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Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

 

« La liberté d’une démocratie est en danger si le peuple tolère l’emprise

croissante de puissances privées au point où elles possèdent plus de

pouvoir que l’État démocratique lui-même.

C’est l’essence même du fascisme – la mainmise sur le gouvernement

d’un individu, d’un groupe ou de tout autre pouvoir de contrôle privé. »

- Franklin D. Roosevelt

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Travail de forçat dans le métro…

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

Article paru dans l’Humanité du 16 octobre

par Marie Barbier

 Métro, boulot, exploitation…

Une vidéo amateur révèle les conditions de travail scandaleuses de sans-papiers affectés à la rénovation du métro parisien.

« Y a pas de soleil sous la terre… » chantait Gainsbourg, qui s’imaginait en poinçonneur des Lilas. Sous terre, les gars qu’on croise et qu’on ne regarde pas, ce sont aussi ces salariés sans papiers qui, la nuit venue, rénovent les stations de métro parisiennes. Pour être vus, ils se sont filmés avec un appareil photo numérique, en train de travailler. C’était l’été dernier, à la station de métro Porte-de-Saint-Ouen.

http://www.dailymotion.com/video/xat2l5

 

Les images sont floues, mais pas assez pour qu’on ne puisse voir l’inimaginable : des ouvriers en baskets et capuche, un simple gilet jaune fluo sur le dos, portant à même la tête des plaques de béton (de 30 à 70 kg) et maniant le goudron en fusion avec des gants de jardinage… Quand il a vu la vidéo, Hervé Goix, de la CGT, en a eu « les larmes aux yeux » : « C’était viscéral. Voir des gens travailler comme ça, en 2009… Sans casque, ni chaussures de sécurité, maniant des produits toxiques et brûlants. Un travail de forçat. » Depuis lundi, vingt-trois de ces salariés ont rejoint le mouvement de grève et d’occupation des travailleurs sans papiers pour exiger leur régularisation. « On en a marre de travailler comme ça, souffle Sékou, Malien de trente-quatre ans, en France depuis 2001. Ils profitent de nous parce qu’on est sans papiers. On travaille parfois douze heures d’affilée, sans pause, pour 80 euros la nuit. »

[Suite de l’article sur le blog de Marie Barbier]

 

Publié dans Luttes, Sans Papiers - Immigration, SOCIAL | Pas de Commentaire »

Avec Nicolas Sarkozy, la Françafrique se veut « décomplexée »

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

Publié sur : http://ugtg.org/ (Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe)

Comment une poignée d’entreprises françaises pillent l’Afrique

Le message de l’Association SURVIE

Françafrique

Diplomatie élyséenne, entreprises françaises et dictateurs africains : la Françafrique se veut « décomplexée » avec Nicolas Sarkozy. Les mécanismes du pillage systématique des ressources africaines tournent à plein régime au mépris du développement économique et démocratique de l’Afrique.

L’impérialisme économique, un système hérité de la période coloniale

La colonisation de l’Afrique avait notamment pour objectif l’exploitation des matières premières du continent qui, transformées en métropole (NB. Africamaat a l’habitude d’éviter ce mot « métropole » et lui préfère « France hexagonale »), permettaient la satisfaction des besoins de celle-ci et l’enrichissement de ses entreprises, tout en procurant à ces dernières d’importants débouchés.

[...]

Les poids lourds du CAC 40 ou les plus grandes fortunes de France sont présents en Afrique :

B. Arnault (LVMH), Bouygues, Bolloré, Pinault (CFAO), Seillière (Bureau Véritas), J. Saadé (CMA-CGM), R. Zaleski (Eramet), Lafarge, TOTAL, Technip, Vinci, Véolia, BNP Paribas, Natexis, Crédit Agricole, Alcatel, Gaz de France, Michelin, Alstom, Air-France-KLM, … liste non exhaustive à laquelle il faudrait rajouter les marchands d’armes par exemple.

[Article complet]

Complément d’infos :

http://survie.org

Publié dans AFRIQUE, Politique nationale | Pas de Commentaire »

Greenpeace : Actions contre le crime climatique des sables bitumeux

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

Vu sur : bellaciao.org/fr/

Greenpeace investit des stations service Total dans 11 villes françaises

pour dénoncer l’exploitation des sables bitumineux

 

Greenpeace : Actions contre le crime climatique des sables bitumeux dans Environnement total-6-bfa42

17 octobre 2009 – À 50 jours de la conférence de Copenhague sur le climat, Greenpeace dénonce partout en France un criminel climatique et environnemental : le groupe Total.

Les bénévoles des groupes locaux de Greenpeace ont investi des stations essence de la compagnie dans onze villes de France (Paris, Lyon, Marseille, Nancy, Bordeaux, Rennes, Strasbourg, Lille, Toulouse, Perpignan, Grenoble), ce matin à partir de 10h. L’opération vise à informer le grand public et les clients de Total sur l’activité menée par le groupe pétrolier français sur les sables bitumineux : distribution de tracts, banderoles, visuels géants dénonçant la « destruction durable » et montrant l’impact sur l’environnement de la manière la plus sale et la plus chère de produire du pétrole, un crime à quelques semaines de la conférence de Copenhague.

