initiale pour 2009 sont évaluées à 876 millions d’euros, dont 808 millions pour les vaccins, pour un total de dépenses estimé à 1,136 milliard. Les marchés ont été négociés de façon collégiale par le directeur général de l’Eprus, le président du comité économique des produits de santé (Ceps), et le directeur général de l’agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Au 1er janvier 2009, l’Eprus disposait de 421,9 millions d’euros en autorisations d’engagement et de 365,1 millions en crédits de paiement. L’avance consentie par l’agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss), pour un montant maximum de 879 millions, a permis à l’établissement d’engager l’achat des vaccins et des consommables - seringues et containers de gestion des déchets - et de couvrir les coûts de gestion des stocks. En conséquence, et pour respecter l’obligation de financement paritaire de l’Eprus par l’Etat et l’assurance maladie, il sera nécessaire de réviser les dotations initiales de cet établissement.

Par ailleurs, la prise en charge du coût de l’indemnisation des professionnels de santé réquisitionnés dans le cadre de la campagne de vaccination entraînera des dépenses supplémentaires de soins de ville estimées, à ce stade, à 240 millions d’euros pour l’assurance maladie, montant susceptible de varier en fonction du rythme effectif de délivrance des vaccins et des catégories de personnels libéraux et salariés mobilisés pour vacciner.

Les dépenses liées à la mise en place du dispositif de suivi de la campagne de vaccination par la Cnam, pour la conception et la réalisation des bases informatiques et les frais d’acheminement des courriers aux personnes à vacciner, sont estimées à 53 millions d’euros. Ces coûts pourraient être pris en charge par l’assurance maladie à partir d’un redéploiement au sein du fonds national de prévention, d’éducation et d’information sanitaires (FNPEIS).

D’autres dépenses résulteront vraisemblablement de la préparation à la lutte contre la pandémie : organisation territoriale de la campagne de vaccination, mobilisation des personnels administratifs qui participeront au fonctionnement des centres, location des locaux lorsque ceux-ci ne seront pas mis à disposition par les collectivités territoriales. Ces coûts ne relevant pas du champ sanitaire, ils ne seront pas pris en charge par l’assurance maladie ou les crédits du ministère de la santé. »

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Communiqué de presse du Syndicat de la Magistrature

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

Syndicat de la MagistratureSyndicat de la Magistrature.org/

 

29 octobre 2009

Lettre ouverte à ceux qui feignent de croire en l’indépendance du parquet

 [...]

Mesdames et Messieurs les représentants du pouvoir exécutif, Messieurs les hauts procureurs,

Par vos déclarations angéliques tout entières au service d’un projet politique d’asservissement de la justice, vous contribuez, avec l’autorité qui est la vôtre, à mystifier le peuple français. 
[...]

Vous avez une conscience aiguë, aux fonctions qui sont les vôtres, de la duplicité de votre discours. Vous percevez parfaitement l’un des enjeux principaux de votre réforme, qui est d’anéantir l’une des principales garanties du système pénal actuel, et de contrôler sans réserve toute la justice, alors même que vous savez que son indépendance a été pensée au bénéfice du peuple et non à celui de ses juges.

[...]

Il est aujourd’hui très difficile qu’une affaire sensible prospère devant un tribunal correctionnel lorsque le parquet ne l’a pas souhaité. Demain, avec la suppression annoncée du juge d’instruction, il faudra un miracle. Mais tout cela, vous le savez, puisque c’est essentiellement dans cet objectif que vous l’avez décidée.

 

Communiqué de presse du Syndicat de la Magistrature dans Justice pdf

Lettre ouverte à ceux qui feignent de croire en l’indépendance du parquet

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Double peine pour les travailleurs de l’amiante ?

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

L’Humanité – 29 octobre 2009 - Fanny Doumayrou

Malades de l’amiante ? Préretraites amputées !

