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Lundi, 02 Mars 2009 13:33 |
Et dire que les politiques écoutent encore
ce que dit Barbier… |
Président du Medef Guadeloupe :
Oui Oui Angèle le lutin…
Oui Oui Angèle est un lutin qui vit dans le monde magique de Hayotland… Sans entreprise, sans capital, sans fonds propres, il s’emploie à jouer au capitaliste malgré ses tentatives infructueuses de devenir un capitaine d’industrie. Mais à Hayotland, nul reproche ne lui est fait sur ses échecs et incompétences d’apprenti patron. Oui Oui Angèle n’est pas là pour ça…Oui Oui est un lutin organique. […] « Sois petit et parle de projet de société ! » […], lui dit-on avec insistance à Békéville, la capitale du Hayotland. Donc Oui Oui y va, sans mesure, de son projet de société. Un splendide projet de société où demander une augmentation salariale de« 200 EUR » est devenu une incitation à la haine raciale. Un nouveau délit en somme. Pire, un crime de lèse¬békesté !
Oui Oui est un lutin brasseur…..de vent. Un fils de bék’éole. Son verbe est une sorte d’énergie renouvelable au service de la toute puissance leucodermie créole. Mots-valises, expressions toutes faites, lieux communs, approximations économiques, sous des allures d’expert réfléchi et mesuré, le lutin est à la vie économique et sociale de la Guadeloupe ce que le sucre est au diabétique. A consommer avec extrême modération…
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http://ugtg.org/article_763.html
GUADELOUPE : Marie-George Buffet (PCF) estime qu’il est grand temps que le MEDEF Guadeloupe signe l’accord
Un accord vient d’intervenir en Martinique, portant notamment sur un relèvement de 200 euros des salaires les plus bas.
En Guadeloupe, il serait irresponsable de bloquer plus longtemps la situation, quand l’exaspération des populations est à son comble. La balle est, depuis le début du mouvement, dans le camp des pouvoirs publics et du patronat. Les exigences portées par le mouvement sont légitimes, les moyens existent pour y faire droit.
C’est le Medef qui bloque et continue de provoquer, afin de tenter d’échapper à ses responsabilités sur la question des salaires. Mme Parisot porte une lourde responsabilité. Elle qui ne parle que de « modernisation du dialogue social », ses représentants s’arc-boutent et durcissent les négociations.
Le gouvernement, qui a trop longtemps joué le pourrissement, doit mettre tout son poids dans la balance, afin que l’accord porte sur tous les bas salaires en dessous de 1,4 SMIC, bénéficie à l’ensemble des départements d’Outre-mer, mette les bénéfices des grands groupes à contribution, comporte toutes les garanties de pérennité et ouvre la voie à la satisfaction de l’ensemble des exigences portées par le mouvement.
Maintenant, il est vraiment temps que le MEDEF Guadeloupe signe l’accord et que le gouvernement assume ses responsabilités en ce sens.
Marie-George Buffet, Secrétaire nationale du PCF.
Paris, le 3 mars 2009.