Dans l’optique de Copenhague, Greenpeace dénonce les criminels climatiques

[Lire la suite sur : bellaciao.org]

 

http://www.dailymotion.com/video/xapxcf

Total investit dans l’extraction des sables bitumineux, une catastrophe écologique et un non-sens à l’heure où la lutte contre les changements climatiques est plus que jamais d’actualité !

En savoir plus sur les sables bitumineux >

Une campagne dénonçant Total a été également lancée sur Internet :  http://www.greenpeace.fr/destruction-durable/

 

Publié dans Environnement, INFOS | Pas de Commentaire »

17 octobre 2009 : Journée Mondiale du refus de la misère

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

Message de la CGT – France


 

Comme chaque année, la CGT est partie prenante de la journée mondiale de lutte contre la misère. Les jeunes, les personnes privés d’emploi, les familles monoparentales, les travailleurs pauvres et migrants, les retraités, sont les plus vulnérables dans ce contexte de crise.

 

Plus que jamais les forces syndicales ont à se mobiliser et à agir au quotidien avec celles et ceux qui sont durement frappés par les inégalités, les discriminations et toutes les formes de précarité. La misère constitue pour ceux qui la subissent une violation des droits de l’enfant et de l’homme. C’est pourquoi, ce 17 Octobre 2009 la CGT tient à exprimer, aux côtés des organisations engagées dans le combat contre la misère, sa solidarité avec les millions de femmes, d’hommes et d’enfants qui résistent chaque jour, en France, en Europe et dans le monde aux ravages de la précarité, de la pauvreté et de l’exclusion. Nous saluons toutes celles et tous ceux qui sont engagés dans ce combat permanent pour la paix, pour la liberté, pour la démocratie, pour la justice et le progrès social, pour l’égal accès aux droits de tous pour tous.

La pauvreté, l’exclusion, ne concerne pas que les plus pauvres. C’est en unissant nos efforts que nous donnerons courage, espoir et confiance aux personnes, aux travailleurs dans leur capacité et leur pouvoir d’agir.

La déclaration unitaire « Alerte contre l’Exclusion – Partenaires Sociaux », constitue un signe d’espérance. Ce texte confirme une prise de conscience, notre volonté et notre détermination commune à travailler ensemble pour trouver des réponses permettant d’éradiquer la misère en s’attaquant à ses causes. C’est ensemble, par l’échange, le dialogue et l’action que nous construirons le monde que nous voulons. Un monde qui est malade depuis trop longtemps des choix politiques fondés sur un système économique et financier privilégiant le court terme, l’argent facile pour quelques uns au détriment du plus grand nombre, de l’intérêt général

La crise est un appel à la transformation, au renversement, à la démocratie, à la création, au partage .

  • Nous voulons un développement fondé sur des politiques économiques, sociales, environnementales, des services publics de qualité, au service de l’humanité.
  • Nous voulons un système de croissance conçu pour une répartition plus juste des richesses créées, pour que chacune, chacun vive dignement et décemment ici et dans le monde.
  • Nous voulons une école pour chaque enfant, le droit à l’éducation permanente, à une formation tout au long de la vie. Nous voulons une société dans laquelle la dignité, l’égalité, le bien-être, par le travail redevienne l’ambition collective pour le vivre ensemble.
  • Nous voulons un travail décent, un salaire décent pour une vie décente, parce que nous refusons l’assistanat, la soumission, le travail des enfants, le travail forcé et informel.
  • Nous voulons des droits au travail, des droits sociaux garantissant une sécurité sociale de santé et professionnelle, un statut du travail salarié.
  • Nous voulons plus de démocratie sociale, des droits pour le dialogue social et la négociation collective afin que chacune, chacun s’engage et participe au développement humain durable avec la liberté de se syndiquer.

Le monde syndical, la société civile, les acteurs économiques, les femmes et les hommes épris de justice sociale, de solidarité, de fraternité ont le devoir de s’unir pour lutter contre la misère, l’exclusion, pour faire respecter et pour rendre effectifs les droits de l’enfant ici et partout dans le monde, les Droits de l’Homme sur chaque lieu de travail et dans la cité.

 

 

France – 16 octobre 2009

La PAUVRETÉ en FRANCE … Ça existe ?

17 octobre 2009 : Journée Mondiale du refus de la misère dans SOCIETE pauvrete_pt

 

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17 octobre 1961 : une tache noire de notre histoire

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

Article publié par elmoudjahid.com/

image D.R.