Le Ministère du travail projette de revoir 
à la baisse l’allocation des travailleurs 
de l’amiante.

Il n’y a pas de petites économies, c’est pourquoi le gouvernement prépare une attaque contre les travailleurs frappés par l’amiante. Dans un projet de décret, dénoncé à la fois par la CGT et l’Association nationale des victimes de l’amiante (Andeva), le ministère du Travail prévoit de réduire l’assiette servant de base de calcul pour la préretraite amiante. Depuis 1999, les salariés ayant été exposés à l’amiante, ou bien malades de l’amiante, peuvent prétendre, dans certaines conditions, à une préretraite à partir de cinquante ans, financée par la caisse accidents du travail-maladies professionnelles de la Sécurité sociale. Le montant de l’allocation (ACAATA) correspond à 65% du salaire brut calculé sur les douze derniers mois, ce qui occasionne déjà une perte de revenu importante. Or, dans leur zèle pour faire des économies, certaines caisses de Sécu prenaient l’initiative d’exclure de l’assiette de calcul des sommes perçues par le salarié lors de son départ de l’entreprise, notamment des indemnités pour des jours de congés payés ou de RTT non pris, ou bien cumulés dans des comptes épargne-temps. Comme des salariés avaient contesté ce procédé devant les tribunaux, la justice a tranché en leur faveur  : en décembre 2007, la Cour de cassation a statué que tous ces éléments doivent être pris en compte dans l’assiette de calcul.

L’objectif du gouvernement est de balayer cette victoire. Dans son rapport au premier ministre, le ministère du Travail explique qu’il n’est pas « légitime » que ces indemnités interviennent dans le calcul de l’ACAATA, car « cela revient à accroître de manière injustifiée le salaire de référence calculé sur les douze derniers mois ». Le décret limiterait donc le salaire de référence aux rémunérations « qui présentent un caractère régulier et habituel ». Exit la jurisprudence. Des primes versées ponctuellement sur la dernière année pourraient aussi être exclues de l’assiette, craint l’Andeva. « Cela peut représenter jusqu’à 150 ou 200 euros de moins chaque mois », s’indigne René Le Bourvellec, secrétaire CGT de la fonderie SBFM dans le Morbihan, où une quarantaine de salariés par an partent en préretraite amiante. « Ce décret, c’est la double peine pour ces salariés. S’ils ont la possibilité de quitter l’entreprise plus tôt, c’est parce qu’ils risquent de tomber malades très rapidement. On risque de voir certains renoncer à partir à cause du montant trop faible. » Didier Payen, militant CGT et préretraité de l’usine Valeo de Condé-sur-Noireau (Calvados), déplore  : « Sur 700 collègues partis en préretraite depuis 1999, il y a 25 ou 30 morts par an, souvent avant soixante ans. Et on nous reproche de coûter trop cher  ? »

L’Andeva et la CGT demandent le retrait du projet de décret. Le syndicat organise un rassemblement le 6 novembre devant le ministère du Travail.

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Pour que les salariés de La Poste ne connaissent pas le sort de leurs collègues de France Télécom…

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

Accueil du site Alternatives Economiques 2 novembre 2009 – Philippe Frémeaux

Pour que les salariés de La Poste ne connaissent pas le sort de leurs collègues de France Télécom... dans ECONOMIE 1256650926_AE285

alternatives-economiques-special-web dans Politique nationale

Après France Télécom, La Poste ?

Dans le débat actuel sur l’avenir de La Poste, l’histoire de France Télécom mérite d’être rappelée. Sa transformation s’est faite au prix d’une grande souffrance pour ses salariés. Afin d’éviter le même sort à ceux de La Poste, il faut développer une vraie gestion des emplois et des compétences, et demander à l’État d’en assumer le coût.