Il y a 48 ans, les massacres du 17 octobre 1961 à Paris : 

La Seine aussi témoignera…

L’histoire retiendra

L’Algérie commémore aujourd’hui le 48e anniversaire des  massacres du 17 Octobre 1961 à Paris, alors que l’État français continue d’opposer  une fin de non-recevoir à l’exigence de reconnaître les crimes commis durant  la longue nuit coloniale. Ce jour-là, plus de 80. 000 Algériens déferlaient sur les grandes artères  parisiennes dans une marche pacifique, à l’appel des dirigeants de la  Révolution  algérienne, pour protester contre le couvre-feu imposé aux seuls Algériens par  le préfet de police, Maurice Papon. Les manifestants, hommes, en majorité des ouvriers, femmes et enfants,  étaient venus de Nanterre, Aubervilliers, Argenteuil ou Bezons ou dans les quartiers  les plus miséreux de Paris comme la Goutte d’Or ou Ménilmontant, pour défendre  leur dignité et leur liberté, « mises à mal par un décret dans une démocratie  occidentale », rappellent les historiens. « Cette manifestation pacifique se soldera, le 17 octobre et les jours  qui suivront, par  » plusieurs centaines de morts et autant de disparus et plus  de 1.000 blessés alors que 14.094 Algériens furent arrêtés par la police  française« , témoigne Ahmed Arrad, ancien militant de la Fédération de France  du FLN. Pour Ali Haroun, ancien dirigeant au niveau de cette structure,  il y a eu « 200 morts au minimum », parmi les manifestants. Haroun relève cependant  « la difficulté d’avoir un chiffre exact des victimes de ces manifestations, car,  dit-il, de nombreux Algériens comptaient parmi les disparus ».          

Acteurs, historiens et chroniqueurs de presse de ces journées sombres sont unanimes à dénoncer le chiffre de 2 tués, annoncé quelques jours après,  par Papon, qui avait commandité et suivi de très la répression. L’historien français, Jean Luc Einaudi, relève pour sa part, qu’ »officiellement,  les registres du service médico-légal ne signalent aucun mort pour la journée  du 17 octobre 1961« . Il ajoute néanmoins, que « les cadavres acheminés vers la morgue étaient  tout simplement jetés dans la Seine à partir des fenêtres du bâtiment abritant  la morgue« . L’historien rappelle que « cette pratique de noyade a été largement  utilisée en 1958 lors d’un premier couvre-feu imposé à Paris sur les Algériens,  arrêtés puis torturés au Vél d’Hiv« .

[Lire la suite]

 

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48e anniversaire du 17 octobre 1961 : Vérité et Justice

Posté par communistefeigniesunblogfr le 17 octobre 2009

Article : LDH

Extrait

Appel au rassemblement Samedi 17 octobre à 17 h. à la Place Saint-Michel à Paris
Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre feu discriminatoire qui leur avait été imposé par Maurice Papon, Préfet de police de Paris. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Ce jour-là, et les jours qui suivirent, des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés ou, pour nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines, victimes d’une violence et d’une brutalité extrêmes, perdirent la vie aux mains des forces de police, suivant les ordres de leurs supérieurs.

48 ans après, la Vérité est en marche. Cependant, la France n’a toujours pas reconnu sa responsabilité dans les guerres coloniales qu’elle a menée -, en particulier la Guerre d’Algérie – non plus que dans le cortège de drames et d’horreurs qu’elle a entraînés ou dans ce crime d’Etat que constitue le 17 octobre 1961. Certains osent encore aujourd’hui continuer à parler des « bienfaits de la colonisation » et des honneurs « officiels » sont rendus aux criminels de l’OAS. Malgré un discours, parfois ambigu et contradictoire, sur le passé colonial de la France, la politique menée par le Président de la République témoigne d’une réelle volonté de sa réhabilitation.

[...]

La recherche de la vérité s’impose pour cette période sombre de notre histoire comme elle s’est imposée pour la collaboration vichyste avec l’Allemagne nazie. Ce n’est qu’à ce prix que pourra disparaître la séquelle la plus grave de la guerre d’Algérie, à savoir le racisme dont sont victimes aujourd’hui nombre de citoyens ou de ressortissants d’origine maghrébine ou des anciennes colonies.

Un certain nombre de collectivités locales ont baptisé des places à la mémoire des victimes du 17 octobre 1961 et nous appelons au développement de ces lieux de mémoire ainsi que la mobilisation de la population devant ces lieux déjà existant.

Pour exiger :

- la reconnaissance officielle du crime commis par l’État français les 17 et 18 octobre 1961 - la liberté d’accès effective aux archives pour tous, historiens et citoyens
- le développement de la recherche historique sur ces questions dans un cadre franco-algérien et international
Rassemblement : Samedi 17 octobre à 17 h. à la Place Saint Michel à Paris
Là où tant de victimes furent jetées à la Seine il y a 48 ans.

[Article complet]

Info :

Conférence-débat à Lille – 17 oct. à 16 h, salle du Gymnase :

Le 17 octobre 1961, un crime d’état contre les Algériens

Le débat est organisé par les représentants d’Alger Républicain, journal progressiste algérien.

La conférence sera suivie de la projection du film « Les frères des frères » et d’un hommage à Henri Jeanson décédé récemment.

 

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