Le Sénat entame cette semaine l’examen du projet de loi qui prévoit la transformation de La Poste en société anonyme. Pour rassurer les syndicats et la gauche, qui y voient un premier pas vers la privatisation, le ministre de l’Industrie, Christian Estrosi, promet d’introduire une disposition rendant l’entreprise publique « imprivatisable ». Mais ce qu’il faut surtout, c’est donner à La Poste les moyens de se développer sur un marché de plus en plus concurrentiel. A défaut, le choix entre privatisation et marginalisation s’imposera tôt ou tard, quelles que soient les garanties données aujourd’hui.

L’expérience de France Télécom est à cet égard riche d’enseignements. Sa transformation s’est faite au prix d’une grande souffrance pour ses salariés. Afin d’éviter le même sort à ceux de la Poste, il faut développer une vraie gestion des emplois et des compétences, et demander à l’État d’en assumer le coût.

[Article complet : Alternatives économiques]

 

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« Un nationalisme de conviction qui hante une partie de la droite sarkozienne »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

Publié sur : Politis.fr/jeudi 29 octobre 2009

Si l’on s’y prend bien, on peut, en une ou deux générations, construire une nation de parfaits salauds, dépourvus de toute morale personnelle, mais connaissant admirablement l’hymne national.

Éditorial  

Douce France

par Denis Sieffert

Quand tout va mal, en France, que fait-on ? Quand le chômage explose, que les suicides se multiplient dans les entreprises, que les scandales se succèdent en haut lieu, que les mensonges d’État rendent incrédule la Terre entière, que la discorde s’insinue jusque dans les antichambres du pouvoir, que fait-on ? Eh bien, on ouvre un « grand débat sur l’identité nationale ». Ou, si vous préférez, on s’en prend aux Arabes. Je sais bien, il ne faut pas le dire ainsi, ni aussi crûment. D’autant plus que les « Arabes » sont aujourd’hui parfois maliens ou roms ou afghans… Mais, au fond, c’est bien de cela qu’il s’agit. En annonçant, lundi, le prochain lancement d’un « grand débat » dont l’agora sera la préfecture et la sous-préfecture, Éric Besson entreprend une opération de diversion somme toute classique.

[Article complet : Politis]

A lire également sur : http://www.altermonde-sans-frontiere.com/ :

Qu’est-ce qu’être Français ?

lundi 2 novembre 2009
par Makhlouq 

Avant chaque grand rendez-vous électoral, le même sujet, sous différentes formes, est remis en lice. Le nationalisme réapparaît. Véritable Protée, il porte différentes toges, invitant chaque Français à revenir à des valeurs dites « fondamentales » mais qui n’ont aucun fondement puisqu’elles ne reflètent en rien la République… digne fille de la Révolution française. Besson, initiateur du débat sur notre identité, après avoir changé de veste, opterait-il pour le retournement de son pantalon, sinon de sa culotte ? Tenterait-il de rechercher la sainte verge au Front National, après avoir perdu son innocence avec l’UMPire ?

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Publié dans Politique nationale, Propagande - Desinformation, Racisme - Xenophobie | Pas de Commentaire »

Combat, Solidarité et Victoire des salariés de Plus-Net

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

 Il était une fois un combat, de la solidarité… et une Victoire !

Image de prévisualisation YouTube

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Exposition : « We want Miles »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

 L’Humanité.fr – 2 novembre 2009 – Victor Hache

 Dans la nuit bleue de Miles Davis

Avec We want Miles, la Cité de la musique rend hommage au génial trompettiste de jazz à travers une expo-concert éblouissante.

Le beau visage de Miles Davis se donne à voir ces jours-ci à la Cité de la Musique. We Want Miles, est une exposition absolument magnifique en cela qu’elle parvient à nous « montrer » la pensée musicale d’un des plus grands créateurs du jazz contemporain.
Dans des ambiances feutrées de jazz club, l’expo retrace le parcours du musicien né en 1926 à St-Louis (Illinois), qui a longtemps gardé en mémoire la tornade qui balaya la ville peu après sa naissance : « peut-être suis-je encore animé par son souffle puissant » disait Miles. Doit-on y voir les raisons de son amour pour cet à instrument à vent qu’est la trompette ?

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miles dans Musiqe

 

 Jusqu’au 17 janvier, Cité de la Musique

22 avenue Jean Jaurès Paris 19è.

Rens : 01 44 84 44 84

Vidéo : Visite guidée de l’exposition sur :

http://www.dailymotion.com/video/xategh_exposition-miles-davis_news

Site : www.citedelamusique.fr 
 

 

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France Télécom-Orange : une « politique d’économies forcées sur les coûts humains »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 2 novembre 2009

PIERRE IVORRA

À la une dans l\'Humanité

France Télécom-Orange : une

Le roman noir des killers de France Télécom

Depuis 2000, le groupe a liquidé le tiers de ses effectifs français mais, pour la seule année 2008, il a versé 3,4 milliards d’euros à ses actionnaires. L’entreprise a été déstabilisée et le personnel traumatisé par la nouvelle religion du chiffre.
Comment en est-on arrivé à un tel désastre humain ?

 

Un jour d’octobre 2009 dans une agence France Télécom du centre de la France. D’un coup de feutre impérieux, devant son personnel réuni peu avant l’ouverture des locaux, le responsable de l’agence inscrit sur un tableau blanc les résultats commerciaux de la veille. Il exulte : « On est les meilleurs, on est des killers, les concurrents, on va les tuer, et les gens de l’agence de Limoges, on va les b… »
Pierre Vars, un dirigeant national du syndicat Unsa-CGC de France Télécom assiste à la scène incognito. Il ne pipe pas mot, enregistre. Il était venu pour discuter avec un collègue qui, depuis quelque temps, rencontre des difficultés faute de réaliser ses objectifs, il a droit à une leçon de choses. « On est des killers », certes, mais qui tue-t-on au bout du compte ? Pas seulement les concurrents. Les coûts d’abord, mais quels coûts ?
Les coûts humains, surtout. En 2008, le total des dépenses de personnel du groupe en France et à l’étranger est à peine supérieur à ce qu’il était en 2000 alors que le chiffre d’affaires a augmenté de près de 60 % ! En neuf ans, de 2000 à 2008, 17 000 emplois ont été supprimés dans le monde, près de 50 000 en France. Il s’agit de la plus importante restructuration dans une entreprise de l’Hexagone après celle de la sidérurgie, dans les années soixante-dix et quatre-vingt !

Comment ce « joyau » de la République, fer de lance français de la future société de la connaissance, comment l’entreprise qui a réussi à numériser 100 % du réseau téléphonique français dès 1980, donnant ainsi à la France une avance considérable sur de nombreux pays européens, en est-elle arrivée là ?

[Lire la suite sur l’Humanité.fr]

 France Télécom histoire d’une privatisation

• Sous le gouvernement Rocard, la loi du 2 juillet 1990 met fin à l’administration des PTT et crée deux établissements publics autonomes, La Poste et France Télécom (FT).

• La loi du 29 décembre 1990 réduit le monopole de FT à la téléphonie fixe et aux cabines publiques.

• Sous le gouvernement Chirac, deux lois du 26 juillet 1996 sont adoptées. L’une transforme FT en SA de droit privé, dotée d’un capital majoritairement détenu par l’État. L’autre supprime le monopole de FT. • En octobre 1997, le gouvernement Jospin décide d’ouvrir le capital de FT, la part de l’État dans le capital du groupe est alors de 76,8 %. Elle va progressivement diminuer. En juin 2007, elle n’est plus que de 27,41%.

• 1er janvier 1998, ouverture du marché européen à la concurrence. • En 2003, FT déclare ne pas pouvoir faire face aux échéances de remboursement de ses dettes. 
Le gouvernement Raffarin décide d’une recapitalisation du groupe, l’État apporte 9,2 milliards d’euros.

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